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Anonyme
« Upgradé avec un Eminence wizad 104db : Le stade de france »
Publié le 09/07/20 à 23:34
Rapport qualité/prix :
Excellent
Cible :
Tout public
Les amplis à lampes de petite taille et de petite puissance deviennent une véritable mode dans le monde de la guitare. Leur look craquant et leur poids réduit en font des compagnons idéaux pour l’utilisation à domicile, les répétitions et même les petites scènes.Laboga, marque polonaise qui prend du galon dans le monde sans pitié de la concurrence musicale, propose ici une nouvelle mouture du petit ampli The Beast,sorti en 2011 en 15 watts, et qui passe à 30watts en version The Beast Plus. C’est donc un petit ampli garni de lampes, quatre EL84 et deux 12AX7, qui nous fait face. De taille assez réduite (un petit cube de 45 cm de côté à peu près), il ne semble pas faire ses 16 kg. La bestiole développe 30watts,switchables en 15 watts grâce à un interrupteur en façade et sert aussi de standby en position centrale, une bonne idée. Le look est assez austère, on aurait aimé un peu plus de fantaisie visuelle. L’ampli paraît résistant et les pièces de qualité. Le panneau de contrôle est peu garni , mais gageons que les réglages seront efficaces !
PETIT, MAIS COSTAUD
La diffusion est assurée par un Eminence wizad 103.5db en 16ohms( + 115.00€ ), gage d’une bonne assise dans les graves, point faible des combos en général. Mais assez parlé, branchons une superstrat à deux doubles dans le monstre Une fois la guitare branchée et les lampes préchauffées, on s’attarde sur le panneau de contrôle. Juste un canal clean et un canal overdrive sur ce petit rebelle, mais plusieurs boutons attirent l’attention. Pour le clean, seulement deux potards et un switch : Gain, Character et switch de crunch. Le gain vient épaissir le son clair sans le saturer outre mesure, ce qui sera plutôt le rôle du Master à l’extrême droite du panneau. Le potard Character a beau être la seule égalisation du clean, il joue bien son rôle et contre toute attente,on dispose d’un assez bon éventail de sons. Cleans cristallins, crunches très léger,cocottes et dead notes funky, rien d’impossible.En enclenchant le switch de crunch,c’est AC/DC qui nous tend les bras. Un bon canal clean, polyvalent.
DISCRET, MAIS BRUYANT !
Poussons le switch de changement de canal (pas de footswitch fourni, dommage). Le canal overdrive porte assez mal son nom, car nous allons voir que ce petit ampli est capable de high gain ! Au menu de ce canal, trois réglages (Gain, Bass et Treble) et un switch Mid au lieu d’un potentiomètre,qui creuse les médiums quand il est enclenché.Le gain monte très vite dans les tours et à 80 % c’est le déluge de distorsion !
Dire qu’avant il fallait un stack énorme poussé à fond pour obtenir ce genre de saturation… Les basses répondent présent, merci Eminence the wizard, et les aigus ne sont pas trop criards. Quel dommage de ne pas pouvoir mouiller le son avec une petite reverb embarquée ! On peut toutefois se défouler avec de jolies pédales dans la boucle d’effet dévolue à cette tâche. Le switch de Mid est efficace et assez équivalent
à un scoop qui creuse les mediums, sauf qu’ ici, il n’est pas dosable. La distorsion est acérée mais claire, très « Master of Puppets ». Pratique à utiliser et à transporter, de conception et fabrication très sérieuses, il sera à l’aise aussi bien en appartement, grâce à sa prise casque, en enregistrement via la sortie line out XLR, qu’en répète ou en live. Si vous cherchez la petite bête, vous risquez bien de la trouver…
PETIT, MAIS COSTAUD
La diffusion est assurée par un Eminence wizad 103.5db en 16ohms( + 115.00€ ), gage d’une bonne assise dans les graves, point faible des combos en général. Mais assez parlé, branchons une superstrat à deux doubles dans le monstre Une fois la guitare branchée et les lampes préchauffées, on s’attarde sur le panneau de contrôle. Juste un canal clean et un canal overdrive sur ce petit rebelle, mais plusieurs boutons attirent l’attention. Pour le clean, seulement deux potards et un switch : Gain, Character et switch de crunch. Le gain vient épaissir le son clair sans le saturer outre mesure, ce qui sera plutôt le rôle du Master à l’extrême droite du panneau. Le potard Character a beau être la seule égalisation du clean, il joue bien son rôle et contre toute attente,on dispose d’un assez bon éventail de sons. Cleans cristallins, crunches très léger,cocottes et dead notes funky, rien d’impossible.En enclenchant le switch de crunch,c’est AC/DC qui nous tend les bras. Un bon canal clean, polyvalent.
DISCRET, MAIS BRUYANT !
Poussons le switch de changement de canal (pas de footswitch fourni, dommage). Le canal overdrive porte assez mal son nom, car nous allons voir que ce petit ampli est capable de high gain ! Au menu de ce canal, trois réglages (Gain, Bass et Treble) et un switch Mid au lieu d’un potentiomètre,qui creuse les médiums quand il est enclenché.Le gain monte très vite dans les tours et à 80 % c’est le déluge de distorsion !
Dire qu’avant il fallait un stack énorme poussé à fond pour obtenir ce genre de saturation… Les basses répondent présent, merci Eminence the wizard, et les aigus ne sont pas trop criards. Quel dommage de ne pas pouvoir mouiller le son avec une petite reverb embarquée ! On peut toutefois se défouler avec de jolies pédales dans la boucle d’effet dévolue à cette tâche. Le switch de Mid est efficace et assez équivalent
à un scoop qui creuse les mediums, sauf qu’ ici, il n’est pas dosable. La distorsion est acérée mais claire, très « Master of Puppets ». Pratique à utiliser et à transporter, de conception et fabrication très sérieuses, il sera à l’aise aussi bien en appartement, grâce à sa prise casque, en enregistrement via la sortie line out XLR, qu’en répète ou en live. Si vous cherchez la petite bête, vous risquez bien de la trouver…