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james sax
Un son et des possibilités au dessus de ce que l'on peut imaginer .
Publié le 14/07/18 à 21:13J’ai eu l’opportunité d’acheter un alto et encore aujourd’hui je regrette de ne pas avoir eu l’opportunité d’en avoir eu un auparavant. J’ai possédé un mark 6 que j’ai revendu.. J’entends des voix s’élever dans les airs : « il est fou » Aucun regrets. Tout est affaire personnel, sensations propres à chacun.
C’est à tout point de vue un saxophone malléable à condition de trouver le bec qui lui corresponde.
A l’origine de ma découverte, une caisse en mauvais état contenant un sax de 1932, deux becs , un trois s et un métal de la même période.
Son très sombre, à tel point que l’on dirait un ténor. Déception. Il est cependant beau, en bon état et l’ergonomie assez agréable pour...…
C’est à tout point de vue un saxophone malléable à condition de trouver le bec qui lui corresponde.
A l’origine de ma découverte, une caisse en mauvais état contenant un sax de 1932, deux becs , un trois s et un métal de la même période.
Son très sombre, à tel point que l’on dirait un ténor. Déception. Il est cependant beau, en bon état et l’ergonomie assez agréable pour...…
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J’ai eu l’opportunité d’acheter un alto et encore aujourd’hui je regrette de ne pas avoir eu l’opportunité d’en avoir eu un auparavant. J’ai possédé un mark 6 que j’ai revendu.. J’entends des voix s’élever dans les airs : « il est fou » Aucun regrets. Tout est affaire personnel, sensations propres à chacun.
C’est à tout point de vue un saxophone malléable à condition de trouver le bec qui lui corresponde.
A l’origine de ma découverte, une caisse en mauvais état contenant un sax de 1932, deux becs , un trois s et un métal de la même période.
Son très sombre, à tel point que l’on dirait un ténor. Déception. Il est cependant beau, en bon état et l’ergonomie assez agréable pour mes mains mais le son,.. Dommage.
Plusieurs essais avec les becs d’origine, différentes anches rien de plus. J’essaie d’autres becs dont un C*, rien non plus à part un son plus clair mais vraiment pas de quoi s’extasier. .
Ok, je remballe et je me dis que j’ai perdu mon temps. Au fond de ma caisse enveloppé dans un chiffon un Java Vandoren que j’avais acheté dans les années 90 pour faire du free jazz et que je n’utilisais presque plus. Je le trouvais trop typé pour l’avoir essayé avec plusieurs saxophones. Nostalgique , je l’avais conservé avec en tête on ne sait jamais.
Je le monte, je souffle deux trois notes, surpris je pousse plus loin et alors là….. le vendeur n’en revenait pas et moi par ailleurs non plus.
Une malléabilité dans les notes que je produis et autant de rondeur de douceur et d’agressivité rende le cigar cutter impressionnant.. Je ne saurais expliquer le compromis bec instrument car les lois de l’acoustique m’échappent ; ce que j’ai découvert en revanche me stupéfait. Comment un instrument aussi ancien peut-il se conjuguer avec ce bec beaucoup plus récent, plus ouvert ? Aucune importance, ça sonne juste et surtout le son est bon, ce que je recherchais depuis longtemps.
Pour la petite histoire, le vendeur a eu une mine déconfite lorsqu’il a entendu le son et surtout les arguments négatifs qu’il employait sur le saxophone comme s’il regrettait et voulait le garder.
Si vous avez l’occasion de croiser sa route, n’hésitez pas. Essayez le avec différents becs, vous pourriez être surpris. Le cigar Cutter n’est pas très quoté et c’est tant mieux (1600 à 2300 euros 2018).
C’est à tout point de vue un saxophone malléable à condition de trouver le bec qui lui corresponde.
A l’origine de ma découverte, une caisse en mauvais état contenant un sax de 1932, deux becs , un trois s et un métal de la même période.
Son très sombre, à tel point que l’on dirait un ténor. Déception. Il est cependant beau, en bon état et l’ergonomie assez agréable pour mes mains mais le son,.. Dommage.
Plusieurs essais avec les becs d’origine, différentes anches rien de plus. J’essaie d’autres becs dont un C*, rien non plus à part un son plus clair mais vraiment pas de quoi s’extasier. .
Ok, je remballe et je me dis que j’ai perdu mon temps. Au fond de ma caisse enveloppé dans un chiffon un Java Vandoren que j’avais acheté dans les années 90 pour faire du free jazz et que je n’utilisais presque plus. Je le trouvais trop typé pour l’avoir essayé avec plusieurs saxophones. Nostalgique , je l’avais conservé avec en tête on ne sait jamais.
Je le monte, je souffle deux trois notes, surpris je pousse plus loin et alors là….. le vendeur n’en revenait pas et moi par ailleurs non plus.
Une malléabilité dans les notes que je produis et autant de rondeur de douceur et d’agressivité rende le cigar cutter impressionnant.. Je ne saurais expliquer le compromis bec instrument car les lois de l’acoustique m’échappent ; ce que j’ai découvert en revanche me stupéfait. Comment un instrument aussi ancien peut-il se conjuguer avec ce bec beaucoup plus récent, plus ouvert ? Aucune importance, ça sonne juste et surtout le son est bon, ce que je recherchais depuis longtemps.
Pour la petite histoire, le vendeur a eu une mine déconfite lorsqu’il a entendu le son et surtout les arguments négatifs qu’il employait sur le saxophone comme s’il regrettait et voulait le garder.
Si vous avez l’occasion de croiser sa route, n’hésitez pas. Essayez le avec différents becs, vous pourriez être surpris. Le cigar Cutter n’est pas très quoté et c’est tant mieux (1600 à 2300 euros 2018).
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Fiche technique
- Fabricant : Selmer
- Modèle : Cigar cutter
- Catégorie : Saxophones
- Fiche créée le : 14/02/2005
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Autres dénominations : cigar cutter, cigarcutter