Metallica à Bercy.rhâââ que ce fût bon!
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-Liam-
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Bon, j'y étais le 1er avril, et pffff ça déroulait quand même...je peux pas résister à la tentation de vous balancer mon compte rendu! 
21h00, la tension monte sévère, grosse ola dans les tribunes, comme on est toujours à côté du couloir d'arrivée, on peut constater que les vigiles sont tous prêts, rhââ...et à 21h10, extinction des feux!! Bercy s'enflamme complètement, l'intro de That was just your life (1ère du dernier album) retentit, et des petites lumières affolent le couloir: les voilou! J'étais tout contre les barrières de l'allée d'arrivée des mecs (eh ouais, scène centrale), et m'attendais NAIVEMENT à ce que les types tapent dans les mains des gens ou soient assez lents, mais c'est tout l'inverse: Kirk Hammett d'abord, qui se croit aux JO et pique un 100m jusqu'à la scène, puis Robert Trujillo, petit coucou aux fans mais il file aussi....et James Hetfield! Un poil plus lent mais très concentré aussi, il ne s'éternisera pas....enfin Lars Ulrich, que je vous avouerai avoir entraperçu (quelle idée aussi de mesurer 1m08)...cette fois c'est parti, l'intro sonne toujours, et Hetfield prend le train en marche avec la guitare, faisant vrombir la salle! Feu! La chanson est lancée, le son est supermégafort et plutôt brouillon, mais okaye c'est la première...la scène est quasi dans le noir, on distingue à peine les lascars et des dizaines de lasers multicolores traversent le décor, l'effet visuel est super. Hetfield est nickel vocalement, ouf. La chanson se déroule sans histoire, et au coup de caisse claire final, pan! Tout Bercy se rallume d'un coup, scène + salle! Grosse ovation, et Hetfield salue alors le public! "Pawwisss!!"
Ils enchaînent avec la seconde de l'album, The end of the line, qui se passe pas mal du tout (je mets les bouchons à moitié, donc super son), chanson truffée de riffs bien bonnards! On est vraiment juste en face de la scène et on sent que les mecs ont l'habitude de cette config, leurs rotations entre les micros (4 micros aux 4 coins) sont hyper huilées. Du coup voilà le gros James à 6 ou 7 mètres, un peu bouffi, avec une crête blonde (!), mais en méga forme et super tonique. Et voilà la première fioriture scénique: les socles des projos, au plafond, sont en fait....des cercueils géants!! Et ces mêmes cercueils descendent petit à petit jusqu'à presque chapeauter la scène! Sympa!! La song se termine et James prends réellement la parole (ce qu'il fera souvent, un plaisir): "On est là pour jouer les nouvelles chansons...mais ce qu'il y a de bien avec les nouvelles chansons, c'est qu'on peut y insérer les anciennes chansons!"....là, Bercy chavire à l'idée d'avoir un premier tube mythique! Et ce sera Harvester of Sorrow, donc là tous les vieux loups de mer se déchaînent. Le son demeure perfectible, mais le groupe joue vraiment fort et vraiment bien, sauf Ulrich (je vais y revenir). Hammett claque ses solos de façon impeccable, Hetfield est en voix, mais bien aidé quand même par une reverb ultrapoussée à la fin de certains phrasés (j'avais jamais entendu ça pour Metallica, ça rend pas mal et ça atténue le poids des ans sur la voix du James, moins puissante désormais il faut l'avouer). Les Four Horsemen ont ensuite l'excellente idée d'enchaîner avec une autre vieillerie, Disposable Heroes, sur Master of Puppetts, qui s'avère tout aussi réussie (j'adore ce riff d'intro).
Vient ensuite le premier gros gros moment du live (pour moi), à savoir "One"...la scène est plongée dans l'obscurité et des bruits de mitraille et de canon emplissent Bercy, ainsi que....des flammes! un peu de pyrotechnique ne fait jamais de mal, et visuellement, miam! Dernier coup de canon et l'arpège surmythique de One démarre.... Super version, la reverb sur le chant d'Hetfield fait son boulot, le public reprend en choeur, et puis la seconde partie de la chanson, faite de double pédale et d'un riff primal! Les flammes repètent de partout, tandis que James hurle "No?....no?....nooooowowowhhhaha", les mecs sont super balèzes et déroulent sans sourciller (encore une fois, Hammett sort un gros solo), par contre, et ce depuis le début du concert, Ulrich accélère les morceaux comme un porcelet! Il bouffe beaucoup certaines fins de mesure (comme lors du passage à Taratata) et franchement, s'il y en a un qui vieillit techniquement, c'est lui! Bon, attention, le bonhomme reste très fort et tenir la cadence des morceaux joués est une vraie perf; cependant il y a eu 3 ou 4 interludes où Hammett faisait des purs solos pour faire patienter, et je crois avoir pigé (vu que j'étais juste à côté du backstage) que c'était aussi pour permettre au gros Lars de récupérer....hem.
Après ça, deux morceaux du dernier, Broken, Beat And Scarred et Cyanide (le riff de celle-là est quand même top), bien bien gérées elles-aussi.
Puis on retape dans le très lourd, vu que comme sur le dvd live au Texas, Hetfield hurle "Do you want some heavy?? Metallica'll give you some heaveah babyeeaaaah" et là "tcchh...tchh...tchhhh...tchhhh...." Sad but True qui déboule!!!! Ce riff d'intro est quand même dévastateur en live, après la chanson en elle-même me gonfle un peu mais c'est perso. Toujours hyper en place en ce qui concerne Trujillo, Hetfield et Hammett, plus réservé à propos de Ulrich mais sur les chansons "lentes" il n'a aucun souci. Ce qui fait super plèze avec eux c'est de voir à quel point ils se font plaisir en jouant, Hetfield venait vers nous, souriait au public, disait deux trois trucs aux mecs contre les barrières et mimait ses riffs, visiblement content d'être là. Même chose pour Hammett et Trujillo, vraiment sympa. Les types ne se forcent pas, c'est du gros heavy, sincère, bonnard. Ne manquent plus que la bière et la Harley.
On a ensuite eu droit a un Unforgiven sympatoche, mais c'était un peu "la" longueur du concert....Mais bon, comme longueur y'a pire!
Encore deux du dernier, là ça devenait un peu plus chiant passke à force d'entendre des vieilles, on voulait pas que ça soit interrompu! Néanmoins The Day that Never Comes reste une excellente chanson et elle a fait du bien par où elle est passée. Comme à Taratata, super solo des deux potes Hammett/Hetfield, et comme à Taratata, Ulrich a été bien dépassé sur la partie rapide, accélérant comme un dingue et mangeant la moitié des mesures (les autres suivaient bon gré mal gré). L'arrache d'Ulrich a atteint son paroxysme au début de celle-là justement (il me semble), quand il était en décalage complet pendant 5 secondes. Donc là heu...moi je me suis dit "ahaa, ils nous font une version différente?" et deux secondes après "aheuuu non c'est just Lars qui est en vrac"....ça fait bizarre quand un Metallica se plante quand même....
Bon puis après ce fut la folie finale: Master of Puppets, LE passage du live pour moi, durant lequel Hetfield a laissé chanter Bercy sur chaque refrain...rhaaaa, surénorme "Come craaawling fasteeeeer!!! Obeeeeeey your masterrrr!" avec les fameux "Master!!! Master!!!!", ptain je n'en pouvais plus.....le passage central, sublime, a été magistralement géré par Hammett (qui était décidément en très grande forme)....puis "Damage Inc." qui là encore ravit les fans anciens. Puis Hammett fait un nouvel interlude, cette fois électroaccoustique, un truc de très grande classe, et lance brusquement l'arpège hélas peu connu de la méconnue "Nothing Else Matters", bon, sans surprise, magnifiquement jouée (comme sur le dvd Cunning Stunts, intro sans batterie avec simplement le chant d'Hetfield, les grattes et la basses...splendide), solo nickel, bref top version. Et pour achever le set, que diriez vous d'un petit Enter Sandman? hé ben feu! Bon cette intro est juste monstrueuse, et au déclenchement du riff, la fosse a bougé comme jamais (c'était d'ailleurs très calme dans l'ensemble....c'est l'âge ça!). Et puis les mecs se tirent? Oui! Bon, pratique avec la scène centrale: on sait que les mecs vont revenir vu qu'on les voit au pied de la scène avec leurs serviettes et leur eau....héhé! Et ils reviennent en effet pour une song, une reprise de Mötörhead qui ma foi est fort bien passée, puis Phantom Lord, sympa mais je connaissais pas donc bon. Au passage, entre deux songs, Hetfield remarque un gamin porté par son père dans les tricunes, et demande "How old are you?" Le gamin est un peu tétanisé et ouvre sa main genre "5 ans", ce à quoi James répond avec son ton narquois "MMmh...that's pretty young"...rigolo!
Puis après Phantom Lord, ils se rebarrent! De nouveau, le public les réclame, et c'est un deuxième retour! Ca fait 2h20 qu'ils jouent, rha...
Et c'est le final ultime! Hetfield demande au public de lui promettre qu'il chantera, Ulrich a le pouce en l'air pour dire "one more, one more", la foule trépigne....et c'est un Seek'n Destroy qui déboule!! Retour à l'ancienne, la chanson datant de 1981, et au moment où le riff part, une pluie de ballons noirs de toutes tailles jaillit du plafond et envahit la scène et la fosse! Comme la lumière est allumée dans la salle, l'effet visuel est énorme, on voit quasi plus la scène avec tous les ballons, Hetfield et Trujillo shootent dedans pour les envoyer dans la fosse, où les gens se les échangent comme au volley! Puis les fans finissent par les garder pour eux! Ceux qui tombent sur un gros ballon n'ont d'autre choix que de s'assoir dessus, comme le mec devant moi! La chanson se termine et les gars passent environ 10minutes (si si) à saluer la foule, balancer des médiators, et saluer encore et encore Bercy. Hetfield remarque un drapeau dans la foule, demande à l'avoir, le choppe et s'en drappe immédiatement! Puis tour à tour, ils prennent le micro; Hetfield: "Mewwciii Pawiiiis!!", Hammett" Merci les amis, à bienntôww", Trujillo "Ca va?? ca va??? ", et Ulrich, de sa petite voix aggressive (oui il m'a déplu) "oh we haven't been in Pawiss since ffiiive fooockin yeeears"...Puis ils refont un tour et desencent de la scène, cette fois définitivement; ils choppent serviette et peignoir (pour Hetfield et Ulrich), puis passent.....à 5mm de nous!!! Rhâââ j'ai vraiment cru toucher Hetfield mais hélas non! Ulrich quant à lui m'apparaît comme un mégalo un peu strange, engoncé dans son peignoir et filant à toute berzingue (j'ai cru que c'était un mec de la sécurité tellement il filait avec sa gueule fermée)....
Hetfield lui nous a copieusement souri et a trainaillé dans l'allée, yeah! Lui demeure un modèle de rock attitude, sympa et simple (après il a aussi des défauts le gars, je suis bien d'accord, mais bon le pied qu'il prend sur scène fait plaisir à voir).
Bref après ce post bien long, moi je vous laisse et bordel, quel gros show! 2h30 de gros son, à part la qualité un peu discutable (mais pas horrible) de celui-ci, c'était du tout bon!!!! A voir et à revoir!!!
set list:
That Was Just Your Life
The End Of The Line
Harvester Of Sorrow
Disposable Heroes
One
Broken, Beat And Scarred
Cyanide
Sad But True
The Unforgiven
The Judas Kiss
The Day That Never Comes
Master Of Puppets
Damage Inc.
Nothing Else Matters
Enter Sandman
Encore:
Stone Dead Forever (Motörhead cover)
Phantom Lord
Seek & Destroy
21h00, la tension monte sévère, grosse ola dans les tribunes, comme on est toujours à côté du couloir d'arrivée, on peut constater que les vigiles sont tous prêts, rhââ...et à 21h10, extinction des feux!! Bercy s'enflamme complètement, l'intro de That was just your life (1ère du dernier album) retentit, et des petites lumières affolent le couloir: les voilou! J'étais tout contre les barrières de l'allée d'arrivée des mecs (eh ouais, scène centrale), et m'attendais NAIVEMENT à ce que les types tapent dans les mains des gens ou soient assez lents, mais c'est tout l'inverse: Kirk Hammett d'abord, qui se croit aux JO et pique un 100m jusqu'à la scène, puis Robert Trujillo, petit coucou aux fans mais il file aussi....et James Hetfield! Un poil plus lent mais très concentré aussi, il ne s'éternisera pas....enfin Lars Ulrich, que je vous avouerai avoir entraperçu (quelle idée aussi de mesurer 1m08)...cette fois c'est parti, l'intro sonne toujours, et Hetfield prend le train en marche avec la guitare, faisant vrombir la salle! Feu! La chanson est lancée, le son est supermégafort et plutôt brouillon, mais okaye c'est la première...la scène est quasi dans le noir, on distingue à peine les lascars et des dizaines de lasers multicolores traversent le décor, l'effet visuel est super. Hetfield est nickel vocalement, ouf. La chanson se déroule sans histoire, et au coup de caisse claire final, pan! Tout Bercy se rallume d'un coup, scène + salle! Grosse ovation, et Hetfield salue alors le public! "Pawwisss!!"
Ils enchaînent avec la seconde de l'album, The end of the line, qui se passe pas mal du tout (je mets les bouchons à moitié, donc super son), chanson truffée de riffs bien bonnards! On est vraiment juste en face de la scène et on sent que les mecs ont l'habitude de cette config, leurs rotations entre les micros (4 micros aux 4 coins) sont hyper huilées. Du coup voilà le gros James à 6 ou 7 mètres, un peu bouffi, avec une crête blonde (!), mais en méga forme et super tonique. Et voilà la première fioriture scénique: les socles des projos, au plafond, sont en fait....des cercueils géants!! Et ces mêmes cercueils descendent petit à petit jusqu'à presque chapeauter la scène! Sympa!! La song se termine et James prends réellement la parole (ce qu'il fera souvent, un plaisir): "On est là pour jouer les nouvelles chansons...mais ce qu'il y a de bien avec les nouvelles chansons, c'est qu'on peut y insérer les anciennes chansons!"....là, Bercy chavire à l'idée d'avoir un premier tube mythique! Et ce sera Harvester of Sorrow, donc là tous les vieux loups de mer se déchaînent. Le son demeure perfectible, mais le groupe joue vraiment fort et vraiment bien, sauf Ulrich (je vais y revenir). Hammett claque ses solos de façon impeccable, Hetfield est en voix, mais bien aidé quand même par une reverb ultrapoussée à la fin de certains phrasés (j'avais jamais entendu ça pour Metallica, ça rend pas mal et ça atténue le poids des ans sur la voix du James, moins puissante désormais il faut l'avouer). Les Four Horsemen ont ensuite l'excellente idée d'enchaîner avec une autre vieillerie, Disposable Heroes, sur Master of Puppetts, qui s'avère tout aussi réussie (j'adore ce riff d'intro).
Vient ensuite le premier gros gros moment du live (pour moi), à savoir "One"...la scène est plongée dans l'obscurité et des bruits de mitraille et de canon emplissent Bercy, ainsi que....des flammes! un peu de pyrotechnique ne fait jamais de mal, et visuellement, miam! Dernier coup de canon et l'arpège surmythique de One démarre.... Super version, la reverb sur le chant d'Hetfield fait son boulot, le public reprend en choeur, et puis la seconde partie de la chanson, faite de double pédale et d'un riff primal! Les flammes repètent de partout, tandis que James hurle "No?....no?....nooooowowowhhhaha", les mecs sont super balèzes et déroulent sans sourciller (encore une fois, Hammett sort un gros solo), par contre, et ce depuis le début du concert, Ulrich accélère les morceaux comme un porcelet! Il bouffe beaucoup certaines fins de mesure (comme lors du passage à Taratata) et franchement, s'il y en a un qui vieillit techniquement, c'est lui! Bon, attention, le bonhomme reste très fort et tenir la cadence des morceaux joués est une vraie perf; cependant il y a eu 3 ou 4 interludes où Hammett faisait des purs solos pour faire patienter, et je crois avoir pigé (vu que j'étais juste à côté du backstage) que c'était aussi pour permettre au gros Lars de récupérer....hem.
Après ça, deux morceaux du dernier, Broken, Beat And Scarred et Cyanide (le riff de celle-là est quand même top), bien bien gérées elles-aussi.
Puis on retape dans le très lourd, vu que comme sur le dvd live au Texas, Hetfield hurle "Do you want some heavy?? Metallica'll give you some heaveah babyeeaaaah" et là "tcchh...tchh...tchhhh...tchhhh...." Sad but True qui déboule!!!! Ce riff d'intro est quand même dévastateur en live, après la chanson en elle-même me gonfle un peu mais c'est perso. Toujours hyper en place en ce qui concerne Trujillo, Hetfield et Hammett, plus réservé à propos de Ulrich mais sur les chansons "lentes" il n'a aucun souci. Ce qui fait super plèze avec eux c'est de voir à quel point ils se font plaisir en jouant, Hetfield venait vers nous, souriait au public, disait deux trois trucs aux mecs contre les barrières et mimait ses riffs, visiblement content d'être là. Même chose pour Hammett et Trujillo, vraiment sympa. Les types ne se forcent pas, c'est du gros heavy, sincère, bonnard. Ne manquent plus que la bière et la Harley.
On a ensuite eu droit a un Unforgiven sympatoche, mais c'était un peu "la" longueur du concert....Mais bon, comme longueur y'a pire!
Encore deux du dernier, là ça devenait un peu plus chiant passke à force d'entendre des vieilles, on voulait pas que ça soit interrompu! Néanmoins The Day that Never Comes reste une excellente chanson et elle a fait du bien par où elle est passée. Comme à Taratata, super solo des deux potes Hammett/Hetfield, et comme à Taratata, Ulrich a été bien dépassé sur la partie rapide, accélérant comme un dingue et mangeant la moitié des mesures (les autres suivaient bon gré mal gré). L'arrache d'Ulrich a atteint son paroxysme au début de celle-là justement (il me semble), quand il était en décalage complet pendant 5 secondes. Donc là heu...moi je me suis dit "ahaa, ils nous font une version différente?" et deux secondes après "aheuuu non c'est just Lars qui est en vrac"....ça fait bizarre quand un Metallica se plante quand même....
Bon puis après ce fut la folie finale: Master of Puppets, LE passage du live pour moi, durant lequel Hetfield a laissé chanter Bercy sur chaque refrain...rhaaaa, surénorme "Come craaawling fasteeeeer!!! Obeeeeeey your masterrrr!" avec les fameux "Master!!! Master!!!!", ptain je n'en pouvais plus.....le passage central, sublime, a été magistralement géré par Hammett (qui était décidément en très grande forme)....puis "Damage Inc." qui là encore ravit les fans anciens. Puis Hammett fait un nouvel interlude, cette fois électroaccoustique, un truc de très grande classe, et lance brusquement l'arpège hélas peu connu de la méconnue "Nothing Else Matters", bon, sans surprise, magnifiquement jouée (comme sur le dvd Cunning Stunts, intro sans batterie avec simplement le chant d'Hetfield, les grattes et la basses...splendide), solo nickel, bref top version. Et pour achever le set, que diriez vous d'un petit Enter Sandman? hé ben feu! Bon cette intro est juste monstrueuse, et au déclenchement du riff, la fosse a bougé comme jamais (c'était d'ailleurs très calme dans l'ensemble....c'est l'âge ça!). Et puis les mecs se tirent? Oui! Bon, pratique avec la scène centrale: on sait que les mecs vont revenir vu qu'on les voit au pied de la scène avec leurs serviettes et leur eau....héhé! Et ils reviennent en effet pour une song, une reprise de Mötörhead qui ma foi est fort bien passée, puis Phantom Lord, sympa mais je connaissais pas donc bon. Au passage, entre deux songs, Hetfield remarque un gamin porté par son père dans les tricunes, et demande "How old are you?" Le gamin est un peu tétanisé et ouvre sa main genre "5 ans", ce à quoi James répond avec son ton narquois "MMmh...that's pretty young"...rigolo!
Puis après Phantom Lord, ils se rebarrent! De nouveau, le public les réclame, et c'est un deuxième retour! Ca fait 2h20 qu'ils jouent, rha...
Et c'est le final ultime! Hetfield demande au public de lui promettre qu'il chantera, Ulrich a le pouce en l'air pour dire "one more, one more", la foule trépigne....et c'est un Seek'n Destroy qui déboule!! Retour à l'ancienne, la chanson datant de 1981, et au moment où le riff part, une pluie de ballons noirs de toutes tailles jaillit du plafond et envahit la scène et la fosse! Comme la lumière est allumée dans la salle, l'effet visuel est énorme, on voit quasi plus la scène avec tous les ballons, Hetfield et Trujillo shootent dedans pour les envoyer dans la fosse, où les gens se les échangent comme au volley! Puis les fans finissent par les garder pour eux! Ceux qui tombent sur un gros ballon n'ont d'autre choix que de s'assoir dessus, comme le mec devant moi! La chanson se termine et les gars passent environ 10minutes (si si) à saluer la foule, balancer des médiators, et saluer encore et encore Bercy. Hetfield remarque un drapeau dans la foule, demande à l'avoir, le choppe et s'en drappe immédiatement! Puis tour à tour, ils prennent le micro; Hetfield: "Mewwciii Pawiiiis!!", Hammett" Merci les amis, à bienntôww", Trujillo "Ca va?? ca va??? ", et Ulrich, de sa petite voix aggressive (oui il m'a déplu) "oh we haven't been in Pawiss since ffiiive fooockin yeeears"...Puis ils refont un tour et desencent de la scène, cette fois définitivement; ils choppent serviette et peignoir (pour Hetfield et Ulrich), puis passent.....à 5mm de nous!!! Rhâââ j'ai vraiment cru toucher Hetfield mais hélas non! Ulrich quant à lui m'apparaît comme un mégalo un peu strange, engoncé dans son peignoir et filant à toute berzingue (j'ai cru que c'était un mec de la sécurité tellement il filait avec sa gueule fermée)....
Hetfield lui nous a copieusement souri et a trainaillé dans l'allée, yeah! Lui demeure un modèle de rock attitude, sympa et simple (après il a aussi des défauts le gars, je suis bien d'accord, mais bon le pied qu'il prend sur scène fait plaisir à voir).
Bref après ce post bien long, moi je vous laisse et bordel, quel gros show! 2h30 de gros son, à part la qualité un peu discutable (mais pas horrible) de celui-ci, c'était du tout bon!!!! A voir et à revoir!!!
set list:
That Was Just Your Life
The End Of The Line
Harvester Of Sorrow
Disposable Heroes
One
Broken, Beat And Scarred
Cyanide
Sad But True
The Unforgiven
The Judas Kiss
The Day That Never Comes
Master Of Puppets
Damage Inc.
Nothing Else Matters
Enter Sandman
Encore:
Stone Dead Forever (Motörhead cover)
Phantom Lord
Seek & Destroy
Un verre à moitié vide est aussi à moitié plein. Un type à moitié intelligent est généralement complètement con
https://soundcloud.com/newcarradio
Sooodark
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jeanseb85
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Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 19 ans
Bonsoir
Sur un forum de batteur quelqu'un a été très sympa de nous permettre d'écouter le live aux Arènes de Nîmes
En ce moment je me régale ; http://www.wormee.com/
Ca fait du bien de réentendre des mecs en forme. Alcoolica c'est du passé, enfin je leur souhaite vivement.
Sur un forum de batteur quelqu'un a été très sympa de nous permettre d'écouter le live aux Arènes de Nîmes
En ce moment je me régale ; http://www.wormee.com/
Ca fait du bien de réentendre des mecs en forme. Alcoolica c'est du passé, enfin je leur souhaite vivement.
gratte grattounette.....
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