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Lleomax « Simplement le meilleur piano digital du monde ... et tellement plus ! »
Publié le 01/07/17 à 11:33
Rapport qualité/prix :
Excellent
Cible :
Tout public
Le GEM PROMEGA 3, c'est un look et un feeling fabuleux qui, combiné à une sonorité d'une profondeur invraisemblable, donnent juste envie de jouer ... et, même plus, d'explorer un rien de création sonore, ce qui n'est pas fréquent je vais y revenir - avec un piano digital.
A quoi cela tient-il selon moi ?
D'abord le moteur de synthèse sonore des sons de piano est juste EXCEPTIONNEL. Pour fixer mon benchmark, je peux le comparer en direct à mon KRONOS 88 qui était pour moi une forme de perfection jusqu'à ce mois de septembre 2016 où j'ai découvert ce Promega 3. Et bien, la cause est entendue : en comparaison, côte à côte, le GEM est supérieur en tout : basse, profondeur, aigus, ... et un médium d'une richesse inouïe.
Première cause : un échantillonnage parfait, associé à une polyphonie ... de 320 notes (!!!). Oui, vous avez bien lu : 320. Conséquence : vous pouvez enfoncer la pédale de sustain, et placer des accords à l'infini ... et aucune note ne coupe jamais. Jamais ... L'espace sonore harmonique peut se remplir presque comme sur un vrai instrument.
Deuxième raison, la qualité de finition. Remarquable. Un instrument pro haut de gamme en tout. Un clavier excellent, précis et agréable. Un sentiment de robustesse sur les potards, les curseurs, la caisse ... Contrepartie : le jeune homme pèse son poids (!)
Troisième raison, l'interface. En fait, quatre section combinables : pianos acoustiques (De excellentissimes comme le Fazio pleine-queue à très très bons) , pianos électriques (tous excellents !), sections basses (très bonnes à correctes) et section synthés (de bons (cordes, ...) à très "bof" sur quelques sonorités) ... Mais ces combinaisons de sections, classiques en elles-mêmes, deviennent hyper-addictives grâce aux quatre fadeurs motorisés, dont les positions sont mémorisables avec les combinaisons elle-mêmes... et là je crie au génie parce que du coup on n'hésite jamais à doper - si besoin - les sons de piano par un soupçon de basse ici, ou par un rien de nappe là selon les genres ou le morceaux ... et ce qui est déjà un formidable instrument pro devient en plus un incroyable objet ludique qui pousse à à la créativité.
Enfin, les effets - désactivables et dosables à volonté - sont très très bons notamment la réverb.
En résumé un instrument rare, attachant et qui ne quittera sans doute jamais mon studio. Je n'hésite pas à le dire, une parfaite réussite de GEM. Dans les synthés analos poly, les italiens nous ont donné le sublime Synthex ; dans les modulaires, la série des GRP de Paolo Gropionni ... et bien, dans les pianos digitaux, ils auront créé le Promega 3. Totalement mésestimé ... et tant mieux pour ceux qui, comme moi, pourront l'acquérir pour moins de 1.000 euros port compris. Le plus dur sera de le trouver. Mais ce seront parmi les euros les mieux dépensés de votre vie de musiciens. Je persiste et signe !
A quoi cela tient-il selon moi ?
D'abord le moteur de synthèse sonore des sons de piano est juste EXCEPTIONNEL. Pour fixer mon benchmark, je peux le comparer en direct à mon KRONOS 88 qui était pour moi une forme de perfection jusqu'à ce mois de septembre 2016 où j'ai découvert ce Promega 3. Et bien, la cause est entendue : en comparaison, côte à côte, le GEM est supérieur en tout : basse, profondeur, aigus, ... et un médium d'une richesse inouïe.
Première cause : un échantillonnage parfait, associé à une polyphonie ... de 320 notes (!!!). Oui, vous avez bien lu : 320. Conséquence : vous pouvez enfoncer la pédale de sustain, et placer des accords à l'infini ... et aucune note ne coupe jamais. Jamais ... L'espace sonore harmonique peut se remplir presque comme sur un vrai instrument.
Deuxième raison, la qualité de finition. Remarquable. Un instrument pro haut de gamme en tout. Un clavier excellent, précis et agréable. Un sentiment de robustesse sur les potards, les curseurs, la caisse ... Contrepartie : le jeune homme pèse son poids (!)
Troisième raison, l'interface. En fait, quatre section combinables : pianos acoustiques (De excellentissimes comme le Fazio pleine-queue à très très bons) , pianos électriques (tous excellents !), sections basses (très bonnes à correctes) et section synthés (de bons (cordes, ...) à très "bof" sur quelques sonorités) ... Mais ces combinaisons de sections, classiques en elles-mêmes, deviennent hyper-addictives grâce aux quatre fadeurs motorisés, dont les positions sont mémorisables avec les combinaisons elle-mêmes... et là je crie au génie parce que du coup on n'hésite jamais à doper - si besoin - les sons de piano par un soupçon de basse ici, ou par un rien de nappe là selon les genres ou le morceaux ... et ce qui est déjà un formidable instrument pro devient en plus un incroyable objet ludique qui pousse à à la créativité.
Enfin, les effets - désactivables et dosables à volonté - sont très très bons notamment la réverb.
En résumé un instrument rare, attachant et qui ne quittera sans doute jamais mon studio. Je n'hésite pas à le dire, une parfaite réussite de GEM. Dans les synthés analos poly, les italiens nous ont donné le sublime Synthex ; dans les modulaires, la série des GRP de Paolo Gropionni ... et bien, dans les pianos digitaux, ils auront créé le Promega 3. Totalement mésestimé ... et tant mieux pour ceux qui, comme moi, pourront l'acquérir pour moins de 1.000 euros port compris. Le plus dur sera de le trouver. Mais ce seront parmi les euros les mieux dépensés de votre vie de musiciens. Je persiste et signe !