Punks, Mods, Rasta, Skins. vos courants et tendances

Hors sujet : Salut JCM, j'ai eu ton mail, je vous répond dans la journée à toi et Mistouf.

Hors sujet : nul
tout est à zéro
ouragan destructeur
en plus, ce matin les 4 à l'école, j'ai pas pu me retenir
rien, le vide, le néant
continuez à poster les gars, je lis et parfois je souris,
euh, j'essaie de relever mes levres
le début du rien
le début de la fin
20 ans en arrière
l'echec total
faut tenir pour les ptits zouaves...
à bientot de visu
je m'raccroche à tout ce que je peux
meme à ce clavier , c'est pour dire...

Citation : M'en parles pas j'essaye de ne plus approcher de la fnac à moins de 200 mètres, j'en suis déja à 12 cd achetés (avec la carte le 4eme est gratos)...

Hors sujet : Mistouf t'as un mail

Hors sujet : Hey Mistouf, c'est quoi cette équipe?
Il n'y a pas de jeu.
Se faire balader comme ça, c'est franchement honteux.
0-2 à la mi-temps, je suis dégoutté!

Et Drogba, avec ses allez l'OM! Qu'il aille se faire .....!

franchement, à part la relégation, je ne vois pas ce que l'on peut jouer...

Citation : Et Drogba, avec ses allez l'OM! Qu'il aille se faire .....!

Citation : 21 ans

Citation : Et toi tu fais quoi ?

Citation : la troisième gratte,

Citation : Agé de 55 ans, le guitariste est mort dans son sommeil, rejoignant au paradis du punk-rock le chanteur Joey Ramone, mort lui aussi d'un cancer en 2001 et le bassiste Dee Dee Ramone, disparu l'année suivante d'une overdose.

Le week-end dernier, un concert hommage avait célébré à Los Angeles les 30 ans du groupe new yorkais.

Eddie Vedder, le chanteur de Pearl Jam, ainsi que Jogn Frusciante, le guitariste des Red Hot Chili Peppers, étaient à son chevet ces derniers jours et ont participé à ce concert.

Trop affaibli par la maladie qu'il combattait depuis cinq ans, Johnny Ramone, de son vrai nom John Cummings, n'avait pu se déplacer mais il s'était entretenu par téléphone avec ses fans. Il devait être incinéré jeudi dans l'intimité.

Formé au mi-temps des années 70 à New York, les Ramones font partie de la génération punk éclose à Manhattan à cette époque, au CBGB's, quelques temps avant les punk britanniques.

Fourbissant de petits bijoux de rock brut, des giclées sauvages, simplissimes et pop sur deux accords, dépassant rarement les 90 secondes, les Ramones revendiquaient surtout leur crétinerie - leur mot d'ordre "Gabba Gabba Hey" le résumait parfaitement.

"Beat on the brat" (frappez le sale gosse), "Now I wanna sniff some glue" (je veux sniffer de la colle), "I wanna be your boyfriend", "Blitzgrieg Bop", les titres de leur premier album de 1976 enregistré en trois jours, mixé en une nuit, sonnent encore aujourd'hui comme autant d'hymnes punks à la fraîcheur inouïe. L'urgence et la simplicité érigées en modèles.

Portés par le revival rock'n'roll, les Ramones reviennent actuellement dans l'air du temps - un signe qui ne trompe pas: des dizaines de fans et de fashion victims ont ressorti ces dernières semaines à Manhattan leurs T-Shirt à l'effigie du groupe.

Alors, une seule consolation pour les admirateurs du groupe après la disparition coup sur coup des trois piliers Joey, Dee Dee et Johnny: enfin un groupe qui ne nous fera pas l'affront d'une pathétique reformation pour la monnaie...