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V old man on the hill « DI métal. »
Publié le 18/12/12 à 10:55Di actif de l'honorable marque premier prix Behringer. Cette DI s'alimente soit par l'alimentation phantom de votre table soit par une pile 9v avec un accès à la trappe très facile.
C'est une imitation "cheap" de l'AR133 de chez BSS. Donc on retrouve toute les spécificités des célèbres boitiers bleu canard.
A savoir une construction externe robuste avec coins en caoutchouc, Entrées jack et xlr femelles (pratique pour sauver le signal voix avant un traitement hasardeux style TC helicon, le fameux Link pour généralement récupérer la basse avant l'ampli et bien sur la sortie symétrisée en XLR male.
Un ground lift pas très efficient et 2 pads atténuation -20db et -40db ( - 40db dites lui de se baisser!)
UTILISATION
La DI 100 est un petit couteau suisse.
Elle dépanne bien dans la majorité des cas. Peut aussi prolonger un câble jack à un autre ainsi qu' un XlR à un autre. Son autonomie sur pile peut sauver votre prochaine et dernière fête de la musique.
QUALITÉ SONORE
Je survolerais l'histoire des problèmes de souffle. Car trop de choses rentre en compte dans une chaine sonore et je ne retiendrais que cette DI ne servant qu'aux dépannages ou à la scène "émergente". Le matériel à sonoriser montre généralement quelque "lacunes" dans la qualité de son signal. (dur de rester poli!!).
Le DI actif est un boitier de préamplification primaire!
Et de ce point de vue, ce boitier ne devient plus la lubie d'un "sondier maniaque" mais redevient une exigence de musicien.
Et la DI 100 de ce point de vue se comporte de manière médiocre car elle colorise votre signal voire le métallise (au sens papier aluminium de terme).
Je précise que la BSS dans une toute autre mesure n'est point exempte de ce défaut.
Une centaine d'euros sépare ces deux modèles et cela s'entend.
Behringer ce n'est pas du matériel ultra professionnel mais ce n'est pas non plus une marque de jouet!
AVIS GLOBAL
J'en possède deux depuis 2002 et aucune n'est HS à ce jour.
Je ne m'en sert que pour du dépannage, de la répétition ou du concert à bas cout.
Car je le répète, il faut considérer la DI comme un boitier de préamplification et c'est là que l'on devient exigent.
C'est une imitation "cheap" de l'AR133 de chez BSS. Donc on retrouve toute les spécificités des célèbres boitiers bleu canard.
A savoir une construction externe robuste avec coins en caoutchouc, Entrées jack et xlr femelles (pratique pour sauver le signal voix avant un traitement hasardeux style TC helicon, le fameux Link pour généralement récupérer la basse avant l'ampli et bien sur la sortie symétrisée en XLR male.
Un ground lift pas très efficient et 2 pads atténuation -20db et -40db ( - 40db dites lui de se baisser!)
UTILISATION
La DI 100 est un petit couteau suisse.
Elle dépanne bien dans la majorité des cas. Peut aussi prolonger un câble jack à un autre ainsi qu' un XlR à un autre. Son autonomie sur pile peut sauver votre prochaine et dernière fête de la musique.
QUALITÉ SONORE
Je survolerais l'histoire des problèmes de souffle. Car trop de choses rentre en compte dans une chaine sonore et je ne retiendrais que cette DI ne servant qu'aux dépannages ou à la scène "émergente". Le matériel à sonoriser montre généralement quelque "lacunes" dans la qualité de son signal. (dur de rester poli!!).
Le DI actif est un boitier de préamplification primaire!
Et de ce point de vue, ce boitier ne devient plus la lubie d'un "sondier maniaque" mais redevient une exigence de musicien.
Et la DI 100 de ce point de vue se comporte de manière médiocre car elle colorise votre signal voire le métallise (au sens papier aluminium de terme).
Je précise que la BSS dans une toute autre mesure n'est point exempte de ce défaut.
Une centaine d'euros sépare ces deux modèles et cela s'entend.
Behringer ce n'est pas du matériel ultra professionnel mais ce n'est pas non plus une marque de jouet!
AVIS GLOBAL
J'en possède deux depuis 2002 et aucune n'est HS à ce jour.
Je ne m'en sert que pour du dépannage, de la répétition ou du concert à bas cout.
Car je le répète, il faut considérer la DI comme un boitier de préamplification et c'est là que l'on devient exigent.