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tarexband « Qué calor ! »
Publié le 14/11/19 à 12:10
Rapport qualité/prix :
Excellent
Cible :
Les utilisateurs avertis
Avant toute chose, je voudrais préciser que je n’utilise pas la « Prescription Electronics Experience » originale mais un clone pas moins rare mais bien moins cher (DS Custom audio electronics – Experience)
L’Experience, cela n’aura échappé à personne, est une Fuzz très Hendrixienne à la base. « Ouais, bôf ! Ce n’est pas ma tasse de thé » se diront certains. Ils auraient pourtant tort d’en rester là, mais commençons par son principe d’utilisation :
Le 1er switch active la Fuzz.
Si celui-ci est éteint, les autres switches ne servent à rien. J’adore cette fuzz chaleureuse pleine d’épaisseur et sans fréquence agressive qui donne envie de jouer sans jamais reposer sa gratte tellement c’est un régal pour les oreilles. J’ai quelques autres fuzz pour jouer dans l’esprit Gilmour, celle-ci tient le haut du panier.
Au niveau présence dans le mix ? ça gère juste ce qu’il faut. C’est comme-ci tout le son était axé vers le bas medium avec par-dessous l’octave sup très discrète.
Pour profiter de cette fuzz, de sa chaleur, de cette impression d’être dans le son, enveloppé sans aucun filtre, le tone doit être réglé entre le minimum et le 1er quart (soit 7h à 9h) et ça sonne pro, comme sur les meilleurs albums sans traficotage à opérer par-dessus…
En comparant à mes autres fuzz/muff (Mooer triangle buff – fait bien le job mais manque de grave à mon goût) (Jam pedals Fuzz Phrase – trop acide à mon goût) (Buffalo Fx Patriot – super, assez ample mais plus medium et moins naturelle).
Le 2e switch ajoute l’Octaver.
C’est une réelle octave supérieure qui est générée et justement, c’est sur les notes aigües qu’elle est particulièrement audible. Avec cet effet supplémentaire, on entre dans un autre monde, celui de Jack White par exemple (même si Jack utilise les octaves basses et hautes et des trucs qui décrochent à tout va). Ici, ça décroche moins que nombreux autres modèles, j’ai toujours pensé que l’octave supérieure avait un côté artificiel mais je reconnais que c’est bien utile quand on veut sortir du mix ou amener une fraicheur synthétique.On pourrait tenter de comparer cette pédale à la Earthquaker - Bit Commander mais vous avez compris que je trouve pas mal d'avantages à cette Experience.
Le 3e ajoute le Swell.
Il n’intervient que si les 2 autres sont actifs. Avec cet effet on entre dans le psychédélisme et le monde de Jimi. L’attaque est gommée comme si l’on faisait du violonning avec le volume de la guitare (ou que l’on branchait une Mooer - slow engine ou une Malekko - Sneak attack)après ça tourne à l'arme de destruction pas vraiment contrôlée, le mieux reste encore de l’écouter pour comprendre et pour ça, on peut se référer à la 5ème minute de la video de ’’Doyle Bramhall II on Building Blues Tones with Fuzz and Drive Pedals’’
Ce qui reste chiant c’est qu’entre les 3 positions (Fuzz/OctaFuzz/Swell) on cherche à optimiser ses réglages. Ça limite donc l’exploitation des 3 en live. Mais bon ch’uis content, c’est-y pas ça qui compte ?
L’Experience, cela n’aura échappé à personne, est une Fuzz très Hendrixienne à la base. « Ouais, bôf ! Ce n’est pas ma tasse de thé » se diront certains. Ils auraient pourtant tort d’en rester là, mais commençons par son principe d’utilisation :
Le 1er switch active la Fuzz.
Si celui-ci est éteint, les autres switches ne servent à rien. J’adore cette fuzz chaleureuse pleine d’épaisseur et sans fréquence agressive qui donne envie de jouer sans jamais reposer sa gratte tellement c’est un régal pour les oreilles. J’ai quelques autres fuzz pour jouer dans l’esprit Gilmour, celle-ci tient le haut du panier.
Au niveau présence dans le mix ? ça gère juste ce qu’il faut. C’est comme-ci tout le son était axé vers le bas medium avec par-dessous l’octave sup très discrète.
Pour profiter de cette fuzz, de sa chaleur, de cette impression d’être dans le son, enveloppé sans aucun filtre, le tone doit être réglé entre le minimum et le 1er quart (soit 7h à 9h) et ça sonne pro, comme sur les meilleurs albums sans traficotage à opérer par-dessus…En comparant à mes autres fuzz/muff (Mooer triangle buff – fait bien le job mais manque de grave à mon goût) (Jam pedals Fuzz Phrase – trop acide à mon goût) (Buffalo Fx Patriot – super, assez ample mais plus medium et moins naturelle).
Le 2e switch ajoute l’Octaver.
C’est une réelle octave supérieure qui est générée et justement, c’est sur les notes aigües qu’elle est particulièrement audible. Avec cet effet supplémentaire, on entre dans un autre monde, celui de Jack White par exemple (même si Jack utilise les octaves basses et hautes et des trucs qui décrochent à tout va). Ici, ça décroche moins que nombreux autres modèles, j’ai toujours pensé que l’octave supérieure avait un côté artificiel mais je reconnais que c’est bien utile quand on veut sortir du mix ou amener une fraicheur synthétique.On pourrait tenter de comparer cette pédale à la Earthquaker - Bit Commander mais vous avez compris que je trouve pas mal d'avantages à cette Experience.
Le 3e ajoute le Swell.
Il n’intervient que si les 2 autres sont actifs. Avec cet effet on entre dans le psychédélisme et le monde de Jimi. L’attaque est gommée comme si l’on faisait du violonning avec le volume de la guitare (ou que l’on branchait une Mooer - slow engine ou une Malekko - Sneak attack)après ça tourne à l'arme de destruction pas vraiment contrôlée, le mieux reste encore de l’écouter pour comprendre et pour ça, on peut se référer à la 5ème minute de la video de ’’Doyle Bramhall II on Building Blues Tones with Fuzz and Drive Pedals’’
Ce qui reste chiant c’est qu’entre les 3 positions (Fuzz/OctaFuzz/Swell) on cherche à optimiser ses réglages. Ça limite donc l’exploitation des 3 en live. Mais bon ch’uis content, c’est-y pas ça qui compte ?
