-------> L'histoire sans fin d' AC/DC ------->
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pulvonium
6780
Je poste, donc je suis
Membre depuis 19 ans
Sujet de la discussion Posté le 10/08/2007 à 23:27:11-------> L'histoire sans fin d' AC/DC ------->
Bon, si comme moi vous considérez AC/DC comme LE groupe de Rock, vous serez comme moi : Ravi d'apprendre qu'ils doivent entrer en studio fin 2007 pour un album en 2008
Vous les aimez ?
Vous êtes déjà allés les voir, il y a quelques années ou quelques décennies ?
Vous seriez prêts à faire moult kilomètres pour les revoir en Live ?
Allez on en parle
Vous les aimez ?
Vous êtes déjà allés les voir, il y a quelques années ou quelques décennies ?
Vous seriez prêts à faire moult kilomètres pour les revoir en Live ?
Allez on en parle
Le Chevelu
311
Posteur·euse AFfamé·e
Membre depuis 19 ans
2 Posté le 11/08/2007 à 11:27:46
Le groupe de rock par excellence ! Malgrès leur age ils sont toujours aussi péchu sur scène !
Angus Young est un showman extrordinaire ! anoter la sortie d'un Coffret 3 DVD sur AC/DC avec en prime quelques extrait de leur concert en France en 2001 (ça c'est pour le coté chauvinisme)
Angus Young est un showman extrordinaire ! anoter la sortie d'un Coffret 3 DVD sur AC/DC avec en prime quelques extrait de leur concert en France en 2001 (ça c'est pour le coté chauvinisme)
safred
1485
AFicionado·a
Membre depuis 17 ans
3 Posté le 11/08/2007 à 12:12:33
moi qui commençe à avoir de la bouteille ( doux euphémisme.....)
je préferais quand meme,la période bon scott("high voltage "let there be rock" "highway to hell"
je préferais quand meme,la période bon scott("high voltage "let there be rock" "highway to hell"
wildchild666
11217
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 18 ans
4 Posté le 11/08/2007 à 12:16:11
Ca fait combien d'années que cet album est annoncé?
Moi ça a été un de mes premiers groupes rock-hard-rock, c'est un peu grâce à eux que je me suis mis au metal par la suite, et j'écoute toujours, mais avec un poil moins d'enthousiasme des albums tels que back in black , j'adore aussi le live in donington.
Un véritable groupe culte.
Moi ça a été un de mes premiers groupes rock-hard-rock, c'est un peu grâce à eux que je me suis mis au metal par la suite, et j'écoute toujours, mais avec un poil moins d'enthousiasme des albums tels que back in black , j'adore aussi le live in donington.
Un véritable groupe culte.
- Vous êtes contre tout ce qui a été fait depuis la dernière guerre...
- Vous vous trompez de date. Je suis contre tout ce qui a été fait depuis Adam
Odiofanzin
317
Posteur·euse AFfamé·e
Membre depuis 17 ans
5 Posté le 11/08/2007 à 12:16:14
Citation : je préferais quand meme,la période bon scott("high voltage "let there be rock" "highway to hell"
Les mythes d'AC/DC.
(vide)
pulvonium
6780
Je poste, donc je suis
Membre depuis 19 ans
6 Posté le 11/08/2007 à 12:24:27
Probablement le seul groupe à avoir survécu avec tant de réussite à un changement de chanteur (voire deux, si on compte leur premier avant Bon Scott)
wildchild666
11217
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 18 ans
7 Posté le 11/08/2007 à 12:49:22
Là par contre, je suis pas vraiment d'accord, Iron Maiden a vu son succes encore grandir avec l'arrivée de dickinson, enfin je sais plus trop le mic mac qu'il y a eut avec les chanteurs dans Maiden.
Black Sabbath aussi a changé de chanteur et n'a pas perdu sa celebrité.
Menfin bon, je suis quand même d'accord que ça reste assez rare ce genre de continuité!
Et vive angus young
Black Sabbath aussi a changé de chanteur et n'a pas perdu sa celebrité.
Menfin bon, je suis quand même d'accord que ça reste assez rare ce genre de continuité!
Et vive angus young
- Vous êtes contre tout ce qui a été fait depuis la dernière guerre...
- Vous vous trompez de date. Je suis contre tout ce qui a été fait depuis Adam
Catharsis
951
Posteur·euse AFfolé·e
Membre depuis 20 ans
8 Posté le 11/08/2007 à 12:57:47
Ce qui m'a toujours fait halluciner avec ACDC, c'est le côté "vieux pots, meilleures soupes".
C'est toujours la même recette depuis des années: le même matos (à quelques variantes près je suppose), la même mise en scène, les mêmes gestuelles, des pentatoniques en cascade etc.
On pourrait se dire: "ouais bon ça commence à se répéter tout ça", et puis non, c'est toujours le même pied
L'art du tourner en rond sans jamais se mordre la queue
C'est toujours la même recette depuis des années: le même matos (à quelques variantes près je suppose), la même mise en scène, les mêmes gestuelles, des pentatoniques en cascade etc.
On pourrait se dire: "ouais bon ça commence à se répéter tout ça", et puis non, c'est toujours le même pied
L'art du tourner en rond sans jamais se mordre la queue
Que la musique soit !
pulvonium
6780
Je poste, donc je suis
Membre depuis 19 ans
9 Posté le 11/08/2007 à 22:01:11
Y a eu un article où un journaliste égratignait AC/DC en disant :
"AC/DC, c'est onze albums qui sonnent comme un seul"
Et Angus avait répondu :
"Il ment. Nous avons déjà douze albums qui sonnent comme un seul !"
"AC/DC, c'est onze albums qui sonnent comme un seul"
Et Angus avait répondu :
"Il ment. Nous avons déjà douze albums qui sonnent comme un seul !"
Hit !
22449
Vie après AF ?
Membre depuis 19 ans
10 Posté le 12/08/2007 à 00:05:36
Je les ai vus à Lille avec Bon Scott. Ca s'appelait encore la "foire internationale". C'était peut-être deux ou trois ans avant "Highway to hell", autant dire que seuls en France quelques initiés connaissaient. Il n'y avait qu'un bon millier de personnes (l'organisateur avait rétréci la salle au moyen de longs et lourds rideaux noirs). Je crois encore avoir le billet, sécurité "KCP" si je me souviens bien, les affiches (qui reprenaient en bleu et blanc la pochette de Powerage) étaient encore formidablement minables.
On n'avait alors en cette période mauditement bénie que des câbles partout sur les scènes (et Scott, je l'atteste, se trimballait vraiment avec A. Young sur les épaules pendant LTBR dans le public; proprement hallucinant vu la carrure ET la longueur du câble).
A un moment, pendant "Riff-Raff" si je me souviens bien, Scott chantait, face au public, avec toute la conviction et la persuasion du regard qu'on lui connait : il n'aurait pas, je n'exagère pas le propos, chanté autrement pour dissuader un tigre de l'approcher. Mais voilà que le bon diable déboule et que le câble de sa SG -noir et blanc- se prend à la suite d'on ne sait quel emberlificottages dans celui de Scott, lui arrachant littéralement des mains son outil de travail.
Young, retenu dans son élan par la courroie, continue son solo à mi-route sur la scène, se rendant compte sans se retourner que son pote est en difficulté vu qu'au surcroît, il n'y a évidemment plus de son au micro... Scott cherche du regard son engin, le retrouve, et finit la chanson le corps allongé (pour pouvoir chanter dans le mike emprisonné dans les spaghetti).
Il n'y avait pas encore pour eux des techniciens prêts à fournir à l'arrache le matériel de secours : à cette enseigne qu'on aurait je crois pu échanger à fumer avec l'ingé-son (un seul !) si nous avions possédé alors quelque peu d'anglais.
Quant aux lumières, n'en parlons surtout pas (le légendaire "Let there be rock" -je parle de la vidéo live enregistrée à Paris quelques années plus tard- reflète assez fidèlement l'époque à laquelle je me réfère).
Je les ai revus des années plus tard avec Johnson à Lille; puis aussi à Bercy.
... C'est plus "ça"...
Y'a dans le public des cornes rouges qui s'allument aux têtes sur des piles, un pathétique solo de guitare aménagé au milieu du cirque sur une mini-scène tournante -bah vii : l'âge compte- et un public devenu comme docile.
J'aime pas le bordel ni le merdier et surtout pas dans les concerts. Mais ce n'était alors ni le bordel ni le merdier : écumants de transpiration, on savait encore ne faire que semblant d'être agressifs en portant toutes nos idôles.
On n'avait alors en cette période mauditement bénie que des câbles partout sur les scènes (et Scott, je l'atteste, se trimballait vraiment avec A. Young sur les épaules pendant LTBR dans le public; proprement hallucinant vu la carrure ET la longueur du câble).
A un moment, pendant "Riff-Raff" si je me souviens bien, Scott chantait, face au public, avec toute la conviction et la persuasion du regard qu'on lui connait : il n'aurait pas, je n'exagère pas le propos, chanté autrement pour dissuader un tigre de l'approcher. Mais voilà que le bon diable déboule et que le câble de sa SG -noir et blanc- se prend à la suite d'on ne sait quel emberlificottages dans celui de Scott, lui arrachant littéralement des mains son outil de travail.
Young, retenu dans son élan par la courroie, continue son solo à mi-route sur la scène, se rendant compte sans se retourner que son pote est en difficulté vu qu'au surcroît, il n'y a évidemment plus de son au micro... Scott cherche du regard son engin, le retrouve, et finit la chanson le corps allongé (pour pouvoir chanter dans le mike emprisonné dans les spaghetti).
Il n'y avait pas encore pour eux des techniciens prêts à fournir à l'arrache le matériel de secours : à cette enseigne qu'on aurait je crois pu échanger à fumer avec l'ingé-son (un seul !) si nous avions possédé alors quelque peu d'anglais.
Quant aux lumières, n'en parlons surtout pas (le légendaire "Let there be rock" -je parle de la vidéo live enregistrée à Paris quelques années plus tard- reflète assez fidèlement l'époque à laquelle je me réfère).
Je les ai revus des années plus tard avec Johnson à Lille; puis aussi à Bercy.
... C'est plus "ça"...
Y'a dans le public des cornes rouges qui s'allument aux têtes sur des piles, un pathétique solo de guitare aménagé au milieu du cirque sur une mini-scène tournante -bah vii : l'âge compte- et un public devenu comme docile.
J'aime pas le bordel ni le merdier et surtout pas dans les concerts. Mais ce n'était alors ni le bordel ni le merdier : écumants de transpiration, on savait encore ne faire que semblant d'être agressifs en portant toutes nos idôles.
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