Jet Pedals : jetons un œil aux effets de saturation

Les Lion Distor­tion et Lamb Over­drive offrent la parti­cu­la­rité d’être entiè­re­ment program­mables. Si leur circuit est tota­le­ment analo­gique, il est contrôlé numé­rique­ment. Les pédales profitent d’une inter­face MIDI qui permet d’ac­cé­der à de nombreux presets.

La Lion Distor­tion possède un circuit très inspiré des Boss DS-1, ProCo RAT et JHS Angry Char­lie. Ce circuit est construit autour d’un ampli-OP dans la boucle duquel la marque a placé des diodes Hard Clip­ping. Le circuit de la Lion Distor­tion fonc­tionne sous 18 volts grâce à un doubleur de voltage interne. La pédale dispose de 3 circuits de distor­sion diffé­rents et elle peut stocker 3 presets. En utili­sant un contrô­leur MIDI, on accède à 100 presets. Pour ajus­ter la pédale, on dispose de réglages de Volume, Gain, Low Cut et High Cut. Un premier foot switch permet d’ac­ti­ver/désac­ti­ver la pédale et un second permet de bascu­ler entre les diffé­rents presets.

Comp­tez 304 € pour la Lion Distor­tion.

La Lamb Over­drive reprend le même concept, mais appliqué à un over­drive de type Blues­brea­ker. Le circuit de la pédale est construit autour d’un ampli-OP dans la boucle duquel on trouve cette fois-ci des diodes Soft Clip­ping. On retrouve même le doubleur de voltage interne qui permet à la pédale de fonc­tion­ner sous 18 volts pour davan­tage de headroom.

Comme pour la Lion Distor­tion, on a le choix entre 3 circuits d’over­drive et la pédale peut accueillir 3 presets. Via MIDI, on peut en utili­ser 100. La Lamb Over­drive profite de réglages de Volume, Gain, Tone et Mid Boost. Comme sa cousine la Lion Distor­tion, la Lamb Over­drive est propo­sée au tarif de 304 €.

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