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Djpug « Une belle bête mais avec une ou deux épines dans la patte ! »
Publié le 09/02/21 à 17:32
Rapport qualité/prix :
Excellent
Cible :
Les utilisateurs avertis
Bonjour à tous je viens de recevoir mon Iridium avec beaucoup de chance car je ne l’ai attendu que 15 jours .
Au déballage ce nouveau venu dans la famille Waldorf ne déroge pas à la règle.
Même carton basique même protection même manuel rapide en Anglais et Teutons on ne les refera pas c’est la rigueur Allemande contrairement au Novation Peak emballé comme un bijou....
Au premier regard il est vraiment magnifique dans sa robe anthracite, la caisse est la même que le Kyra sauf les flancs moins jolis que ceux imitation bois du Kyra .
L’alimentation est la même toujours aussi chip avec la fiche fragile qui aurait mérité quelques centimes de plus, l’idéal aurait été une alimentation interne mais bon c’est pas le plus important.
Une fois le monstre installé pensez à le laisser reposer avant la mise sous tension pour éviter la condensation et un risque de court circuit il est à ce propos assez fragile.
Avant de s’allumer il charge un process durant quelques secondes et puis s’éclaire comme un sapin de noël, l’écran est somptueux dommage que l’ajustement soit perfectible et laisse apparaître un jeu sur sa partie inférieure d’ou S’échappe de la lumière et où l’on voit la nappe dédiée à ce niveau de prix et pour du fait main c’est impardonnable.
Au bout que quelques minutes d’utilisation premier bug le tactile peine à répondre mais redevient opérationnel après une relance .
Les sons sont fantastique surtout après avoir téléchargé deux banques géniales trouvées sur le site Waldorf et gratuite surtout la Cinematics de KS.
Le potentiel est gigantesque et il suffit de tourner quelques boutons pour passer d’un son à couper le souffle à un autre tout aussi bon heureusement tout peut être stocké en temps réel sur une carte micro SD et ça c’est top ! Par contre le stockage sur une clé USB c’est impossible un message d’erreur apparaît systématiquement il ne reconnaît aucune clé à moins que je soit un bourrin c’est possible aussi
Un petit bug sur certains patchs ou le sons s’emballe et nécessite d’éteindre de nouveau la machine mais ça c’est pas un scoop j’avais déjà ce type de problèmes sur le Kyra .
Avec la recrudescence des Synthétiseurs qui embarquent un programme et qui sont en réalité des micro-ordinateurs ces problèmes de bug dans le logiciel sont courants .
Pour en revenir à notre Iridium je ne vais pas passer des centaines d’heures à décrire les possibilités de l’engin mais plutôt vous apporter quelques précisions importantes.
D’abord l’import des samples et des patchs est ultra simple, même pour moi qui suis réfractaire à l’informatique.
Le séquenceur est facile d’utilisation et la création de boucles ou de séquences est tout aussi facile du moins pour du basique car la bête peut aller très très loin dans les réglages et les paramètres.
La connexion extérieure se fait sans problème avec des logiciels comme cubase, Ableton ou autres .
Les presets sont plutôt bons pour un début mais cette machine est avant tout un laboratoire pour soundesigner .
Les effets sont très correct mais pour en tirer sa quintessence mieux vaut lui ajouter une Strymon BigSky aux fesses .
La connectivité est bonne sauf peut être les jack en plastics et la fiche alim ultra fragile.
L’écran tactile répond bien mais bug assez souvent.
Un point positif c’est le doublon de nombreuses commandes physiques et tactiles.
L’accès aux banques de sons est un peu chaotique mais on s’y fait et on s’y retrouve .
Au vu de la complexité de l’appareil une notice en français serait le bienvenue surtout pour certaine fonction de création un peu confuse.
Après je pense que sur ce type de produit il faut énormément de temps pour se familiariser avec l’organisation interne et les possibilités.
J’ai un Kyra depuis plus de 1 an et je découvre à chaque utilisation de nouvelles fonctionnalités.
Sur l’iridium je pense qu’il me faudra une vie
En tout cas pour 2200 euros on en a pour son argent c’est une incroyable machine d'étude et de conception qui vous emmène aux limites de l’univers musical.
Souhaitons juste que Waldorf continue son chemin sur les routes de l’innovation en espérant que les petits défauts de jeunesse soient toutefois résolus.
Au déballage ce nouveau venu dans la famille Waldorf ne déroge pas à la règle.
Même carton basique même protection même manuel rapide en Anglais et Teutons on ne les refera pas c’est la rigueur Allemande contrairement au Novation Peak emballé comme un bijou....
Au premier regard il est vraiment magnifique dans sa robe anthracite, la caisse est la même que le Kyra sauf les flancs moins jolis que ceux imitation bois du Kyra .
L’alimentation est la même toujours aussi chip avec la fiche fragile qui aurait mérité quelques centimes de plus, l’idéal aurait été une alimentation interne mais bon c’est pas le plus important.
Une fois le monstre installé pensez à le laisser reposer avant la mise sous tension pour éviter la condensation et un risque de court circuit il est à ce propos assez fragile.
Avant de s’allumer il charge un process durant quelques secondes et puis s’éclaire comme un sapin de noël, l’écran est somptueux dommage que l’ajustement soit perfectible et laisse apparaître un jeu sur sa partie inférieure d’ou S’échappe de la lumière et où l’on voit la nappe dédiée à ce niveau de prix et pour du fait main c’est impardonnable.
Au bout que quelques minutes d’utilisation premier bug le tactile peine à répondre mais redevient opérationnel après une relance .
Les sons sont fantastique surtout après avoir téléchargé deux banques géniales trouvées sur le site Waldorf et gratuite surtout la Cinematics de KS.
Le potentiel est gigantesque et il suffit de tourner quelques boutons pour passer d’un son à couper le souffle à un autre tout aussi bon heureusement tout peut être stocké en temps réel sur une carte micro SD et ça c’est top ! Par contre le stockage sur une clé USB c’est impossible un message d’erreur apparaît systématiquement il ne reconnaît aucune clé à moins que je soit un bourrin c’est possible aussi
Un petit bug sur certains patchs ou le sons s’emballe et nécessite d’éteindre de nouveau la machine mais ça c’est pas un scoop j’avais déjà ce type de problèmes sur le Kyra .
Avec la recrudescence des Synthétiseurs qui embarquent un programme et qui sont en réalité des micro-ordinateurs ces problèmes de bug dans le logiciel sont courants .
Pour en revenir à notre Iridium je ne vais pas passer des centaines d’heures à décrire les possibilités de l’engin mais plutôt vous apporter quelques précisions importantes.
D’abord l’import des samples et des patchs est ultra simple, même pour moi qui suis réfractaire à l’informatique.
Le séquenceur est facile d’utilisation et la création de boucles ou de séquences est tout aussi facile du moins pour du basique car la bête peut aller très très loin dans les réglages et les paramètres.
La connexion extérieure se fait sans problème avec des logiciels comme cubase, Ableton ou autres .
Les presets sont plutôt bons pour un début mais cette machine est avant tout un laboratoire pour soundesigner .
Les effets sont très correct mais pour en tirer sa quintessence mieux vaut lui ajouter une Strymon BigSky aux fesses .
La connectivité est bonne sauf peut être les jack en plastics et la fiche alim ultra fragile.
L’écran tactile répond bien mais bug assez souvent.
Un point positif c’est le doublon de nombreuses commandes physiques et tactiles.
L’accès aux banques de sons est un peu chaotique mais on s’y fait et on s’y retrouve .
Au vu de la complexité de l’appareil une notice en français serait le bienvenue surtout pour certaine fonction de création un peu confuse.
Après je pense que sur ce type de produit il faut énormément de temps pour se familiariser avec l’organisation interne et les possibilités.
J’ai un Kyra depuis plus de 1 an et je découvre à chaque utilisation de nouvelles fonctionnalités.
Sur l’iridium je pense qu’il me faudra une vie
En tout cas pour 2200 euros on en a pour son argent c’est une incroyable machine d'étude et de conception qui vous emmène aux limites de l’univers musical.
Souhaitons juste que Waldorf continue son chemin sur les routes de l’innovation en espérant que les petits défauts de jeunesse soient toutefois résolus.
