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bm64
« Jouissif ! »
Publié le 25/07/22 à 13:36
Rapport qualité/prix :
Correct
Cible :
Les utilisateurs avertis
Quatre potards, quatre entrées, trois switches et basta !
Je suis dans l'ensemble bien d'accord avec l'avis de loupgarou2a et je vais essayer de ne pas être trop répétitif par rapport à lui.
Ce Cornell est d'une grande simplicité, mais cela n'empêche d'évoluer sur différents terrains de jeux allant du blues léger au hard-rock très pêchu.
Cet ampli acquis dans un échange m'a tout simplement ramené aux fondamentaux: on branche, on joue. Vraiment, c'est quasi ça! Et m'a rappelé ce qui m'a amené à jouer de la guitare quand j'était très jeune (1977): le tout premier concert que j'ai vu avec Les Paul et Telecaster branchées dans des Plexi.. J'en ai eu les oreilles qui ont sifflé pendant deux jours (ben oui, des trois corps...), mais quel pied.
Bien moins douloureux pour mes oreilles, ce Cornell me replonge dans ce son totalement jouissif. On en oublie même l'absence de reverb.
Même si le grain ne change guère, les quatre entrées et les deux canaux permettent d'évoluer en son clair (enfin, faut pas rêver aux sons cristallins de certains Fender quand même) et le gros son. On peut aussi s'amuser à bridger les deux canaux pour avoir plus de gniaque. L'égalisation est minimaliste, mais efficace. Les différences de puissance selon les switches ne sont pas drastiques, mais affectent plutôt la teneur en gain. Cet amplis ne pèse pas une tonne. C'est un combo certes, mais un deux corps ne ferait pas mieux... Le rapport poids-encombrement est très bon.
Mais surtout, il y a ce truc incroyable qui donne envie de jouer jusqu'au bout de la nuit et que bien peu d'amplis (et surtout de "modélisations" super sophistiquées) m'ont donné jusqu'à présent. Ce truc qui vous prend tout entier, mais qu'on n'arrive pas vraiment à expliquer avec des mots. Comment expliquer, définir un orgasme?
Jouissif, je vous dis.
Je suis dans l'ensemble bien d'accord avec l'avis de loupgarou2a et je vais essayer de ne pas être trop répétitif par rapport à lui.
Ce Cornell est d'une grande simplicité, mais cela n'empêche d'évoluer sur différents terrains de jeux allant du blues léger au hard-rock très pêchu.
Cet ampli acquis dans un échange m'a tout simplement ramené aux fondamentaux: on branche, on joue. Vraiment, c'est quasi ça! Et m'a rappelé ce qui m'a amené à jouer de la guitare quand j'était très jeune (1977): le tout premier concert que j'ai vu avec Les Paul et Telecaster branchées dans des Plexi.. J'en ai eu les oreilles qui ont sifflé pendant deux jours (ben oui, des trois corps...), mais quel pied.
Bien moins douloureux pour mes oreilles, ce Cornell me replonge dans ce son totalement jouissif. On en oublie même l'absence de reverb.
Même si le grain ne change guère, les quatre entrées et les deux canaux permettent d'évoluer en son clair (enfin, faut pas rêver aux sons cristallins de certains Fender quand même) et le gros son. On peut aussi s'amuser à bridger les deux canaux pour avoir plus de gniaque. L'égalisation est minimaliste, mais efficace. Les différences de puissance selon les switches ne sont pas drastiques, mais affectent plutôt la teneur en gain. Cet amplis ne pèse pas une tonne. C'est un combo certes, mais un deux corps ne ferait pas mieux... Le rapport poids-encombrement est très bon.
Mais surtout, il y a ce truc incroyable qui donne envie de jouer jusqu'au bout de la nuit et que bien peu d'amplis (et surtout de "modélisations" super sophistiquées) m'ont donné jusqu'à présent. Ce truc qui vous prend tout entier, mais qu'on n'arrive pas vraiment à expliquer avec des mots. Comment expliquer, définir un orgasme?
Jouissif, je vous dis.