optique big bottom
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bernard 71
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1) Il n'y a rien de numérique dans la version H/W du big bottom.
(A moins de considérer les boutons poussoirs en facade avant qui allument ou éteignent les diodes comme des systèmes numériques!
)
2) Il n'y a pas de "lampe" non plus! En revanche, il y a un phototransistor (ou assimilé).
La "lampe" est une del (led en anglais) qui éclaire un dipôle dont la résistance varie en fonction de l'éclairement. L'ensemble étant dans un même boitier, il est invisible de l'extérieur. Le dipôle peut être la base d'un transistor (phototransistor) ou une résistance (optocoupleur). dans ce dernier cas, la resisyance de l'optocoupleur varie en fonction de l'éclairement.
La signature sonore des compresseurs optiques provient du temps nécessaire à la diode pour produire de la lumière et à s'éteindre. De plus l'énergie lumineuse varie de façon non linéaire. La façon dont le récepteur est sensible à la variation de lumière joue aussi.
Le raisonnement est là, mais pas de lampe qui chauffe. La source lumineuse est assimilable à une diode électroluminescente (DEL) qui ne chauffe pour ainsi dire pas.
(A moins de considérer les boutons poussoirs en facade avant qui allument ou éteignent les diodes comme des systèmes numériques!
)2) Il n'y a pas de "lampe" non plus! En revanche, il y a un phototransistor (ou assimilé).
Citation de wikipedia :
Un phototransistor est un transistor bipolaire dont la base est sensible au rayonnement lumineux ; la base est alors dite flottante puisqu’elle est dépourvue de connexion. Lorsque la base n’est pas éclairée, le transistor est parcouru par le courant de fuite ICE0. L’éclairement de la base conduit à un photocourant Iph que l’on peut nommer courant de commande du transistor.
Citation de bernard :
il y a une autre possibilité la lampe éclaire une résistance sensible à la lumière plus la lampe éclaire et plus la résistance diminue diminuant ainsi le gain de l'amplification( circuit de contre réaction de l'ampli)
La "lampe" est une del (led en anglais) qui éclaire un dipôle dont la résistance varie en fonction de l'éclairement. L'ensemble étant dans un même boitier, il est invisible de l'extérieur. Le dipôle peut être la base d'un transistor (phototransistor) ou une résistance (optocoupleur). dans ce dernier cas, la resisyance de l'optocoupleur varie en fonction de l'éclairement.
La signature sonore des compresseurs optiques provient du temps nécessaire à la diode pour produire de la lumière et à s'éteindre. De plus l'énergie lumineuse varie de façon non linéaire. La façon dont le récepteur est sensible à la variation de lumière joue aussi.
Citation de bernard :
c'est un compresseur optique qui possède une lampe et plus le signal d'entrée est élevé et plus la lampe chauffe et plus sa résistance augmente et plus le compresseur agira, c'est une résistance variable.
Le raisonnement est là, mais pas de lampe qui chauffe. La source lumineuse est assimilable à une diode électroluminescente (DEL) qui ne chauffe pour ainsi dire pas.
[ Dernière édition du message le 10/11/2014 à 21:48:51 ]
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