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Docteur Frog
Publié le 27/08/08 à 18:51
Je n'aurai pas beaucoup à dire de plus que tout ce que j'ai lu sur les avis précédents.
Parmis les Samplers / Workstations qui ont marqué leurs temps, l'ASR-10 est sûrement celui qui a été le apprécié des musiciens. Il possédait une banque de sons (qu'on pouvait caler en ROM) indépendamment de la RAM, déjà la fonction d'UpLoad d'un sample ou d'une banque à l'allumage, la compatibilité la plus exhaustive avec les Disques Durs SCSi de l'époque et surtout, surtout une ergonomie inégalée alors sur des versions Claviers ( on s'entend).
Qui faisait des Samplers Claviers à l'époque ? E-mu avec l'Emax et l'EmaxII, Dynacord, Kurzweil avec le K2000S, Casio avec le FZ-1... Le K2500S allait bientôt sortir et mettre tous les professionnels d'accord. Mais le delta du prix entre un ASR-10 et un K2500S donnait la part belle à l'ASR.
Même Michel R., producteur et mari d'Eve Angéli, en utilisait 3 en même temps en 1995. J'espère qu'il ne m'en voudra pas de l'avoir nommé. Michel si tu me lis !..
UTILISATION
Du bonheur. Rien à rajouter avec tout ce qui a été dit.
SONORITÉS
Des cuivres et des Drums rarement égalés. Que l'on retrouve d'ailleurs en ROM dans le ZR76.
AVIS GLOBAL
J'ai toujours aimé cette machine. J'en ai eu une. Ce qui m'a toujours fasciné c'est de voir comment les musiciens pouvait cumuler les ASR10 er ASR-Rack alors que bien d'autre Samplers existait à l'époque. En fait de 1990 à 1995 il y avait deux écoles. Les AKAIens et les ENSONIQiens. Il s'est vendu certes beaucoup d'Emax et EmaxII sur Paris ( coucou à Cmdm et Francis M.) mais c'était plus un rapport nostalgique à l'EmulatorII ou III qu'à la particularité de l'Emax, même si la dynamique supplantait le marché, mais pas en qualité sonore.
C'est sur point précis que l'ASR-10 a construit sa réputation.
Finesse et Dynamique.
Vous m'en remettrez au dessert...
Parmis les Samplers / Workstations qui ont marqué leurs temps, l'ASR-10 est sûrement celui qui a été le apprécié des musiciens. Il possédait une banque de sons (qu'on pouvait caler en ROM) indépendamment de la RAM, déjà la fonction d'UpLoad d'un sample ou d'une banque à l'allumage, la compatibilité la plus exhaustive avec les Disques Durs SCSi de l'époque et surtout, surtout une ergonomie inégalée alors sur des versions Claviers ( on s'entend).
Qui faisait des Samplers Claviers à l'époque ? E-mu avec l'Emax et l'EmaxII, Dynacord, Kurzweil avec le K2000S, Casio avec le FZ-1... Le K2500S allait bientôt sortir et mettre tous les professionnels d'accord. Mais le delta du prix entre un ASR-10 et un K2500S donnait la part belle à l'ASR.
Même Michel R., producteur et mari d'Eve Angéli, en utilisait 3 en même temps en 1995. J'espère qu'il ne m'en voudra pas de l'avoir nommé. Michel si tu me lis !..
UTILISATION
Du bonheur. Rien à rajouter avec tout ce qui a été dit.
SONORITÉS
Des cuivres et des Drums rarement égalés. Que l'on retrouve d'ailleurs en ROM dans le ZR76.
AVIS GLOBAL
J'ai toujours aimé cette machine. J'en ai eu une. Ce qui m'a toujours fasciné c'est de voir comment les musiciens pouvait cumuler les ASR10 er ASR-Rack alors que bien d'autre Samplers existait à l'époque. En fait de 1990 à 1995 il y avait deux écoles. Les AKAIens et les ENSONIQiens. Il s'est vendu certes beaucoup d'Emax et EmaxII sur Paris ( coucou à Cmdm et Francis M.) mais c'était plus un rapport nostalgique à l'EmulatorII ou III qu'à la particularité de l'Emax, même si la dynamique supplantait le marché, mais pas en qualité sonore.
C'est sur point précis que l'ASR-10 a construit sa réputation.
Finesse et Dynamique.
Vous m'en remettrez au dessert...