Voir les autres avis sur ce produit :
Publié le 23/03/08 à 10:21
Petite histoire : en septembre 1977, Grover Jackson rentre Chez Wayne Charvel comme réparateur de guitare. Il racheta l'entreprise en difficulté en novembre de l'annér suivante continuant le travail de réparation et customisation de guitares. Fin 1980 il rencontre le jeune Randy Rhoads, 24 ans et en pleine ascension comme guitariste de Ozzy Osbourne. Il lui fabriquera un premier modèle inspiré de la Flying V de Gibson, puis l'année suivante une version plus radicale avec des ailes asymétriques. Jackson se démarque alors des productions Charvel, inspirées par Fender et commence a apposer son nom sur quelques modèles customisés. La mort brutale de Rhoads dans un accident d'avion relance l'interêt des guitaristes pour ce modèle et Jackson lance finalement son premier modèle de série sous son nom : la RR.
Modèle fabriqué au Japon
- Corps aulne
- Manche conducteur érable
- Touche palissandre 22 cases
- Repères incrustations Dents de requin
- 2 Micros double bobinage : Seymour Duncan SH4
- Réglages : 2 volumes + tonalité
- Sélecteur 3 positions
- Chevalet Tunamatic
- Mécaniques à bain d'huile
- Accastillage doré
Bonne qualité perçue et bonne finition dans l'ensemble. Surtout quelle légèreté.
UTILISATION
Manche très agréable, fin, rapide et précis. Accès aux aigus : ils vous sautent dessus les aigus !!! Ergonomie parfaite, guitare TRES équilibrée (pour une forme type flying V c'est à noter quand même!). Encore une fois : quelle légèreté!!
SONORITÉS
Oh que c'est lourd. Et pas très défini d'ailleurs. Une bonne noise gate à prévoir avec. Pour les riffs métal lourds, c'est un vrai bonheur. Pour les solos ça devient plus délicat. Les seymour duncan ne se montrent pas très précis dans les aigus, mais il faut préciser qu'ils ne sont pas aidés par le calibre des cordes montées dessus en usine : c'est bien leger quand même et ça handicape la précision de jeu.
Peu importe, cette guitare est très attachante et le son très lourd fait pousser les poils et les tatouages à vue d'oeil.
A ce Randy Rhoads, quel guitariste c'était, avec du gout pour les bonnes guitares.
AVIS GLOBAL
Nostalgie quand tu nous tiens... Randy Rhoads est mort en 82 mais ses guitares "signature" restent d'actualité. Une référence quoi. Même si cette guitare manque un peu de précision à mon goût dans les aigus, c'est un vrai plaisir de jouer dessus, et les rythmiques à la hache rattrape ce petit défaut.
Modèle fabriqué au Japon
- Corps aulne
- Manche conducteur érable
- Touche palissandre 22 cases
- Repères incrustations Dents de requin
- 2 Micros double bobinage : Seymour Duncan SH4
- Réglages : 2 volumes + tonalité
- Sélecteur 3 positions
- Chevalet Tunamatic
- Mécaniques à bain d'huile
- Accastillage doré
Bonne qualité perçue et bonne finition dans l'ensemble. Surtout quelle légèreté.
UTILISATION
Manche très agréable, fin, rapide et précis. Accès aux aigus : ils vous sautent dessus les aigus !!! Ergonomie parfaite, guitare TRES équilibrée (pour une forme type flying V c'est à noter quand même!). Encore une fois : quelle légèreté!!
SONORITÉS
Oh que c'est lourd. Et pas très défini d'ailleurs. Une bonne noise gate à prévoir avec. Pour les riffs métal lourds, c'est un vrai bonheur. Pour les solos ça devient plus délicat. Les seymour duncan ne se montrent pas très précis dans les aigus, mais il faut préciser qu'ils ne sont pas aidés par le calibre des cordes montées dessus en usine : c'est bien leger quand même et ça handicape la précision de jeu.
Peu importe, cette guitare est très attachante et le son très lourd fait pousser les poils et les tatouages à vue d'oeil.
A ce Randy Rhoads, quel guitariste c'était, avec du gout pour les bonnes guitares.
AVIS GLOBAL
Nostalgie quand tu nous tiens... Randy Rhoads est mort en 82 mais ses guitares "signature" restent d'actualité. Une référence quoi. Même si cette guitare manque un peu de précision à mon goût dans les aigus, c'est un vrai plaisir de jouer dessus, et les rythmiques à la hache rattrape ce petit défaut.