Voir les autres avis sur ce produit :
Anonyme
« Carrément bien »
Publié le 01/09/20 à 03:25
Rapport qualité/prix :
Excellent
Cible :
Tout public
J’ai acquis dernièrement la SSL 2 en remplacement de mon Apogee Duet firewire dont le pilote a pris sa retraite. A ce propos je collectionne depuis de nombreuses années les interfaces audio vouées à l’obsolescence comme, par exemple et entre autres, la Mackie Spire au design façon Concorde ou la Line 6 toneport au look « White Snow et les seven dwarfs ».
La SSL 2, ça ressemble plutôt à un boitier d’arrêt d’urgence sans le bouton rouge au milieu. Les grands bretons ont opté pour un bouton bleu dont le potentiomètre gradué de 0 à11 est destiné au volume des moniteurs. Ils ont également supprimé les intermédiaires en rendant l’objet « plug and play ». Plus besoin de se pourrir l’existence avec le dernier driver en date sur le Net. A noter deux ports ligne et micro combo jack/xlr qui permettent le branchement instrument, micro dynamique et condensateur sur la même entrée. Un magasin en ligne conseille l’achat de fiches Neutrik NL4LP en sus. Faiblesse ? Sous les deux boutons de gain rouges, les interrupteurs 4K. A enclencher pour plus de finesse dans le rendu et à déclencher au cas ou vous souhaiteriez que votre enregistrement soit moins chouette. En haut à droite, un potard input - USB pour doser la latence. La conception est anglaise et l’assemblage chinois.
A la lecture du PDF « SSL 2 Manuel d’utilisateur », les caractéristiques techniques seraient supérieures à celles de mon ancienne interface. A l’écoute, mes oreilles de septuagénaire, malgré les accouphènes, constatent, effectivement, une différence bénéfique. Mon casque et mes écoutes, à cet égard, semblent profiter d’une deuxième vie dans le genre résurrection. Je gage, dans ces conditions, un mixage moins pénible et moins hasardeux.
Le prix… Cinquante pour cent de moins que mon matos précédent ou ses rééditions. Abordable quoi. Carrément bien.
La SSL 2, ça ressemble plutôt à un boitier d’arrêt d’urgence sans le bouton rouge au milieu. Les grands bretons ont opté pour un bouton bleu dont le potentiomètre gradué de 0 à11 est destiné au volume des moniteurs. Ils ont également supprimé les intermédiaires en rendant l’objet « plug and play ». Plus besoin de se pourrir l’existence avec le dernier driver en date sur le Net. A noter deux ports ligne et micro combo jack/xlr qui permettent le branchement instrument, micro dynamique et condensateur sur la même entrée. Un magasin en ligne conseille l’achat de fiches Neutrik NL4LP en sus. Faiblesse ? Sous les deux boutons de gain rouges, les interrupteurs 4K. A enclencher pour plus de finesse dans le rendu et à déclencher au cas ou vous souhaiteriez que votre enregistrement soit moins chouette. En haut à droite, un potard input - USB pour doser la latence. La conception est anglaise et l’assemblage chinois.
A la lecture du PDF « SSL 2 Manuel d’utilisateur », les caractéristiques techniques seraient supérieures à celles de mon ancienne interface. A l’écoute, mes oreilles de septuagénaire, malgré les accouphènes, constatent, effectivement, une différence bénéfique. Mon casque et mes écoutes, à cet égard, semblent profiter d’une deuxième vie dans le genre résurrection. Je gage, dans ces conditions, un mixage moins pénible et moins hasardeux.
Le prix… Cinquante pour cent de moins que mon matos précédent ou ses rééditions. Abordable quoi. Carrément bien.