Je soutiens la démarche de djangologiste. Comme lui je trouve que la mise en parallèle de deux images n'ayant à priori rien à voir peut amener à s'interroger plus en profondeur sur le contenu de ces images, sur le sens qu'on peut leur prêter. Par exemple, pour l'image du GI souriant accolée à celle de l'enfant-soldat, ca peut amener à s'interroger sur la différence de perception qu'on a d'une arme, présentée comme "libératrice" dans les mains du GI, et comme un fléau dans les mains du gosse.
Ce qu'y a de bien c'est que chacun peut trouver son interprétation, cogiter sur tout ca, etc etc.