A wizard, A true Star

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Anonyme

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Sujet de la discussion Posté le 29/09/2003 à 00:17:09

Fracassé, saturé, inouï, un gigantesque collage dont on sort transformé, abasourdi, initié à une autre réalité - Jay Alanski

«just another onionhead», «Does anybody love you ?», «I don’t want to tie you down» - Todd Rundgren 1973 - Ca parle à quelqu’un ? Je suis tombé là dedans récemment. Et réciproquement - en ce sens : c’est le cran après de quand on se prend une musique sur la tronche. Là ça m’a quand même fait cet effet là + Une irradiation de là à là (voir schéma) + Une espèce de pétrification de la moelle épinière + Une ouverture orgasmique des pores de la peau (avec expulsion de poils) + Une atrophie éclair de la sphère du langage + La découverte soudaine de l’indexation de l’étalonnage du bouton VOLUME à la productivité des glandes lacrymales. Bref, je suis raide zinzin de ce type.

Question à ceux qui connaissent : Déjà dans «a wizard, a true star», on sent que la grande, la phénoménale, l’internationale classe du bonhomme repose sur une paradoxale absence de tenue. Quand il foire un morceau, tout est dépeuplé, hein ? J’ai écouté aussi un album plus tardif (il me semble que le titre c’est quelque chose comme «nearly human» et heu... C’est filandreux. Elles sont où les autres merveilles ? les albums monstres ?

Dom Janvier

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