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Citation : Maintenant, me tapper toujours les mêmes discussions sur l'argent, c'est sale, ça tue la musique avec un air candide sur d'avoir tout compris, ça me saoule un peu

Citation : Maintenant, me tapper toujours les mêmes discussions sur les pieds, c'est sale, ça tue l'amour avec un air candide sur d'avoir tout compris, ça me saoule un peu. Af, c'était mieux avant

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Vous avez plus le flair pour trouver les bonnes discussions, c'est tout....

Hors sujet : La question de l'âge, c'est pas du tout une affaire "d'ancien" regardant un "petit jeune" de haut. pas mon genre. Et puis j'espère n'avoir pas encore l'âge de jouer aux anciens.
C'est juste que quelqu'un qui n'aurait pas connu l'arrivée de Jarre à la fin des années 70 ne peut à mon avis pas comprendre l'impact que ça a eu.

Moi je suis né en 70. J'ai baigné assez jeune dans la musique, bien que pas de musicien dans ma famille. Plutôt la chanson (culture familiale) et le jazz (plein de potes de mes parents qui venaient passer des vacances à la maison en se tapant des boeufs autour du feu jusqu'à des heures impossibles), et puis le rock 70, quoi.

Je ne sais plus quand j'ai découvert Jarre. Ça devait être à la sortie d'Equinoxe (1978). Je me rappelle que c'était un reportage à la télé (pourtant on avait pas la télé) où on parlait de ce type bizarre qui faisait de la musique tout seul avec des synthétiseurs. La claque.

Dans le paysage musical de l'époque, c'était quand même un sacré ovni. Et tout à coup, des machines et des concepts qui servaient essentiellement à de la musique "savante" et pointue faisaient en entrée fracassante dans la musique populaire.
Qui certes utilisait déjà largement les synthés, mais pas dans la démarche 100 % synthétique de Jarre.

Je devais tripoter ma première gratte, à l'époque.
Quelques années plus tard, je me lançais dans la démarche du mélange des synthés et des instruments acoustiques.

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Mais, comme Lux l'a répondu dans le thread original, les piliers je les vois plutôt du côté de Pierre Henry et Kraftwerk que Jarre...

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Qui certes utilisait déjà largement les synthés, mais pas dans la démarche 100 % synthétique de Jarre.