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Fadiga
« Complexe, donc compliqué »
Publié le 04/04/20 à 01:37
Rapport qualité/prix :
Excellent
Cible :
Les utilisateurs avertis
Pour quels styles de musique et dans quel contexte (studio, concert, etc.) utilisez-vous ce sampleur ?
Rap, essentiellement une utilisation home studio.
Vous semble-t-il solide et bien fini ? Sa prise en main et son ergonomie sont-elles simples ?
Lourd, costaud et bien fait, austérité akai oblige.
Il est compliqué à appréhender quand on débute, on doit se familiariser avec les notions de programmes et keygroups, mais une fois bien dans la gadoue, on patauge joyeusement et on en redemande.
Il faut surtout s'habituer à la navigation via les boutons de part et d'autre de l'écran, et à apprivoiser la molette pour les reglages et les menus déroulants.
Quel est votre avis sur le son de manière globale ? Que pensez-vous des possibilités d’édition et de traitement ?
Son neutre et froid, si on veut pouvoir écouter et restituer fidèlement ce qu'on fait, parfait, si on veut du grain, mieux vaut aller chez la concurrence américaine.
Il traite vraiment en profondeur l'édition des échantillons, on peut vraiment s'amuser et développer son travail en totale autonomie avec ce sampleur, il ferait même un redoutable expandeur, avec de grosses banques de son, bien mappé et avec sa polyphonie au top.
Quelles sont les choses que vous appréciez le plus et le moins ?
Sa grande force est sa capacité à être upgradé, de la polyphonie à la RAM en passant par les sorties (8 sorties analogiques de base, extensibles à 16 analogiques ou 16 in/out ADAT), et même une carte USB.
Mais cette logique de guerre a un coût, désormais atténué par le marché de l'occasion.
Le gros moins était surtout la dépendance au SCSI, format cloisonné, qui heureusement a pu déboucher sur des lecteurs zip USB, avant que les lecteurs CF et autres émulateurs disquettes n'entrent en jeu.
Rap, essentiellement une utilisation home studio.
Vous semble-t-il solide et bien fini ? Sa prise en main et son ergonomie sont-elles simples ?
Lourd, costaud et bien fait, austérité akai oblige.
Il est compliqué à appréhender quand on débute, on doit se familiariser avec les notions de programmes et keygroups, mais une fois bien dans la gadoue, on patauge joyeusement et on en redemande.
Il faut surtout s'habituer à la navigation via les boutons de part et d'autre de l'écran, et à apprivoiser la molette pour les reglages et les menus déroulants.
Quel est votre avis sur le son de manière globale ? Que pensez-vous des possibilités d’édition et de traitement ?
Son neutre et froid, si on veut pouvoir écouter et restituer fidèlement ce qu'on fait, parfait, si on veut du grain, mieux vaut aller chez la concurrence américaine.
Il traite vraiment en profondeur l'édition des échantillons, on peut vraiment s'amuser et développer son travail en totale autonomie avec ce sampleur, il ferait même un redoutable expandeur, avec de grosses banques de son, bien mappé et avec sa polyphonie au top.
Quelles sont les choses que vous appréciez le plus et le moins ?
Sa grande force est sa capacité à être upgradé, de la polyphonie à la RAM en passant par les sorties (8 sorties analogiques de base, extensibles à 16 analogiques ou 16 in/out ADAT), et même une carte USB.
Mais cette logique de guerre a un coût, désormais atténué par le marché de l'occasion.
Le gros moins était surtout la dépendance au SCSI, format cloisonné, qui heureusement a pu déboucher sur des lecteurs zip USB, avant que les lecteurs CF et autres émulateurs disquettes n'entrent en jeu.