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jicehef
« Un synthé sans égal »
Publié le 07/04/22 à 13:49
Rapport qualité/prix :
Excellent
Cible :
Les utilisateurs avertis
J'utilise ce synthé en home studio dans une configuration de MAO basée sur Ableton Live depuis 2018. L'objet est hyper solide, en métal, et les potards n'ont aucun jeu. Le clavier est bien, pas trop léger même si ce n'est pas un clavier lesté.
Le potentiel de son est énorme. Il existe déjà une grande quantité de banques téléchargeables (plusieurs milliers de sons), il faut déjà un certain temps pour faire son tri ! Il y en a pour tous les styles de musique électro. La diversité de son s'explique par la richesse des possibilités internes : nombre d'oscillateurs, filtres, LFO et matrice de modulations, arpégiateur, nombreux effets de qualité... Il faut passer du temps à explorer les paramètres comme sur tous les synthés, pour en tirer le maximum. Donc évidemment ça ne se maîtrise pas en 2 jours.
J'ai pu comparer les sons avec ceux de petits synthés analogiques (Waldorf Pulse 2, Roland SE02) ou de nombreux synthés virtuels, je reviens toujours vers le Virus TI2, tellement il me convient. Bien sûr le Virus ne fait pas absolument tout, mais sa palette est assez bluffante.
Un mot sur son intégration en MAO. TI = Total Integration et effectivement dans Live 10 ça fonctionne bien. Un truc pratique : des utilisateurs mettent à disposition des configs types pour certaines DAW comme c'est le cas pour Ableton Live. ça évite de s'arracher les cheveux au départ !
On dispose potentiellement de 16 pistes réparties en 6 sorties stéréo : 3 via l'USB (avec donc le convertisseur audio-numérique interne), 3 via les sorties audio (et donc passant par une carte son externe). Dans la pratique, la limite de polyphonie (ou plutôt de charge car tout dépend de la complexité des sons) fait qu'on utilise jusqu'à 8 sons simultanés maximum. Certains ont pu dire beaucoup moins, c'est vrai si on n'utilise que des nappes à 3 oscillateurs, avec réverb maximalemais il faut savoir ruser avec la bête : limiter les oscillateurs inutiles, diminuer le paramètre de release des enveloppes, enlever la réverb interne, ou encore maximiser l'alternance entre pistes paires et impaires pour répartir la charge.
Certains ont dit : le logiciel pour piloter le Virus depuis le DAW ne fonctionne pas bien. Alors je ne sais pas s'ils ont essayé la dernière version, mais de mon côté, aucun problème. C'est très efficace, non seulement pour utiliser le mode multi-timbral, mais aussi pour jongler avec les banques de sons. Le seul truc, c'est de temps en temps, une désynchronisation avec l'horloge du DAW, mais ça ne se produit pas quand on laisse jouer un morceau au final.
Pour avoir un aperçu du potentiel sonore en style Ambient et Down Tempo, voir ma page "CrazyHead" sur SounCloud :
https://soundcloud.com/user-928869242
Dans tous les morceaux (sauf Alt-JC), le Virus est l'instrument principal, en dehors des pianos et drums.
Le potentiel de son est énorme. Il existe déjà une grande quantité de banques téléchargeables (plusieurs milliers de sons), il faut déjà un certain temps pour faire son tri ! Il y en a pour tous les styles de musique électro. La diversité de son s'explique par la richesse des possibilités internes : nombre d'oscillateurs, filtres, LFO et matrice de modulations, arpégiateur, nombreux effets de qualité... Il faut passer du temps à explorer les paramètres comme sur tous les synthés, pour en tirer le maximum. Donc évidemment ça ne se maîtrise pas en 2 jours.
J'ai pu comparer les sons avec ceux de petits synthés analogiques (Waldorf Pulse 2, Roland SE02) ou de nombreux synthés virtuels, je reviens toujours vers le Virus TI2, tellement il me convient. Bien sûr le Virus ne fait pas absolument tout, mais sa palette est assez bluffante.
Un mot sur son intégration en MAO. TI = Total Integration et effectivement dans Live 10 ça fonctionne bien. Un truc pratique : des utilisateurs mettent à disposition des configs types pour certaines DAW comme c'est le cas pour Ableton Live. ça évite de s'arracher les cheveux au départ !
On dispose potentiellement de 16 pistes réparties en 6 sorties stéréo : 3 via l'USB (avec donc le convertisseur audio-numérique interne), 3 via les sorties audio (et donc passant par une carte son externe). Dans la pratique, la limite de polyphonie (ou plutôt de charge car tout dépend de la complexité des sons) fait qu'on utilise jusqu'à 8 sons simultanés maximum. Certains ont pu dire beaucoup moins, c'est vrai si on n'utilise que des nappes à 3 oscillateurs, avec réverb maximalemais il faut savoir ruser avec la bête : limiter les oscillateurs inutiles, diminuer le paramètre de release des enveloppes, enlever la réverb interne, ou encore maximiser l'alternance entre pistes paires et impaires pour répartir la charge.
Certains ont dit : le logiciel pour piloter le Virus depuis le DAW ne fonctionne pas bien. Alors je ne sais pas s'ils ont essayé la dernière version, mais de mon côté, aucun problème. C'est très efficace, non seulement pour utiliser le mode multi-timbral, mais aussi pour jongler avec les banques de sons. Le seul truc, c'est de temps en temps, une désynchronisation avec l'horloge du DAW, mais ça ne se produit pas quand on laisse jouer un morceau au final.
Pour avoir un aperçu du potentiel sonore en style Ambient et Down Tempo, voir ma page "CrazyHead" sur SounCloud :
https://soundcloud.com/user-928869242
Dans tous les morceaux (sauf Alt-JC), le Virus est l'instrument principal, en dehors des pianos et drums.