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misticalitk
Analog
Publié le 07/12/15 à 14:39Le style est orienté sur du reggae en home studio indépendant vraiment super console surtout pour ses preampl en enregistrement et elle nous sert en mixage .
Ces une console de tres bonnes factures car apres toutes années elle a sa place dans le monde studio après niveau son ben il faut se armée et s'entoure de d'autre machine pour mixe mais franchement j'aurai du investir depuis avant car elle est très bien .
Ces une console de tres bonnes factures car apres toutes années elle a sa place dans le monde studio après niveau son ben il faut se armée et s'entoure de d'autre machine pour mixe mais franchement j'aurai du investir depuis avant car elle est très bien .
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jppineau
Publié le 04/06/08 à 07:51
Pour l'époque, cette console était comparable à l'arrivée des ADATs dans l'industrie de l'enregistrement, alors que ces caratéristiques n'étaient pas disponibles au 5ème du prix ! J'ai acquis la première unité importée au Canada et j'ai même dû changer le logiciel (sur Eprom) par deux fois ! 68 entrées combinées, avec automation VCA sur les 32 faders principaux, les bus et le master, plus des mutes sur toutes les fonctions et départs d'effets. Nous sommes en 1991, si je me rappelle bien... et je me retirais de la scène pour vivre de mes compositions et aider d'autres artistes émergeants. Il me fallait le confort des grosses consoles, à petit prix... et ce fut mon meilleur achat !
Après...…
Après...…
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Pour l'époque, cette console était comparable à l'arrivée des ADATs dans l'industrie de l'enregistrement, alors que ces caratéristiques n'étaient pas disponibles au 5ème du prix ! J'ai acquis la première unité importée au Canada et j'ai même dû changer le logiciel (sur Eprom) par deux fois ! 68 entrées combinées, avec automation VCA sur les 32 faders principaux, les bus et le master, plus des mutes sur toutes les fonctions et départs d'effets. Nous sommes en 1991, si je me rappelle bien... et je me retirais de la scène pour vivre de mes compositions et aider d'autres artistes émergeants. Il me fallait le confort des grosses consoles, à petit prix... et ce fut mon meilleur achat !
Après une naissance difficile qui a vu TASCAM redessiner les shémas de grounding, notamment, en vertu d'un bruit occasionné par l'ordinateur inclus dans la console, la M3700 s'est révélée fiable à l'usage et, après 17 ans de concubinage, elle fait toujours partie de mon setup, malgré l'introduction de l'informatique tout azimuth. Mis à part les LED des VUs, qui ont rendu l'âme (la console est demeurée «allumée» presque sans interruption durant 17 ans... ), aucune composante ne rechigne à l'effort et tout fonctionne comme au jour #1. Si j'ai sacrifié les EQ britanniques, j'ai gagné en fiabilité de façon incroyable. Pas une seule Soundcraft de l'époque, pas plus qu'une américaine dans cette gamme de prix, n'aurait résisté aussi admirablement !
UTILISATION
C'est une console In-Line qui a la possibilité de router ses sous-groupes à des départs d'effets sous automation, en les ramenant dans la matrice générale de la console. Cela était une innovation géniale pour l'époque. Avec ce nombre d'entrées, j'ai pu faire des sessions extrêmement denses et répondre aux exigences les plus farfelues de mes clients, car il y a toujours moyen de configurer la M3700, peu importe la demande. Je mixe à 32 pistes Lightpipes converties, j'ai aussi en ligne une batterie de modules synthés et GigaStudio sur un autre Puter... et j'ai toujours quelques entrées libres !
Si, aujourd'hui, je songe à «diminuer» mon installation, et à une console numérique pour la simplification du setup, j'avoue avoir de la difficulté à me résigner à me départir de cet outil encore très adéquat. De plus, la M3700 peut servir de surface de contrôle pour mes DAWs, puisqu'elle émet en MIDI... C'était 9 ans AVANT que l'on songe à commercialiser de tels attributs (!!!!!!!!!)
Aujourd'hui, j'utilise beaucoup moins l'automation, voire presque plus. Par contre, c'est toujours un excellent «cutting board», et, avec la prolifération des studios de poches et l'éradication graduelle des «Majors», cette console conserve son attrait en production.
SONORITÉS
Les EQ sont japonais... J'ai appris à m'en accommoder et, en superposant les courbes, on peut retrouver un peu du «shine» britannique. Ce sont, tout de même, des EQ semi-paramétriques, alors la venue des plugins a été un complément apprécié, c'est certain, et ça m'a permis de ramener l'Outboard Gear au minimum. ! D'autre part, le crosstalk est relativement important entre les canaux adjacents et cela affecte quelque peu le champs stéréo, perceptuellement. Il demeure que ce n'est pas une SSL mais je n'ai jamais eu à m'en plaindre, le prix aidant à m'en consoler ! Aussi, à 68 entrées, le «gain staging» est toujours critique, quand il y a presqu'un kilomètre de cables reliés au setup...
Évidemment, c'est aussi une console qui opère en -10db avec les contraintes que cela impose. Bon headroom, cependant, et la section master pardonne énormément avec un clip à +18...
J'ai toujours regretté de ne pas avoir acheté le Meter Bridge complet... mais il se vendait une véritable fortune à l'époque, 1800$ pour être plus précis... et ça n'ajoutait rien à ma capacité de production ni à la qualité de l'ensemble.
L'automation embarquée demande un peu d'habitude et l'ajout du logiciel pour MAC de JLCooper aidait à rendre la chose moins... abstraite (pas de moving faders, les amis...). Par contre, si jamais un problème mécanique survient (statique sur un fader en particulier...), on peut toujours passer manuellement en mode VCA et le tour est joué : plus de parasite (rare tout de même. C'est une assurance tranquilité.
AVIS GLOBAL
17 ans... et il ne lui manque pas une dent, à part quelques erraflures sur l'appui-bras, gracieuseté d'un employé trop négligent. Pour le reste, la M3700 m'a permis de vendre ma musique aux grandes agences, aux réseaux de télé canadiens et elle ne m'a jamais laissé tomber. j'ai donc pu livrer mes commandes sans anicroche ni pépin de son fait. Mis à part mes U-87(1969), ça demeure mon meilleur achat à vie et elle fait toujours un effet boeuf sur les clients qui ont presque perdu l'habitude d'un studio de production au look analogique.
Si je lui donne un 9... c'est juste pour tenir compte du marché haut de gamme auquel mes moyens ne me permettent pas d'accéder mais elle m'a aidé à torcher bien des compétiteurs qui ont, aujourd'hui, fermé leurs portes. Moi, j'ai vécu en musique et ma famille a prospéré, en partie grâce à cette console.
P.S. : les consoles TASCAM ne sont pas toutes égales entre elles... La M3700 est une exception, pour ces années.
Après une naissance difficile qui a vu TASCAM redessiner les shémas de grounding, notamment, en vertu d'un bruit occasionné par l'ordinateur inclus dans la console, la M3700 s'est révélée fiable à l'usage et, après 17 ans de concubinage, elle fait toujours partie de mon setup, malgré l'introduction de l'informatique tout azimuth. Mis à part les LED des VUs, qui ont rendu l'âme (la console est demeurée «allumée» presque sans interruption durant 17 ans... ), aucune composante ne rechigne à l'effort et tout fonctionne comme au jour #1. Si j'ai sacrifié les EQ britanniques, j'ai gagné en fiabilité de façon incroyable. Pas une seule Soundcraft de l'époque, pas plus qu'une américaine dans cette gamme de prix, n'aurait résisté aussi admirablement !
UTILISATION
C'est une console In-Line qui a la possibilité de router ses sous-groupes à des départs d'effets sous automation, en les ramenant dans la matrice générale de la console. Cela était une innovation géniale pour l'époque. Avec ce nombre d'entrées, j'ai pu faire des sessions extrêmement denses et répondre aux exigences les plus farfelues de mes clients, car il y a toujours moyen de configurer la M3700, peu importe la demande. Je mixe à 32 pistes Lightpipes converties, j'ai aussi en ligne une batterie de modules synthés et GigaStudio sur un autre Puter... et j'ai toujours quelques entrées libres !
Si, aujourd'hui, je songe à «diminuer» mon installation, et à une console numérique pour la simplification du setup, j'avoue avoir de la difficulté à me résigner à me départir de cet outil encore très adéquat. De plus, la M3700 peut servir de surface de contrôle pour mes DAWs, puisqu'elle émet en MIDI... C'était 9 ans AVANT que l'on songe à commercialiser de tels attributs (!!!!!!!!!)
Aujourd'hui, j'utilise beaucoup moins l'automation, voire presque plus. Par contre, c'est toujours un excellent «cutting board», et, avec la prolifération des studios de poches et l'éradication graduelle des «Majors», cette console conserve son attrait en production.
SONORITÉS
Les EQ sont japonais... J'ai appris à m'en accommoder et, en superposant les courbes, on peut retrouver un peu du «shine» britannique. Ce sont, tout de même, des EQ semi-paramétriques, alors la venue des plugins a été un complément apprécié, c'est certain, et ça m'a permis de ramener l'Outboard Gear au minimum. ! D'autre part, le crosstalk est relativement important entre les canaux adjacents et cela affecte quelque peu le champs stéréo, perceptuellement. Il demeure que ce n'est pas une SSL mais je n'ai jamais eu à m'en plaindre, le prix aidant à m'en consoler ! Aussi, à 68 entrées, le «gain staging» est toujours critique, quand il y a presqu'un kilomètre de cables reliés au setup...
Évidemment, c'est aussi une console qui opère en -10db avec les contraintes que cela impose. Bon headroom, cependant, et la section master pardonne énormément avec un clip à +18...
J'ai toujours regretté de ne pas avoir acheté le Meter Bridge complet... mais il se vendait une véritable fortune à l'époque, 1800$ pour être plus précis... et ça n'ajoutait rien à ma capacité de production ni à la qualité de l'ensemble.
L'automation embarquée demande un peu d'habitude et l'ajout du logiciel pour MAC de JLCooper aidait à rendre la chose moins... abstraite (pas de moving faders, les amis...). Par contre, si jamais un problème mécanique survient (statique sur un fader en particulier...), on peut toujours passer manuellement en mode VCA et le tour est joué : plus de parasite (rare tout de même. C'est une assurance tranquilité.
AVIS GLOBAL
17 ans... et il ne lui manque pas une dent, à part quelques erraflures sur l'appui-bras, gracieuseté d'un employé trop négligent. Pour le reste, la M3700 m'a permis de vendre ma musique aux grandes agences, aux réseaux de télé canadiens et elle ne m'a jamais laissé tomber. j'ai donc pu livrer mes commandes sans anicroche ni pépin de son fait. Mis à part mes U-87(1969), ça demeure mon meilleur achat à vie et elle fait toujours un effet boeuf sur les clients qui ont presque perdu l'habitude d'un studio de production au look analogique.
Si je lui donne un 9... c'est juste pour tenir compte du marché haut de gamme auquel mes moyens ne me permettent pas d'accéder mais elle m'a aidé à torcher bien des compétiteurs qui ont, aujourd'hui, fermé leurs portes. Moi, j'ai vécu en musique et ma famille a prospéré, en partie grâce à cette console.
P.S. : les consoles TASCAM ne sont pas toutes égales entre elles... La M3700 est une exception, pour ces années.
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Fiche technique
- Fabricant : Tascam
- Modèle : M-3700
- Catégorie : Consoles analogiques
- Fiche créée le : 03/12/2002
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Distribué par Arbiter France
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Autres dénominations : m 3700, m3700