Les micros à ruban : l'importance du préampli et de l'impédance d'entrée
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rroland
27026
Modérateur·trice thématique
Membre depuis 20 ans
Sujet de la discussion Posté le 02/06/2020 à 15:00:00Les micros à ruban : l'importance du préampli et de l'impédance d'entrée
A la demande générale, je publie la traduction d’un article américain de chez AEA concernant les micros à ruban et la nécessité d’utiliser un préampli spécifique pour en tirer le meilleur parti. Il ne s’agit pas d’une traduction exacte (j’ai parfois ajouté ou retranché), mais j’ai gardé tout ce qui me semblait intéressant à ce sujet.
Les micros à ruban passifs possèdent un son incroyable, mais ont également des exigences spécifiques pour leur permettre d'atteindre leur plein potentiel.
Comment l'impédance peut modifier le son d’un microphone à ruban
Quand le terme « impédance » est utilisé, les gens se sauvent en courant !
Pourtant, pour ceux qui comprennent le concept d'impédance, il existe encore de nombreuses idées fausses sur la façon dont il se rapporte aux microphones, en particulier les microphones à ruban passifs. Apprendre comment l'impédance d'un préampli peut affecter vos microphones à ruban vous ouvrira à un nouveau monde de sons et de tonalités.
Qu'est-ce que l’impédance ?
Chaque équipement électronique dispose d’une impédance. L'impédance électrique est la mesure de l'opposition qu'un circuit présente à un courant lorsqu'une tension y est appliquée. Chaque microphone, préampli, convertisseur, compresseur et magnétophone possède une impédance de sortie et d'entrée. Votre téléphone, votre ordinateur et même votre grille-pain ont une impédance. Au quotidien, vous n’avez pas à vous soucier de l'impédance. Mais en studio d'enregistrement, l'impédance de vos différents équipements peut avoir un impact significatif sur le son et la qualité de vos enregistrements.
En ce qui concerne les microphones, l'impédance indique à quel point il est difficile pour l'électricité de circuler à différentes fréquences, ce qui affecte directement le volume et le son de ces équipements.
Les microphones à ruban passifs doivent être correctement couplés à l'impédance d'entrée du préampli pour fonctionner à leur plein potentiel. Si l’impédance d’un préampli est trop faible, le microphone devra travailler plus fort pour générer un signal approprié. Lorsque cela se produit, le bas du spectre fréquentiel du microphone sera limité et la réponse transitoire sonnera plate, dégradant les performances globales du microphone. On aura l’impression que le son est à la fois mou et bouché. Plusieurs personnes m’ont avoué être déçues de leur micro à ruban, alors que celui-ci n’était pas en cause. Ce qui posait problème était l’impédance d’entrée du préampli où le microphone était branché.
Le mythe de l'impédance
Une idée fausse commune est que l'impédance de l'entrée du préampli doit correspondre à la même impédance que le microphone. Cette idée de «matching» ( mise en correspondance) est née des premières technologies des télécommunications, lorsque l’impédance du micro et du préampli devaient être identiques pour obtenir le transfert de puissance le plus élevé. Ce n'est plus vrai.
La règle actuelle est que pour fournir sa réponse en fréquence complète, un micro à ruban passif doit disposer d’une impédance d'entrée d'au moins cinq fois son impédance de sortie. Cela signifie que si le micro possède une impédance de sortie de 300 ohms, le préampli doit afficher une impédance d'entrée de 1200 à 1500 ohms minimum. Il est même recommandé une impédance d'entrée d'au moins dix fois l'impédance de sortie du micro pour assurer des performances optimales.
Fréquence de résonnance
Chaque microphone à ruban possède une fréquence de résonance. Par exemple, les micros « longs rubans » de chez AEA sont réglés avec une fréquence de résonance de 16,5 Hz, ce qui est inférieur au seuil d'audition humaine. Pour capturer le spectre sonore complet d'un tel micro, l'utilisateur doit s'assurer que le préampli qu’il utilisera possède une impédance suffisamment élevée pour le microphone. La règle de base est la suivante : plus l’impédance d’entrée du préampli est élevée, au mieux elle sera adaptée pour reproduire la plage de fréquences complète d’un microphone à ruban.
Lorsque l'impédance du préampli est trop faible et ne peut pas gérer l'impédance du microphone, plusieurs choses peuvent se produire :
1. Le ruban peut devenir amorti, ce qui signifie que son mouvement est limité. Cela rend souvent le son du microphone terne et flou. Certains associent (à tort) ce type de sonorité au ruban. Il n’y a aucune raison pour qu’un micro à ruban sonne de la sorte quand un préampli d’impédance correcte est utilisé.
2. Un gain de préampli plus important est généralement nécessaire, ce qui ajoute du bruit de fond supplémentaire à l'enregistrement.
3. Le micro ne capturera pas autant de basses fréquences qu’il ne le devrait, et ceci peut provoquer une distorsion ou d'autres artefacts indésirables et la réponse en transitoires et hautes fréquences peut être compromise.
Impédance variable
L'impédance d'un microphone change en fonction des fréquences. Dans le tableau ci-dessous, vous pouvez voir que l'impédance varie constamment en fonction de la fréquence.
Les micros passifs à grand ruban d'AEA évoqués plus haut disposent d’une impédance nominale de 270 ohms. Cependant, à leur fréquence de résonance de 16,5 Hz, l'impédance peut atteindre 900 ohms. Pour vraiment capturer le bas de gamme, vous auriez besoin d'un préampli avec une impédance d'entrée aussi élevée que 9 K ohms ! Ceci est important, car un préampli standard avec une impédance d'entrée de 1,2 k ohms ou moins n'enregistrera pas le grave inhérent aux microphones à ruban passif.
Micros à ruban actif
Les microphones à ruban avec circuits actifs ne sont pas aussi dépendants du préampli que les micros passifs, c'est en partie pour cela qu’ils ont été développés. L'électronique des micros actifs permet au micro de fournir 100% de son plein potentiel sonore, quelles que soient les caractéristiques d'entrée du préampli.
Les rubans actifs sont souvent plus pratiques : ils disposent d’un niveau de sortie plus élevé, et il ne faut pas se soucier de l’impédance d’entrée du préampli qui sera utilisé. Hélas, ils sont généralement plus onéreux et peuvent encaisser une pression acoustique moindre.
Conclusions
Lorsque vous choisissez un préampli pour un microphone à ruban passif, assurez-vous qu'il dispose d’une impédance suffisamment élevée pour s'adapter au microphone, et d’un gain suffisant. Veillez aussi à ce que même à niveau de gain élevé, le son reste propre et silencieux. Il existe des préamplis à ruban optimisés chez AEA, mais il en existe également dans d'autres marques. Le Forssel SMP-2 par exemple, dispose d’une impédance d’entrée de 13k ohms, ou le Millennia HV-3D de 6, 75k ohms.
Un équipement audio professionnel de haute qualité n'est jamais bon marché, et un bon micro à ruban ne fait pas exception à la règle. Assurez-vous donc d'utiliser un préampli d'un fabricant réputé, qui fournira ce dont votre microphone à ruban passif a besoin pour fonctionner de manière optimale. Sinon, orientez-vous plutôt vers un microphone à ruban actif, qui peut être utilisé avec la plupart des préamplis modernes sans souci.
Les micros à ruban passifs possèdent un son incroyable, mais ont également des exigences spécifiques pour leur permettre d'atteindre leur plein potentiel.
Comment l'impédance peut modifier le son d’un microphone à ruban
Quand le terme « impédance » est utilisé, les gens se sauvent en courant !
Pourtant, pour ceux qui comprennent le concept d'impédance, il existe encore de nombreuses idées fausses sur la façon dont il se rapporte aux microphones, en particulier les microphones à ruban passifs. Apprendre comment l'impédance d'un préampli peut affecter vos microphones à ruban vous ouvrira à un nouveau monde de sons et de tonalités.
Qu'est-ce que l’impédance ?
Chaque équipement électronique dispose d’une impédance. L'impédance électrique est la mesure de l'opposition qu'un circuit présente à un courant lorsqu'une tension y est appliquée. Chaque microphone, préampli, convertisseur, compresseur et magnétophone possède une impédance de sortie et d'entrée. Votre téléphone, votre ordinateur et même votre grille-pain ont une impédance. Au quotidien, vous n’avez pas à vous soucier de l'impédance. Mais en studio d'enregistrement, l'impédance de vos différents équipements peut avoir un impact significatif sur le son et la qualité de vos enregistrements.
En ce qui concerne les microphones, l'impédance indique à quel point il est difficile pour l'électricité de circuler à différentes fréquences, ce qui affecte directement le volume et le son de ces équipements.
Les microphones à ruban passifs doivent être correctement couplés à l'impédance d'entrée du préampli pour fonctionner à leur plein potentiel. Si l’impédance d’un préampli est trop faible, le microphone devra travailler plus fort pour générer un signal approprié. Lorsque cela se produit, le bas du spectre fréquentiel du microphone sera limité et la réponse transitoire sonnera plate, dégradant les performances globales du microphone. On aura l’impression que le son est à la fois mou et bouché. Plusieurs personnes m’ont avoué être déçues de leur micro à ruban, alors que celui-ci n’était pas en cause. Ce qui posait problème était l’impédance d’entrée du préampli où le microphone était branché.
Le mythe de l'impédance
Une idée fausse commune est que l'impédance de l'entrée du préampli doit correspondre à la même impédance que le microphone. Cette idée de «matching» ( mise en correspondance) est née des premières technologies des télécommunications, lorsque l’impédance du micro et du préampli devaient être identiques pour obtenir le transfert de puissance le plus élevé. Ce n'est plus vrai.
La règle actuelle est que pour fournir sa réponse en fréquence complète, un micro à ruban passif doit disposer d’une impédance d'entrée d'au moins cinq fois son impédance de sortie. Cela signifie que si le micro possède une impédance de sortie de 300 ohms, le préampli doit afficher une impédance d'entrée de 1200 à 1500 ohms minimum. Il est même recommandé une impédance d'entrée d'au moins dix fois l'impédance de sortie du micro pour assurer des performances optimales.
Fréquence de résonnance
Chaque microphone à ruban possède une fréquence de résonance. Par exemple, les micros « longs rubans » de chez AEA sont réglés avec une fréquence de résonance de 16,5 Hz, ce qui est inférieur au seuil d'audition humaine. Pour capturer le spectre sonore complet d'un tel micro, l'utilisateur doit s'assurer que le préampli qu’il utilisera possède une impédance suffisamment élevée pour le microphone. La règle de base est la suivante : plus l’impédance d’entrée du préampli est élevée, au mieux elle sera adaptée pour reproduire la plage de fréquences complète d’un microphone à ruban.
Lorsque l'impédance du préampli est trop faible et ne peut pas gérer l'impédance du microphone, plusieurs choses peuvent se produire :
1. Le ruban peut devenir amorti, ce qui signifie que son mouvement est limité. Cela rend souvent le son du microphone terne et flou. Certains associent (à tort) ce type de sonorité au ruban. Il n’y a aucune raison pour qu’un micro à ruban sonne de la sorte quand un préampli d’impédance correcte est utilisé.
2. Un gain de préampli plus important est généralement nécessaire, ce qui ajoute du bruit de fond supplémentaire à l'enregistrement.
3. Le micro ne capturera pas autant de basses fréquences qu’il ne le devrait, et ceci peut provoquer une distorsion ou d'autres artefacts indésirables et la réponse en transitoires et hautes fréquences peut être compromise.
Impédance variable
L'impédance d'un microphone change en fonction des fréquences. Dans le tableau ci-dessous, vous pouvez voir que l'impédance varie constamment en fonction de la fréquence.
Les micros passifs à grand ruban d'AEA évoqués plus haut disposent d’une impédance nominale de 270 ohms. Cependant, à leur fréquence de résonance de 16,5 Hz, l'impédance peut atteindre 900 ohms. Pour vraiment capturer le bas de gamme, vous auriez besoin d'un préampli avec une impédance d'entrée aussi élevée que 9 K ohms ! Ceci est important, car un préampli standard avec une impédance d'entrée de 1,2 k ohms ou moins n'enregistrera pas le grave inhérent aux microphones à ruban passif.
Micros à ruban actif
Les microphones à ruban avec circuits actifs ne sont pas aussi dépendants du préampli que les micros passifs, c'est en partie pour cela qu’ils ont été développés. L'électronique des micros actifs permet au micro de fournir 100% de son plein potentiel sonore, quelles que soient les caractéristiques d'entrée du préampli.
Les rubans actifs sont souvent plus pratiques : ils disposent d’un niveau de sortie plus élevé, et il ne faut pas se soucier de l’impédance d’entrée du préampli qui sera utilisé. Hélas, ils sont généralement plus onéreux et peuvent encaisser une pression acoustique moindre.
Conclusions
Lorsque vous choisissez un préampli pour un microphone à ruban passif, assurez-vous qu'il dispose d’une impédance suffisamment élevée pour s'adapter au microphone, et d’un gain suffisant. Veillez aussi à ce que même à niveau de gain élevé, le son reste propre et silencieux. Il existe des préamplis à ruban optimisés chez AEA, mais il en existe également dans d'autres marques. Le Forssel SMP-2 par exemple, dispose d’une impédance d’entrée de 13k ohms, ou le Millennia HV-3D de 6, 75k ohms.
Un équipement audio professionnel de haute qualité n'est jamais bon marché, et un bon micro à ruban ne fait pas exception à la règle. Assurez-vous donc d'utiliser un préampli d'un fabricant réputé, qui fournira ce dont votre microphone à ruban passif a besoin pour fonctionner de manière optimale. Sinon, orientez-vous plutôt vers un microphone à ruban actif, qui peut être utilisé avec la plupart des préamplis modernes sans souci.
Rroland www.studiolair.be
[ Dernière édition du message le 26/09/2020 à 21:29:32 ]
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oumphfa
41
Nouvel·le AFfilié·e
Membre depuis 5 ans
2 Posté le 02/06/2020 à 20:09:02
Ceci est de nature pour la quasi totalité des microphones, les statiques sont un peu différents, ils ont une impédance d'environ....comme un dynamique, mais qui varie avec les filtres, pads,etc.
Pour les niveaux lignes l'impédance d'entrée doit être au moins dix fois supérieure à l'impédance de source.
Chapeau bas à Beyer pour son excellent M160, archi polyvalent, sans extreme grave, ce qui lui à valu d'être, entre autres, présent sur de nombreuses perches de tournage ciné pour les prises de voix.
Pour les niveaux lignes l'impédance d'entrée doit être au moins dix fois supérieure à l'impédance de source.
Chapeau bas à Beyer pour son excellent M160, archi polyvalent, sans extreme grave, ce qui lui à valu d'être, entre autres, présent sur de nombreuses perches de tournage ciné pour les prises de voix.
rroland
27026
Modérateur·trice thématique
Membre depuis 20 ans
3 Posté le 02/06/2020 à 21:50:46
Parler de la totalité des microphones en excluant les statiques, c’est un peu contradictoire
Mais effectivement, les dynamiques bénéficient souvent d’un preampli à plus haute impédance, même si la différence sera nettement moins marquée qu’avec les micros au ruban. D'ailleurs les tables de mixage orientées "sono" disposent généralement de préamplis haute impédance.
Le M160 est assez particulier, de par son double ruban, et les dimensions réduites de ceux-ci (qui sont plus rigides, du coup). Effectivement une réussite, et qui semble être l’exception par rapport à la nécessité de travailler avec un preampli à très haute impédance. C’est un peu l’exception qui confirme la règle, sauf pour la qualité, et le prix qui en fait l’un des très bons rubans à prix relativement abordable.
Mais effectivement, les dynamiques bénéficient souvent d’un preampli à plus haute impédance, même si la différence sera nettement moins marquée qu’avec les micros au ruban. D'ailleurs les tables de mixage orientées "sono" disposent généralement de préamplis haute impédance.
Le M160 est assez particulier, de par son double ruban, et les dimensions réduites de ceux-ci (qui sont plus rigides, du coup). Effectivement une réussite, et qui semble être l’exception par rapport à la nécessité de travailler avec un preampli à très haute impédance. C’est un peu l’exception qui confirme la règle, sauf pour la qualité, et le prix qui en fait l’un des très bons rubans à prix relativement abordable.
Rroland www.studiolair.be
[ Dernière édition du message le 17/09/2020 à 16:34:29 ]
oumphfa
41
Nouvel·le AFfilié·e
Membre depuis 5 ans
4 Posté le 02/06/2020 à 22:14:06
Oui.Je n'ai pas exclu les statiques, j'ai précisé qu'il étaient différents, et si j'ai écris quasi-totalité, c'est qu'il y a des exceptions, mais sauf prescription expresse par le fabricant, on peut brancher pratiquement n'importe quel micro à sortie symétrique basse impédance sur n'importe quelle entrée "micro". Qui aura en général une impédance d'entrée de l'ordre de trois à dix fois supérieure. Un micro c'est de l'ordre de 100 à 600 Ohms, sachant qu'en symétrique quand on dit 600, c'est 2x300. Bonne soirée.
Dvt
5879
Je poste, donc je suis
Membre depuis 20 ans
5 Posté le 07/06/2020 à 00:04:24
Rien n'empêche de passer par une (bonne) D.I. qui aura une impédance de l'ordre du MOhm.
Anonyme
6 Posté le 07/06/2020 à 09:15:40
Bonjour,
Si !
-la perte de symétrisation qui obligera à utiliser un câble très court pour éviter le bruit.
-la perte de niveau ( -20 dB classiquement ) alors qu'un ruban délivre un niveau électrique souvent faible, voire très faible, ce qui va demander un gain énorme sur le pré-amp.
Citation :
Rien n'empêche de passer par une (bonne) D.I
Si !
-la perte de symétrisation qui obligera à utiliser un câble très court pour éviter le bruit.
-la perte de niveau ( -20 dB classiquement ) alors qu'un ruban délivre un niveau électrique souvent faible, voire très faible, ce qui va demander un gain énorme sur le pré-amp.
[ Dernière édition du message le 07/06/2020 à 10:43:58 ]
rroland
27026
Modérateur·trice thématique
Membre depuis 20 ans
7 Posté le 07/06/2020 à 12:38:07
Citation :
Rien n'empêche de passer par une (bonne) D.I. qui aura une impédance de l'ordre du MOhm.
Ce qui empêche, c’est la connaissance de ce que sont un micro et une DI.
Comme l’explique Phil29.
Rroland www.studiolair.be
[ Dernière édition du message le 08/07/2020 à 08:36:42 ]
milsabords
1357
AFicionado·a
Membre depuis 21 ans
8 Posté le 26/09/2020 à 22:39:34
Kssk
497
Posteur·euse AFfamé·e
Membre depuis 18 ans
9 Posté le 26/09/2020 à 23:51:22
Même s'il est excellent, le M160 change vraiment lui aussi de "tonalité" en fonction de l'impédance.
En ce qui concerne ce jeu d'impédance, pour les rubans non actifs, (ou pour les rubans actifs si vous avez des alim fantômes externes dispo), je conseille le Cloud CL-Z ( https://fr.audiofanzine.com/preampli-transistors/cloud-microphones/cloudlifter-cl-z/ ). Ca permet d'utiliser n'importe quel préamp, tout en jouant de l'impédance (150 à 15k). Effet immédiat, et jolie palette de choix.
C'est aussi très intéressant sur certains dynamiques, qui sont transformés.
Pour pas trop cher, c'est une sacrée ouverture de possibilités.
En ce qui concerne ce jeu d'impédance, pour les rubans non actifs, (ou pour les rubans actifs si vous avez des alim fantômes externes dispo), je conseille le Cloud CL-Z ( https://fr.audiofanzine.com/preampli-transistors/cloud-microphones/cloudlifter-cl-z/ ). Ca permet d'utiliser n'importe quel préamp, tout en jouant de l'impédance (150 à 15k). Effet immédiat, et jolie palette de choix.
C'est aussi très intéressant sur certains dynamiques, qui sont transformés.
Pour pas trop cher, c'est une sacrée ouverture de possibilités.
milsabords
1357
AFicionado·a
Membre depuis 21 ans
10 Posté le 27/09/2020 à 02:33:39
chez bumblebee il propose trois boites de direct, en kit, ou montées. Mais je n'en ai testé aucune.
en voila une : https://www.bumblebeepro.com/shop/bb-d2-discrete-op-amp-di-diy-kit/
en voila une : https://www.bumblebeepro.com/shop/bb-d2-discrete-op-amp-di-diy-kit/
En france on a du pêt drôle , mais on a pas d'idées.
CANIGOU ...C'EST FOU !!!
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