le concept commun à toutes ces méthodes : partir d'un son de base relativement satisfaisant et y adjoindre le cas échéant les micros à même de combler certains manques.
Grand Merci grand ! d'avoir complété ta série.
Elle est venue pour moi au meilleur moment : celui où je venais de me décider à entamer l'exploration systématique des possibilités offertes par pianoteq.
Et je viens juste, hier, de me concocter un dispositif que j'ai nommé "standard" - pour un "son de base" à mon goût, c'est-à-dire assez plein déjà mais quand même relativement neutre, qui pourrait être ultérieurement coloré plus spécifiquement... et qui le sera, sûrement, avec les moyens que tu indiques ici, entre autres.
Anecdote : visionnant un des films dans lesquels on voit jouer Glenn Gould, j'ai vu (la première fois que je voyais ça !) un microphone sous le piano... Je n'avais jamais pensé à ça... J'ai aussitôt essayé (sur pianoteq), mais sans aller très loin encore dans cette expérience. Je suis ici encouragé à insister dans cette possibilité.