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bpier « Un outil indispensable »
Publié le 27/06/21 à 12:52
Rapport qualité/prix :
Excellent
Cible :
Les utilisateurs avertis
Possédant deux amplis à lampes qui pèsent l'un comme l'autre un âne mort (Marshall Jubilee 2554 / Willows AM-30), je cherchais une solution plus légère, notamment pour répéter. Je croyais avoir trouvé la solution le jour où j'ai acquis un diable. Fini les portages à la main entre la voiture et la salle. C'était, j'en étais convaincu, mon meilleur achat musical depuis bien longtemps (je plaisante). Jusqu'au jour où je me suis intéressé aux produits Two-Notes et mon choix s'est porté sur le Torpedo CABM, devenu CABM+ avec la mise à jour du firmware. Le boîtier est petit, mais on n'en fait pas le tour si rapidement que ça.
Bref, utilisé au début pour remplacer mes amplis, il a fini par prendre une place de plus en plus importante dans mon set au travers de différentes configurations, soit seul avec un préampli à lampes Brunetti Overtone 2 et des pédales d'effet, soit avec un de mes amplis à lampes connecté à un atténuateur de puissance utilisé en mode loadbox (dans mon cas un Plug&Play).
Dans ces deux utilisations-là, le CABM entre directement dans la table de mixage et le son de la guitare ne passe plus du tout, dans l'une comme dans l'autre, par le HP de l'ampli. Là, le CABM prend tous son sens car on peut grâce à lui obtenir une palette de sons incroyable, via les réglages de simulations d'ampli et les simulations de HP, les IR, qu'il propose, auxquels ont peut en outre ajouter les siennes.
Pour en tirer le meilleur, cette petite machine d'une belle qualité audio exige toutefois qu'on entre dans ses menus et que l'on affine ses réglages, pour arriver à obtenir le son que l'on recherche. Aussi, l'application fournie avec le CABM est d'une grande utilité. Mais, je confirme ce que disent d'autres utilisateurs, ce n'est pas une machine pour débutants.
Le CABM est du coup aussi intéressant à utiliser en studio qu'en répet ou en concert. En MAO, il rend complètement obsolètes les simulations d'ampli, une fois qu'on lui adjoint un préampli guitare à lampes. En répet, il nous réconcilie avec les membres de notre groupe, car on peut obtenir la saturation que l'on veut sans faire hurler un ampli à lampes et on module le volume de sortie sur la table de mixage ; en concert, il nous réconcilie avec le preneur de son : plus de problème de placement de micro devant le HP.
Pour moi, donc, cette petite machine est devenue totalement indispensable. Au moment de son achat, je n'imaginais pas la place qu'elle allait finalement prendre. Je dirai, pour conclure, que le CABM fait partie de ces machines aux apports insoupçonnables, auxquelles les guitaristes ne pensent jamais. Au même titre qu'un équaliseur à bandes (type mxr 10) ou en cas d'utilisation conjointe de deux amplis à lampes qu'un switcher ABY avec un buffer actif (type Radial Twin-City).
Bref, utilisé au début pour remplacer mes amplis, il a fini par prendre une place de plus en plus importante dans mon set au travers de différentes configurations, soit seul avec un préampli à lampes Brunetti Overtone 2 et des pédales d'effet, soit avec un de mes amplis à lampes connecté à un atténuateur de puissance utilisé en mode loadbox (dans mon cas un Plug&Play).
Dans ces deux utilisations-là, le CABM entre directement dans la table de mixage et le son de la guitare ne passe plus du tout, dans l'une comme dans l'autre, par le HP de l'ampli. Là, le CABM prend tous son sens car on peut grâce à lui obtenir une palette de sons incroyable, via les réglages de simulations d'ampli et les simulations de HP, les IR, qu'il propose, auxquels ont peut en outre ajouter les siennes.
Pour en tirer le meilleur, cette petite machine d'une belle qualité audio exige toutefois qu'on entre dans ses menus et que l'on affine ses réglages, pour arriver à obtenir le son que l'on recherche. Aussi, l'application fournie avec le CABM est d'une grande utilité. Mais, je confirme ce que disent d'autres utilisateurs, ce n'est pas une machine pour débutants.
Le CABM est du coup aussi intéressant à utiliser en studio qu'en répet ou en concert. En MAO, il rend complètement obsolètes les simulations d'ampli, une fois qu'on lui adjoint un préampli guitare à lampes. En répet, il nous réconcilie avec les membres de notre groupe, car on peut obtenir la saturation que l'on veut sans faire hurler un ampli à lampes et on module le volume de sortie sur la table de mixage ; en concert, il nous réconcilie avec le preneur de son : plus de problème de placement de micro devant le HP.
Pour moi, donc, cette petite machine est devenue totalement indispensable. Au moment de son achat, je n'imaginais pas la place qu'elle allait finalement prendre. Je dirai, pour conclure, que le CABM fait partie de ces machines aux apports insoupçonnables, auxquelles les guitaristes ne pensent jamais. Au même titre qu'un équaliseur à bandes (type mxr 10) ou en cas d'utilisation conjointe de deux amplis à lampes qu'un switcher ABY avec un buffer actif (type Radial Twin-City).