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HUROLURA
« Mon premier synthé ... »
Publié le 28/10/12 à 19:08Clavier 61 touches, type synthé mais très agréable à jouer, à telle point que cela reste le seul élément que j'utilise encore aujourd'hui, plus de 20 ans après.
Connectiques MIDI, sortie stéréo, molettes de pitch et de modulation (pas forcément une référence mais souvent mieux que ce que l'on trouve aujourd'hui sur les claviers de contrôle MIDI d'entrée de gamme).
Côté son, on est sur le principe des D50, D10 Roland qui faisait référence à l'époque. Les possibilité de "synthèse" sont d'ailleurs assez proche. Côté interface utilisateur, les mêmes limites de la programmation avec des touches, des menus et un écran trop limité. Mais Mutable Instruments et son Shruthi m'ont montré depuis que l'on pouvait faire beaucoup mieux ergonomiquement avec le même type d'éléments (et 4 potentiomètres et un encodeur tout de même). Par la suite, j'avais associé le contrôleur MIDI à kawai à 17 faders MM-16 et ça rendait les choses plus faciles...
L'intérêt principal pour moi par rapport aux Roland, c'est que la base sonore était différente et utilisait notamment des formes d'ondes issues de la synthèse additive du K5 (c'était d'ailleurs mis en avant par le marketing de l'époque et je m'étais laissé piéger croyant disposer d'un moteur simplifié du K5 ce qui n'est pas du tout le cas, ce sont de simples "échantillons" du K5).
Les effets intégrés n'étaient pas si mal pour l'époque. Côté architecture, on dispose de 8 ou 16 notes de polyphonies selon le nombre de "DCO" utilisé dans un patch, pour 8 parties multitimbrales. Des sons de percussions également organisables en drums kits.
UTILISATION
Comme déjà évoqué on est dans les limites des interfaces de programmation de l'époque: des touches assez nombreuses pour naviguer dans les menus et l'association d'un fadeur d'entrée de données et d'un couple de touches +/-. L'ajout du MM16 a rendu les choses plus simples. Le manuel, en Français était plutôt pas mal fait.
SONORITÉS
Côté sonore, ça ne me convient plus, je suis depuis longtemps passé à autre chose. On peut faire des choses sympa pour l'époque mais rien de transcendant. Les tentatives d'imitations d'instruments acoustiques sont d'assez piètre qualité mais on peut obtenir quelques sonorités originales sinon. Encore une fois pas si mal dans le contexte de l'époque mais complètement dépassé aujourd'hui. Par contre les filtres numériques sont définitivement dépassés.
AVIS GLOBAL
Utilisé depuis 22 ans (!) mais aujourd'hui uniquement pour son clavier et la possibilité de faire des layers et des splits en MIDI vers des appareils externes.
À l'époque j'avais essayé les D50/D10 et le M1 mais D50 et M1 étaient hors budget, et je voulais du multitimbral.
Le clavier me paraissait mieux et les sonorité plus originales.
Bien entendu, avec le même budget aujourd'hui, je regarderais ailleurs sans doute sur des produits d'occasions.
En neuf de l'époque dans les mêmes tarifs, je lorgnerais sans doute plutôt sur le couple Juno/PG300, et en neuf d'aujourd'hui sur un Mopho 4x. Mais il est tout de même resté assez longtemps mon seul instrument couplé à un séquenceur MIDI matériel.
Seul la partie clavier reste tout ce qu'il y a de plus valable par rapport aux claviers proposés aujourd'hui, j'en ai essayé une bonne cinquantaine lors du derniers MusikMesse et seul le Radikal Accelerator, le John Bowen Solaris (sans doute parmi ce qui se fait de mieux), le Studiologic Sledge et le Nektar Panorama m'ont fait une bonne impression par rapport à mon K4 habituel ...
Connectiques MIDI, sortie stéréo, molettes de pitch et de modulation (pas forcément une référence mais souvent mieux que ce que l'on trouve aujourd'hui sur les claviers de contrôle MIDI d'entrée de gamme).
Côté son, on est sur le principe des D50, D10 Roland qui faisait référence à l'époque. Les possibilité de "synthèse" sont d'ailleurs assez proche. Côté interface utilisateur, les mêmes limites de la programmation avec des touches, des menus et un écran trop limité. Mais Mutable Instruments et son Shruthi m'ont montré depuis que l'on pouvait faire beaucoup mieux ergonomiquement avec le même type d'éléments (et 4 potentiomètres et un encodeur tout de même). Par la suite, j'avais associé le contrôleur MIDI à kawai à 17 faders MM-16 et ça rendait les choses plus faciles...
L'intérêt principal pour moi par rapport aux Roland, c'est que la base sonore était différente et utilisait notamment des formes d'ondes issues de la synthèse additive du K5 (c'était d'ailleurs mis en avant par le marketing de l'époque et je m'étais laissé piéger croyant disposer d'un moteur simplifié du K5 ce qui n'est pas du tout le cas, ce sont de simples "échantillons" du K5).
Les effets intégrés n'étaient pas si mal pour l'époque. Côté architecture, on dispose de 8 ou 16 notes de polyphonies selon le nombre de "DCO" utilisé dans un patch, pour 8 parties multitimbrales. Des sons de percussions également organisables en drums kits.
UTILISATION
Comme déjà évoqué on est dans les limites des interfaces de programmation de l'époque: des touches assez nombreuses pour naviguer dans les menus et l'association d'un fadeur d'entrée de données et d'un couple de touches +/-. L'ajout du MM16 a rendu les choses plus simples. Le manuel, en Français était plutôt pas mal fait.
SONORITÉS
Côté sonore, ça ne me convient plus, je suis depuis longtemps passé à autre chose. On peut faire des choses sympa pour l'époque mais rien de transcendant. Les tentatives d'imitations d'instruments acoustiques sont d'assez piètre qualité mais on peut obtenir quelques sonorités originales sinon. Encore une fois pas si mal dans le contexte de l'époque mais complètement dépassé aujourd'hui. Par contre les filtres numériques sont définitivement dépassés.
AVIS GLOBAL
Utilisé depuis 22 ans (!) mais aujourd'hui uniquement pour son clavier et la possibilité de faire des layers et des splits en MIDI vers des appareils externes.
À l'époque j'avais essayé les D50/D10 et le M1 mais D50 et M1 étaient hors budget, et je voulais du multitimbral.
Le clavier me paraissait mieux et les sonorité plus originales.
Bien entendu, avec le même budget aujourd'hui, je regarderais ailleurs sans doute sur des produits d'occasions.
En neuf de l'époque dans les mêmes tarifs, je lorgnerais sans doute plutôt sur le couple Juno/PG300, et en neuf d'aujourd'hui sur un Mopho 4x. Mais il est tout de même resté assez longtemps mon seul instrument couplé à un séquenceur MIDI matériel.
Seul la partie clavier reste tout ce qu'il y a de plus valable par rapport aux claviers proposés aujourd'hui, j'en ai essayé une bonne cinquantaine lors du derniers MusikMesse et seul le Radikal Accelerator, le John Bowen Solaris (sans doute parmi ce qui se fait de mieux), le Studiologic Sledge et le Nektar Panorama m'ont fait une bonne impression par rapport à mon K4 habituel ...