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tki.design
Publié le 01/08/07 à 23:23
- Made in USA
- 22 frets
- Manche Rosewood
- 3 Micros : Mini-humbuckers
- Switch [treble - treble/bass - bass] + 3 Boutons micros indépendants + Bouton Tone
- Body 1 pièce (manche intégré)
UTILISATION
La Firebird d'Epiphone a tout d'une grande. Imposante par sa forme et sa stature peu conventionelles, elle pourrait en dérouter plus d'un au début. En effet, le manche est plus long que sur un modèle Fender ou Les Paul et les ailes inversées de la guitare peuvent surprendre au début. Son poids est plus balancé sur le manche massif que sur le corps et tend à déséquilibrer la guitare (je conseille une sangle en cuir pour corriger le problème) mais la masse de l'ensemble est moins importante que celle d'une Les Paul et c'est tant mieux. Le modèle peut aussi se targuer d'avoir été conçu pour permettre toutes les excentricités en matière de jeu, l'accès aux derniers frets est d'une aisance rare et le vibrola confère à l'instrument une présence absolue.
SONORITÉS
Le son, à la première approche, est direct et fort comme pour la plupart des modèles solid body. C'est une fois encore en s'attardant à bidouiller les boutons de volume indépendants des micros que l'on trouve l'alchimie qui convient. Le véritable avantage de ce modèle Firebird par rapport aux précédents (V, studio, ..) Epiphone et Gibson confondus est le troisième humbucker qui fait son apparition. La possibilité de le brancher ou pas via son bouton de volume permet de passer d'un son criard et electrique (treble) à une sonorité plus riche (bass - middle - treble), intéressante pour le jazz, ou carrément plus blues en ne laissant filtrer que les graves (bass - middle). Evidemment, tout ça est une question de savant dosage mais je crois sincèrement en la polyvalence de l'instrument sur ces différents terrains. J'y joins une pédale Boss DS-2 (Turbo Distortion) pour sortir un son puissant en solo, idéal pour les reprises de Lynyrd Skynyrd.
AVIS GLOBAL
La Firebird est vraiment une pièce unique, intemporelle, au son pénétrant. Et parmi les modèles présents et passés (de Firebirds j'entends), la numéro VII est sans doute la plus polyvalente. Son setup de micros couplé à son vibrola et son manche ouvert en font une véritable guitare de choix. Je tiens également à préciser que la qualité de la finition du modèle Epiphone surpasse presque celle de sa grande soeur Gibson, chose rare.
Mais comme tout est question de goût, je vous conseille de vous faire votre propre avis sur la pièce en l'essayant par vous même. Chaque guitare a son histoire et chaque guitariste son langage.
- 22 frets
- Manche Rosewood
- 3 Micros : Mini-humbuckers
- Switch [treble - treble/bass - bass] + 3 Boutons micros indépendants + Bouton Tone
- Body 1 pièce (manche intégré)
UTILISATION
La Firebird d'Epiphone a tout d'une grande. Imposante par sa forme et sa stature peu conventionelles, elle pourrait en dérouter plus d'un au début. En effet, le manche est plus long que sur un modèle Fender ou Les Paul et les ailes inversées de la guitare peuvent surprendre au début. Son poids est plus balancé sur le manche massif que sur le corps et tend à déséquilibrer la guitare (je conseille une sangle en cuir pour corriger le problème) mais la masse de l'ensemble est moins importante que celle d'une Les Paul et c'est tant mieux. Le modèle peut aussi se targuer d'avoir été conçu pour permettre toutes les excentricités en matière de jeu, l'accès aux derniers frets est d'une aisance rare et le vibrola confère à l'instrument une présence absolue.
SONORITÉS
Le son, à la première approche, est direct et fort comme pour la plupart des modèles solid body. C'est une fois encore en s'attardant à bidouiller les boutons de volume indépendants des micros que l'on trouve l'alchimie qui convient. Le véritable avantage de ce modèle Firebird par rapport aux précédents (V, studio, ..) Epiphone et Gibson confondus est le troisième humbucker qui fait son apparition. La possibilité de le brancher ou pas via son bouton de volume permet de passer d'un son criard et electrique (treble) à une sonorité plus riche (bass - middle - treble), intéressante pour le jazz, ou carrément plus blues en ne laissant filtrer que les graves (bass - middle). Evidemment, tout ça est une question de savant dosage mais je crois sincèrement en la polyvalence de l'instrument sur ces différents terrains. J'y joins une pédale Boss DS-2 (Turbo Distortion) pour sortir un son puissant en solo, idéal pour les reprises de Lynyrd Skynyrd.
AVIS GLOBAL
La Firebird est vraiment une pièce unique, intemporelle, au son pénétrant. Et parmi les modèles présents et passés (de Firebirds j'entends), la numéro VII est sans doute la plus polyvalente. Son setup de micros couplé à son vibrola et son manche ouvert en font une véritable guitare de choix. Je tiens également à préciser que la qualité de la finition du modèle Epiphone surpasse presque celle de sa grande soeur Gibson, chose rare.
Mais comme tout est question de goût, je vous conseille de vous faire votre propre avis sur la pièce en l'essayant par vous même. Chaque guitare a son histoire et chaque guitariste son langage.