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Bad Seeds « A keeper (la guitare qu'on garde) »
Publié le 04/08/24 à 23:41
Rapport qualité/prix :
Excellent
Cible :
Tout public
Je reprends mon avis laissé en 2013 intitulé "culte". Depuis j'ai vendue la guitare pour des raisons financières. Je l'avais acheté neuve au Japon en 2010, de couleur naturelle (cf la photo de l'avis) .
J'ai désormais une autre GB10. Achetée d'occasion, cette fois chez Bass n Guitar en 2022. Celle là est sunburst made in Japan en 2002. Très bien entretenue. Un tout petit éclat de vernis sur la table et le métal des micros un peu ternis.
Avec l'expérience j'ai un tout autre ressenti : une facilité accrue à jouer, toujours aussi déconcertante du fait de son gabarit et de son manche. Elle m'a accompagnée dans des gigs de style plutôt groove et smooth jazz, dans un resto de Pigalle. Très à l'aise debout car pas trop lourde et caisse réduite. Les accords sont faciles, le manche est rapide.
Et dernièrement au théâtre Le Guichet Montparnasse pour ma pièce "Suspicious Minds" dans un registre rock et blues (fifties, sixties) avec au milieu de la pièce un solo sur BB King "Thrill is Gone" . Branchée dans mon Deluxe Reverb Tone Master et avec une pédale Tumnus Wampler, l'overdrive naturel crémeux à souhait vraiment adapté au contexte.
Montée alors avec des cordes "round" et non pas "flat" elle devient tout à fait versatile, polyvalente.
Les micros mini humbuckers sont selon moi, à mi chemin entre le son de single coils et le son de humbuckers. En étant peut être plus proche de single coils. Vous ajoutez le son boisé, et acoustique (caisse) cela donne un résultat sonore unique qui finalement permet une grande variété de registres.
J'ai connu un guitariste de studio il y a 20 ans qui en possédait plusieurs avec des accordages différents.
Celle-ci je la garde, c'est une keeper. Son look est patiné par le temps, le binding a jauni. Elle ressemble à une vielle Gibson.
Guitare station rue de Douai, l'atelier de lutherie, m'a gentiment recollé l'entourage binding du pickguard et placé un tampon en mousse sous le micro au lieu du bouchon de champagne que j'avais placé afin d'éviter une légère vibration.
Elle est devenue avec le temps évidente, faisant parti naturellement de mon voyage en guitare. Merci Ibanez et merci Georges B.
J'ai désormais une autre GB10. Achetée d'occasion, cette fois chez Bass n Guitar en 2022. Celle là est sunburst made in Japan en 2002. Très bien entretenue. Un tout petit éclat de vernis sur la table et le métal des micros un peu ternis.
Avec l'expérience j'ai un tout autre ressenti : une facilité accrue à jouer, toujours aussi déconcertante du fait de son gabarit et de son manche. Elle m'a accompagnée dans des gigs de style plutôt groove et smooth jazz, dans un resto de Pigalle. Très à l'aise debout car pas trop lourde et caisse réduite. Les accords sont faciles, le manche est rapide.
Et dernièrement au théâtre Le Guichet Montparnasse pour ma pièce "Suspicious Minds" dans un registre rock et blues (fifties, sixties) avec au milieu de la pièce un solo sur BB King "Thrill is Gone" . Branchée dans mon Deluxe Reverb Tone Master et avec une pédale Tumnus Wampler, l'overdrive naturel crémeux à souhait vraiment adapté au contexte.
Montée alors avec des cordes "round" et non pas "flat" elle devient tout à fait versatile, polyvalente.
Les micros mini humbuckers sont selon moi, à mi chemin entre le son de single coils et le son de humbuckers. En étant peut être plus proche de single coils. Vous ajoutez le son boisé, et acoustique (caisse) cela donne un résultat sonore unique qui finalement permet une grande variété de registres.
J'ai connu un guitariste de studio il y a 20 ans qui en possédait plusieurs avec des accordages différents.
Celle-ci je la garde, c'est une keeper. Son look est patiné par le temps, le binding a jauni. Elle ressemble à une vielle Gibson.
Guitare station rue de Douai, l'atelier de lutherie, m'a gentiment recollé l'entourage binding du pickguard et placé un tampon en mousse sous le micro au lieu du bouchon de champagne que j'avais placé afin d'éviter une légère vibration.
Elle est devenue avec le temps évidente, faisant parti naturellement de mon voyage en guitare. Merci Ibanez et merci Georges B.
