-Ce serait une très grosse prouesse selon les contemporains "avertis" qui peuvent s'autoriser à l'associer à toutes les recherches et inflexions sonores de ces temps immémoriaux, concoctés prioritairement sûr et autour d'un ampli Fender "Showman/Bronwface" 60...63S'.. Ben que pour ces préadolescents aujourd'hui "boomeurs", si cette spécification leurs était totalement inconnue.. seule cette sonorité légendaire et devenue "culte", est restée gravée à tout jamais dans leurs mémoires.
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Toutefois, en ampli on pensera à "Fender et Vox " en là plaçant en "façade" vue qu' elle s'apparente à une pédale de "Préamp', son profil irrésistible m'a conduit aussi à foutre au "placard" l' Anasounds "Tape Préamp", pourtant excellente.
-L'on peut aussi la greffer sur un "Transistorisé", vu qu'il en existe doté d'une sacrée pointure en diffusion "Clean".
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-Disons que si elle va comme un "gant" à tout les contemporains des Happy Day' et du plein emploie de nos 16 à 18 ans...au temps du rockabilly et de la jeunesse ouvrière "US" et Européenne , voir estudiantine "Surf' pour les plus chanceux, elle est également apte à se risquer du coté laborieux et agricole de la "country" des 55...60S'.
-Mais pour le "Blues/roots" des cueilleurs de coton , bien que la légende veut qu' il peut s'accommoder de tout instrument et fond sonore...passons.. Mais surtout, tracer votre chemin ailleurs pour le "Black/Blues" urbain de "Chicago". Quant au R&B"? plutôt non, aucune certitude, mais peut être quelques registres
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-Donc, comme son nom l'indique, conçue aussi pour une inflexion sonore prioritairement "Surf" et avec ce qu'elle a dans "le bide", c'est aussi une sacrée "Boosteuse".
-Très propre cependant, soit une sorte de mélange "Clean" poussée tout juste à limite du premier écrêtage "Cruchy". et effectivement autour de ce "Clean" revisité, avec sa "compression" pour les solos...c'est quelque chose!.
-Ce qui ne l'empêche pas d'étendre son utilisation en accompagnement en s'appuyant sur les réglages de ses deux petits potentiomètres
- Soit: un "input" qui dose le signal d'entrée...et le second, "output" qui joue sur le niveau de sortie sans vous laisser berner par le fait que s'ils sont tout petits, car ils essentialisent vos objectif avec brio.
- Son gros bouton rotatif central, jouant sur la présence.
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-Cependant attristés par la disparition progressive de nos magasins de "ziziques", doublé par cette grosse affection pour ne pas dire ému, avec leurs "tôliers et salariés" qui font encore de la résistance, où bien entendu on en profite pour fouiner sur les étalages, je l'ai achetée après quelques échanges assez bref et de retour chez moi, "bien mal m'en a pris", très vite conquis pour ne pas dire enthousiasmé!.
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-Effectivement et aux risques de se répéter, teintée "Surfy" à 100%! , on peut y ajouter qu'elle tout aussi enthousiasment pour les besoins légèrement plus rétroactifs du "Rockabilly".
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-Donc, s'invite-elle par contre dans l'évolution et inflexion sonore qui a suivi, pour la "Surf music"?: OUI!...et "0" combien!!
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-Puisque, après s' être rodé la main fin 1958 et 59, "Duane Eddy" et "Dick Dale" s'y sont employés avec ce succès fracassant début 60 et précurseur de tout ces groupes musicaux si cher "aux vagues du pacifique" qui ne demandaient qu'à être surfées par toute cette jeunesse californienne "dorée". Jouissive, sportive, estudiantine, riante, décontractée, tolérante pour les voix asexuées et porteuses de sous vêtements en soie...qui venait presque rompre avec "la fureur de vivre du Rockabilly". Bien sûr avec les idées à gauche car la majorité, issue de la bourgeoisie "US" donc socialement au-dessus de la "middle'/class' américaine", mais avec le portefeuille à "droite", on est "ricain" ou pas...n'est ce pas.
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-Soit ."du Rock "Blanc", intermède assez bref ..si tôt arrivé à fond de cale... avant de presque disparaitre tout aussi vite, que brutalement par la venue tout aussi fracassante de ce qui a été dénommé : "British invasion". Plein de "pierres Stones" obligent..."et " silex tranchant", provocatrice, désabusée , crasseuse et surtout dérangeante pour remettre en question toutes nos certitudes occidentale...Mêmes si les foutus adeptes du "Rockabilly" et "Surf music" que l'on croyait mort ,ont su eux aussi s'engager dans "la résistance" et rebondir d'une manière magistrale, revus et corrigés sous l'emprise du "Rock/garage" bien plus rugueux des 90/S' ...2000....
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....Quand à la "Country"...elle tient toujours la barre.
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-Cependant, pour en revenir aux temps des "Happy Day", où " les Levis 501", bottes texanes et blousons "perfecto" voir des "Harley-Davidson", pour ce qui concerne les USA alors que chez nous on se contentait d'une 50cm3.... qui semblaient vouloir affronter les chemises bariolées hawaïenne et planches de surf, y compris sur Biarritz et ses environs... sans aucune réserve, elle peut venir égayer tout les répertoire "Rock'n'roll des 50/S" , symbolisé par "Elvis" et de son guitariste "Scotty Moore" et le "Surf"...disons "The Ventures"...
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-Plus , car rien ne vous l'empêche sur du "Chuck Berry" si vous voulez personnaliser son registre, mais à son avantage autour de "Buddy Holy" et autres "Eddie Cochran", tout en pensant à "Johnny Cash". Voir les "Shadows" chargé de secouer un peu la vieille Europe et du raz de marée et véritable Tsunami "Yé/Yé", des pionniers du rock Italo/Français des débuts sixties.
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- Quant à "Wipeout" et l'inoubliable " Walk don't Run" ...Oui , jusqu'à la lie!.
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-A part que cette enseigne Italienne "Surfy industries" semble spécialisée dans tout ce qui concerne les années soixante, vue son "étroitesse et proximité sonore" avec la "Surf music"... "Baritones" dans les pognes...elle sonne d'enfer pour tout ce qui est "Western Spaghetti".[/i][/b]
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-Quant aux guitares en avant toutes, y compris leurs "clone/boutiques" et bonnes milieux de gammes en sous marques des "Fender", surtout leurs Jazzmaster et Strat' pour leurs vibratos, sans évincer leurs Telecast' et pour "Gibson"?", sans doute un peti' peu' moins pour une "LP", mais sensas' pour leurs "ES/335... Epiphone/Casino"... tout en insistant avec les 'Gertsch" et autres "Archtop", en privilégiant leurs "Bigsbys".
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- Concernant les styles de la "Révolution" sonore Anglaise, beaucoup plus réservé autour des "Marshall' et gros rendement en "Fuzz et OV". Mais libre à vous et p' être plus pour certains registres de la "Beatlesmania", que pour la "Stonmania".
-Quant à Hendrix, précurseur du "Hard rock' je n'y vois pas trop son utilité.
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-Plus, en tout états de causes, avec de la reverb' bien réglée et pour être plus en phase avec les possibilités actuelles, certes question pédales mais avec la plus grande des vigilances, sur les "Chambre d'Echo', une "pincée" de "Delay" et zeste de "Chorus", plus un peti' chouilla de "Trémolo"...Voir un soupçon de "Fuzz", bien qu'elle sait titiller les balbutiements "Cruchy',mais au stade d'un simple "soupçon".
- Ce qui m'a conduit à me séparer aussi de "l'Analog Alien" quatre fois plus chères, sans lorgner non plus vers une Mystery/Brain/BS 301". Qui, toutes deux, vous coutent "la moitié de votre dentition " .
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-Très facile d'utilisation, je n'y vois aucun défaut ni scorie sonore, tant les manip' y sont simples mais diablement efficaces. Pour ne pas dire "surdouées" en progressivité pour l'obtention des variations en textures et volumes qui frôlent la perfection.
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-Question cout, pas donnée mais sans en exagérer un prix qui oscille entre plus ou moins 150 balles.
Cependant, accuse-t-elle plus d'un demi siècle de retard? dont certains ne la qualifieront que de "has been", afin de ne la catégoriser aujourd'hui, que dans un créneaux assez singulier"??? ...ou vu sa polyvalence indémodable, ne deviendra -t-elle pas, "culte"?.
-A vous de voir, bien que nous ne sommes plus en 1960 depuis belle lurette.
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-Pour conclure, effectivement on peut craindre qu' économiquement parlant....elle ne tiendra pas longtemps à la vente. Car, son public étant surtout concerné par ces vieux croutons, certes avec toujours 18 ans dans leurs têtes... mais qui sont en voie d'extension et en train de rejoindre peu à peu les cieux, où Elvis , James Dean, D' Dale et "notre Johnny" les attendent entourés de tout ces "mi anges, mi démons", qui les ont tant fait rêvés...Johnny Cash leurs a laissé la porte entre ouverte pour l'éternité.

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