Sujet Les images qui tordent (ou pas)

Le gros problème du bac c'est que le niveau attendu varie entre les sections et les années, si le niveau requis restait constant tous les ans il n'y aurait pas de problème, pas besoin de tartouiller sur les barèmes, on passerait l'examen pour lequel on s'est préparé toute l'année, et il n'y aurait pas à gruger de tout les cotés.
Si je prend mon cas, pour le bac S, le bac de l'an passé était archi simple des questions portant sur des parties évidente du programme mainte fois travaillées en cours, pas de problèmes. Cette année bizarement, on s'est retrouvée avec des questions dans certains sujet où on pour répondre il fallait avoir des raisonnements et appliquer des méthodes jamais travaillés en cours et jamais sortit en annal non plus, alors certes tout s'appuyait sur des connaissances exigibles mais à 10 000 lieux de ce que l'on nous avais rabâché toute l'années en nous disant c'est comme ça qu'il faut faire c'est ça qui est attendu, avec tel théorème vous avez tel type d'éxo... Bref ils se sont bien arrangés pour refaire grimper le niveau du bac S en allant chercher la petite bête dans tout les recoins sombre du programme pour redorer le blason "élitiste" de la série S (pcq si on regarde tout les cas de sujet infaisable ou archi dure y a que dans la série S que ça arrive...).
Donc pour moi le problème du bac il est là, si il y avait de fixé un niveau constant pour l'obtenir il n'y aurait pas besoin de truander pour arrondir les angles et brader le diplôme.
Après pour ce qui est des compétences ce n'est pas la faute a l’examen et son obtention mais uniquement de la manière dont sont réalisés les programmes, pendant beaucoup d'années tout était basé sur l'ingurgitation de connaissances en grandes quantité et d'applications bêtes et méchantes, mais c'est en train d'évoluer pcq on s'est aperçus que les Francais étaient a chier en post bac pour tout ce qui est raisonnement est utilisation concrète des connaissances ingurgitées, la dernière réforme du bac S avait d’ailleurs pour objectif de favoriser les raisonnements plus que les connaissances.