-------> L'histoire sans fin d' AC/DC ------->

Citation : C'est clair que la génération née dans les années 50-60 avait de quoi baver question scène

Hors sujet : Certes; mais il y avait un tel choix que tout le monde hésitait un peu à trouver véritablement "sa voie".
Et puis tout le monde s'imaginait que cette profusion durerait dès lors toute l'éternité.

Phénomène du reste parfaitement parallèle en cabaret quelques 10 années plus tôt : tu avais dans le même bouiboui Devos qui succédait à Barbara, laquelle venait de dégager une Greco et un Nougaro déjà partis continuer de gagner -fort mal- leur vie dans le cabaret voisin où se produisaient dans la même soirée Lapointe, Sim et Brel.

On a peine à s'imaginer ça aujourd'hui -par la simple raison que ça serait tout simplement impossible à réaliser financièrement-; mais c'était le quotidien de l'époque.

Bah... c'était autre chose, quoi...

Hors sujet : Je te rejoins sur pas mal d'idées.

"De bons pères de famille", en revanche, j'en sais rien.
Je n'aurais par exemple pas aimé être le fils d'Angus et de sa Hollandaise d'éposue qu'il trimballait partout à ses concerts... Pauvre môme, ça en faisait pitié. Je n'ai pas suivi l'affaire, mais il doit être complètement débousolé à présent et totalement sourd depuis l'âge de deux ans (ce qui est peut-être -je dis bien peut-être- "moins grave" que de perdre la feuille progressivement et de devoir résolument renoncer à sa passion).

T'imagines un peu dans les autres ciconstances, la vie de ces gosses avec un parent qui tourne tout le temps dans le monde entier pour aller faire son numéro, servir la même -efficace- soupe ?

Sans dec', à tout prendre je préfère franchement n'avoir eu que des fantômes en guise de parents, et ce n'est certes pas l'accumulation de la positive fortune des Young ni encore moins la célébrité mondiale d'un parent qui me feraient bouger d'avis.

Citation : tout ça distille un profond ennui...