C'est clûr, n'empêche que jouer une note étrangère ou fausse, la seule dif réside dans l'intention, or l'auteur seul sait s'il l'a voulue ou non, cette note. Donc objectivement les termes "fausse" et "étrangère" sont tous les deux justes, ou injustes. Bref.
Je vous conseilles d'écouter " Dance of fire " , l'album d'une pianiste qui s'appele Aziza Mustaphah Zadeh . Al Di Meola joue de l'acoustique dessus ,
avfec Stanley Clarke , Omar Hakim et Kaï Eckhardt , et franchement ça déchire . L'album date de 95 .
Il paraît que Nuno Betttencourt est un fan de Al et qu'il s'en aît beaucoup inspiré ...
-1 pour Hendrix... suffit que je réécoute sa version de All Along The Watchtower pour me dire qu'il était vraiment unique... Et quand je vois des mecs comme Eric Johnson ou Scott Henderson je me dis aussi que l'esprit Hendrix est loin d'être mort Mais c'est vrai qu'heureusement que ça tourne un peu
Citation : ça n'est pas le problème de se planter ou pas, mais plutôt de savoir surprendre l'auditeur et enrichir son propre jeu.
Non, c'est parce que je lisais fausse note, et pour moi fausse note = plantage
Dans Friday Night..., par exemple, Di Meola est celui qui en met le plus à côté, et ça, ça ne s'appelle pas jouer out, mais se planter.
et quand ça arrive, on se dépêche de répéter la note avec un air entendu, genre "la vache, vous avez vu comme j'ose la dissonance" ou on place un plan très rapide dans la foulée, histoire de faire oublier le pain. C'est humain