Pucelle_Dabidjan « Le vilain petit canard »
Publié le 24/02/15 à 01:08
Rapport qualité/prix :
Correct
Cible :
Les utilisateurs avertis
Il n'est pas courant pour Accuphase de proposer des produits qui soient des bides commerciaux. Certains fans de la marque n'hésitant pas à dire que si Accuphase vendait des étrons dorés pour 500 Euros, ils trouveraient des tarés pour les acheter. Mais le DP-500 est un des rares bides qui ont jalonné l'histoire de la marque.
Il n'a pas été un bide au niveau de ses ventes. Non, bien au contraire, puisqu'il a été rapidement la coqueluche des acheteurs qui souvent, le préféraient au DP-400, plus accessible certes, mais, justement, moins glamour. Et ce lecteur intégré avait quelques avantages à offrir ; depuis un board moins axé micro-composants purs, à une mécanique un peu plus stable, en passant par une alimentation "enfin" de bonne qualité... ou en tous cas dignes des standards accuphase, et tout ça flanqué d'un DAC intégré fonctionnant sur une base de 6 puces (au lieu de 4 pour le DP-400). Donc il devait forcément y avoir du mieux, vu que le DP-600, un lecteur cd intégré très réputé de la marque, et probablement, l'un des meilleurs players au monde, était flanqué d'un dac au principe de fonctionnement analogue.
Eh bien non. Le DP-500 a toujours sonné comme un DP-400, ou plutôt, il sonnait tellement infinitésimalement proche qu'il était impossible de définir l'amélioration qu'il offrait. Et là, ça a été le bide. Avec des retours de consommateurs toujours satisfaits, mais pas complètement quand-même.
Car le DP-400 (et le DP-500 donc...) n'est pas une mauvaise platine et parvient à se hisser tout en haut de l'olympe de la restitution audio. Avec des instruments qui sonnent réels, du fondement le plus bas aux plus hauts aigus. Une capacité à reproduire des dynamiques terrifiantes, un vrai sens du rythme, mais aussi, de la subtilité. Révélant tout des disques qu'il doit reproduire. Le tout sans agressivité ou côté montant. Non, rien à redire, le DP-500 a de bons gênes.
Il a été tellement durement reçu, que, à l'heure où j'écris ces lignes, il est trouvable, en occasion, aux mêmes prix que des DP-400. En sachant qu'il coûtait en son temps presque 2000 euros de plus qu'un DP-400, ça fait une très forte décote.
Il n'a pas été un bide au niveau de ses ventes. Non, bien au contraire, puisqu'il a été rapidement la coqueluche des acheteurs qui souvent, le préféraient au DP-400, plus accessible certes, mais, justement, moins glamour. Et ce lecteur intégré avait quelques avantages à offrir ; depuis un board moins axé micro-composants purs, à une mécanique un peu plus stable, en passant par une alimentation "enfin" de bonne qualité... ou en tous cas dignes des standards accuphase, et tout ça flanqué d'un DAC intégré fonctionnant sur une base de 6 puces (au lieu de 4 pour le DP-400). Donc il devait forcément y avoir du mieux, vu que le DP-600, un lecteur cd intégré très réputé de la marque, et probablement, l'un des meilleurs players au monde, était flanqué d'un dac au principe de fonctionnement analogue.
Eh bien non. Le DP-500 a toujours sonné comme un DP-400, ou plutôt, il sonnait tellement infinitésimalement proche qu'il était impossible de définir l'amélioration qu'il offrait. Et là, ça a été le bide. Avec des retours de consommateurs toujours satisfaits, mais pas complètement quand-même.
Car le DP-400 (et le DP-500 donc...) n'est pas une mauvaise platine et parvient à se hisser tout en haut de l'olympe de la restitution audio. Avec des instruments qui sonnent réels, du fondement le plus bas aux plus hauts aigus. Une capacité à reproduire des dynamiques terrifiantes, un vrai sens du rythme, mais aussi, de la subtilité. Révélant tout des disques qu'il doit reproduire. Le tout sans agressivité ou côté montant. Non, rien à redire, le DP-500 a de bons gênes.
Il a été tellement durement reçu, que, à l'heure où j'écris ces lignes, il est trouvable, en occasion, aux mêmes prix que des DP-400. En sachant qu'il coûtait en son temps presque 2000 euros de plus qu'un DP-400, ça fait une très forte décote.