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v:lecs
« Octaforce »
Publié le 12/07/23 à 10:02
Rapport qualité/prix :
Excellent
Cible :
Tout public
Avec ses huit pistes, son séquenceur à probabilités, polymétrie, polyrythmie et parameter locks, ses step components, sa bonne gestion des clips, ses automations simples à dessiner, ses deux effets d'inserts et les nombreuses formes de synthèse proposées, Drambo m'apparaît comme une machine Elektron virtuelle nettement améliorée, car la longueur des séquences n'est par exemple pas limitée à 64 pas. J'ai possédé une Digitakt, une Digitone et un Syntakt, mais aucune ne m'a permis de faire autant de choses que Drambo !
Le logiciel est assez simple à prendre en main et on peut rapidement créer des morceaux en ayant recours aux presets, mais la lecture du manuel et le visionnage de tutoriels me paraissent indispensables si l'on souhaite utiliser ce qui constitue à mes yeux l'intérêt principal de Drambo : le caractère modulaire du logiciel et la possibilité de fabriquer ses propres instruments.
On peut ainsi conjuguer par exemple dans un même patch l'oscillateur simple, l'oscillateur FM, l'oscillateur à tables d'ondes (payant), le générateur de bruit, le résonateur modal ou un instrument virtuel externe en AU, ce qui permet de se lancer dans un sound design dont les limites sont celles de l'imagination du musicien. Il existe également de nombreux patches gratuits sur Patchstorage, dont certains sont particulièrement intéressants, notamment la modélisation du Korg Volca Drum et celle du SH-101.
Je n'ai pas encore essayé d'exporter les pistes séparément (on peut visiblement le faire avec AUM), fonction qui ressemble à l'Overbridge et me permettrait de mixer les morceaux avec plus de finesse.
Drambo est devenu mon logiciel de musique favori : son caractère modulaire offre de nombreuses possibilités de création sonore et l'écran tactile de l'iPad donne l'opportunité de modifier en direct les paramètres comme sur un instrument physique, à condition de ne pas avoir de gros doigts.
Le logiciel est assez simple à prendre en main et on peut rapidement créer des morceaux en ayant recours aux presets, mais la lecture du manuel et le visionnage de tutoriels me paraissent indispensables si l'on souhaite utiliser ce qui constitue à mes yeux l'intérêt principal de Drambo : le caractère modulaire du logiciel et la possibilité de fabriquer ses propres instruments.
On peut ainsi conjuguer par exemple dans un même patch l'oscillateur simple, l'oscillateur FM, l'oscillateur à tables d'ondes (payant), le générateur de bruit, le résonateur modal ou un instrument virtuel externe en AU, ce qui permet de se lancer dans un sound design dont les limites sont celles de l'imagination du musicien. Il existe également de nombreux patches gratuits sur Patchstorage, dont certains sont particulièrement intéressants, notamment la modélisation du Korg Volca Drum et celle du SH-101.
Je n'ai pas encore essayé d'exporter les pistes séparément (on peut visiblement le faire avec AUM), fonction qui ressemble à l'Overbridge et me permettrait de mixer les morceaux avec plus de finesse.
Drambo est devenu mon logiciel de musique favori : son caractère modulaire offre de nombreuses possibilités de création sonore et l'écran tactile de l'iPad donne l'opportunité de modifier en direct les paramètres comme sur un instrument physique, à condition de ne pas avoir de gros doigts.