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Pucelle_Dabidjan
« Le gros challenger du milieu de gamme »
Publié le 27/03/12 à 16:58Roksan est une petite marque britannique qui, selon le vendeur, produirait encore sur sol britannique. Je ne mentirai pas en vous disant que je n'ai pas été curieux de voir ce que d'autres en pensaient avant moi, mais, visiblement, il me semble que j'ai eu mes propres constatations lors de mon essai.
Malgré un certain amateurisme dans mes tests hifi, j'aime bien commencer par décrire l'engin. Il s'agit d'un petit rectangle d'aluminium aux bords taillés pour casser la monotonie d'un tel design. Cela le rend visuellement plaisant. Si je me rappelle la bête noire du design, les séries classic de Exposure, cet effort est bienvenu et contribue au côté "bel objet" de cet engin. La paroi d'aluminium à l'avant est épaisse et l'entourage que je crois être en tôle respire aussi la stabilité. Le jeux des tonalités entre l'entourage et la face avant est bien vu.
Je fait un rapide détour pour parler de la connectique. Pas franchement riche si vous êtes fan de XLR, vous aurez plus qu'assez d'entrée si vous souhaitez rentrer en Cinch. Elle perd toutefois un gros point sur l'absence de convertisseur ou de pré-ampli phono intégré. Ce sont des éléments quasi vitaux en hifi actuellement.
Si j'en viens à parler de la résistance pure du case, j'ai vu plus solide, mais c'est loin d'être un mauvais case. Ca commence donc plutôt bien pour le petit intégré à 2300 euros. Les 2 ans de garantie sont toutefois peu importants. Pour de tels budgets, une garantie d'au moins 5 ans devrait être un minimum. Au regard de concurrents proposant 5,10 , voir 25 ans pour leur marchandise, roksan peut/doit faire mieux. Comme toujours, je renonce à essayer de décrire le son d'un ampli intégré "tout seul". C'est comme si on essayait de décrire le comportement d'un avion après le changement d'un élément de carénage. Un amateur tel que moi sera forcément à côté de la plaque. De toute façon, c'est bien un son d'ensemble que je teste ici.
Pour ce test, j'ai procédé en deux phases (niveau d'équipements)
Première phase :
- Intégré Roksan Caspian
- Lecteur CD Roksan Caspian
- Enceintes Monitor Audio GX200
- Câblage HP et connection inconnu
- Câblage électrique, prise de série
- Pas de préparation de courant en amont
J'en profite avant d'attaquer la partie sonore pour dire que la prise en main est plutôt simple. J'ai beaucoup aimé la télécommande avec une partie écran tactile qui regroupe les commandes de base et qui est pluôt lisible, simple et bien faite.
Parlons aussi des réserves en puissance de l'engin. 2x85w sous 8ohms, qui passe à 125w sous 4ohms. C'est plutôt classique et ne mérite pas spécialement de s'y attarder plus. Je ne sais pas si l'engin supporte le 2ohms.
Le son
---------
En ouverture, j'ai choisi mon morceau fétiche "sigh no more" de Mumpford and sons. Ce morceau regroupe quasiment tout ce qu'un ampli hifi doit pouvoir redonner. Le plafond sonore de ce morceau est perché haut, la scène est vaste, les instruments utilisés sont naturels, dont certains qui mettent un ampli à rude épreuve (orgues, contrebasses), il y a du microdétail qui peut traîner (grip sur le manche de la guitare ou sur le manche de la contrebasse), des sauts de dynamique et d'intensité important, des voix expressives avec du grain. BREF ! Si un ampli est à la hauteur de toutes ses missions, ce morceau le révèle d'entrée.
Ma première impression ici est que le son me paraît sensiblement moins grandement dimensionné qu'avec mon écoute de référence vécue avec la combi exosure classic/pmc fact8. Le son tourne plus autour d'un point central, la scène est moins profonde, on a vraiment l'impression que les instruments sont plus proche de nous. La contrebasse sur ce morceau avait une certaine autorité, mais était loin de ce qu'on est en mesure d'attendre de ce qu'on appelle une contrebasse. Tant qu'on est dans le registre grave, je dénote un orgue qui n'est pas en place, son spectre grave semble amputé. Le travail global est peu spectaculaire. C'est un peu plat globalement. Seul l'aigu semble s'en tirer mieux, car il semble complètement transparent. On n'entend même pas qu'il travaille. Il n'y a aucun parasite, aucun essorage dans cette fréquence. L'aigu est LA, simplement LA. Ici, le travail du tweeter à ruban de la Monitor audio offre une efficacité maximale. Je dirais que le son dans l'aigu n'a absolument aucune once d'agressivité. Ce qui me trouble, c'est que les tambourins utilisés dans la partie percussion de ce morceau sont sensés en avoir, de l'agressivité.
A faible volume, l'autorité tombe, le son s'adoucit. En revanche, ce gain en douceur favorise l'émergence de la voix qui passe alors en avant, rendant les écoutes à bas volume possible. Mais ce n'est, clairement, pas le steak de cet amplard. Un essai, rapide, de Hells bells (acdc) soulignera que, effectivement, le comportement global a tendance à s'adoucir et à se fermer un peu quand on descend le volume, pas cool pour une écoute de rock à niveau intimiste.
Nada Surf, "the way you wear your head" :
Un autre morceau test, avec beaucoup d'air, de dimension et une bonne frappe. Je remarque immédiatement qu'il y a moins de micro-détails qu'avec la PMC. Les guitares ont un grain plus plat. Tous les protagonistes semblent plus proches. Le morceau a, en revanche, une belle verve. Aucune difficulté de la combi à suivre le rythme endiablé. Mais, en revanche, un manque de poids dans la batterie.
De nouveau ici, maîtrise de l'aigu remarquable, la voix du chanteur manque juste encore un peu de grain, mais, globalement, l'émotion est transportée.
Nada Surf, "killians red"
Basse extrêmement naturelle, mais il manque le grip sur la corde, déterminant pour le dernier petit peu de réalisme. La guitare est très régulière là où l'exposure m'a montré une certaine irrégularité, transportant d'autant plus l'émotion. Dommage, ici ce message s'est perdu.
Led Zeppelin, Album how the west was won, "Immigrant Song" :
Haha ! Intéressant. Là aussi, la batterie manque d'autorité ce qui la prive partiellement de son réalisme. En revanche, les petites imperfections dans le son sont comme "repassées". On entend les micro-détails, mais la combi ne met pas le doigt dessus. Du coup, l'écoute est plus reposante, moins usante. Sur ce morceau, très agressif dans l'aigu, le son présent ici est juste bien. Il ne vrille pas les tympans, ne défonce pas la tête. On pourrait s'en gaver pendant un bon moment.
---------------------------------------------------------------------------
Deuxième série d'essais avec la même combi, mais changement des HP, désormais, la machinerie est flanquée de B&W 804 Diamond
Et c'est reparti avec le premier morceau de mumpford and sons.
Globalement, il s'est détaché de cette écoute une meilleur émotion. La guitare était moins synthétique, on en sentait le bois. La voix a une bonne dimentionnalité, sans pour autant atteindre la toute légèreté du couple pmc/expo. La guitare est plus sympa avec un touche plus douce sur les attaques qui ne griffent plus du tout. On s'éloigne de ce côté Piezzo qui casse souvent les couilles.
J'enchaine directement avec le deuxième morceau de l'album, "the cave"
Le banjo est superbe de réalisme. J'ai pu entendre cette petite intensification de la batterie, à un moment, qui passe complètement inaperçu avec certaines enceintes, je suis également heureux de moins avoir ce "slam tout puissant" de la fact 8, qui pouvait énerver parfois. Bonne maîtrise de l'aigu, sans qu'il ait une caractéristique particulière notable. Orgue a plus d'autorité dans le grave que sur l'écoute précédente, mais moins que sur l'écoute avec la pmc.
ACDC, "Hells Bells"
Sec la basse ne s'épanche pas. Très belle maîtrise de tout le plan sonore. Ca ne manque pas de dimension et la scène se créé devant nous sans trop de problèmes. Les petites émotions et intonations transportées par Angus Young s'entendent bien sans que l'enceinte ne pointe dessus. L'aigu pourrait être un poil plus ouvert et précis. Rien de grave, pourtant j'ai l'impression qu'il manque le dernier chouilla d'ouverture qui donnerait à ce morceau son dernier de superbe.
En fait
Globalement, que je passe en position assise ou en position debout engendre une disparition de la limite entre les aigus et les médiums qui s'emboitent alors un peu mieux. Mais le niveau d'aigu descend alors un peu. J'ai trouvé le son dans l'ensemble de la pièce meilleur avec la B&W qu'avec la monitor audio. On pouvait s'écarter du point central de diffusion et avoir un belle dimension.
Pour la monte B&W 804, un placement à 15 cm du mur n'est pas problématique. Evitez simplement d'être trop près du coin de la pièce et prenez de la distance avec la source, car c'est là leur plus gros problème. Une écoute à 1/2 mètre était clairement trop proche, on perd trop en dimension. Comptez plutôt 3-4 mètres pour faire bien. Pas de mur dans votre dos. C'est alors que leurs performances sont les meilleures. J'ai trouvé les performances de ces enceintes bonnes, mais leur prix de 7000 euros exagéré. La finition totalement non spectaculaire ne pouvait pas non plus aider à faire passer la pilule. J'ai vu mieux.
Etrangement, cette écoute m'a emballée. Mais j'ai regretté un manque de jusqu'au boutisme de l'écoûte. Pour le budget à avancer, ce n'est clairement pas assez. J'ai toutefois été heureux de voir que les Monitor Audio, souvent recouvertes d'or et d'encens sur le net, n'étaient pas du tout de bonnes partenaires pour la combi roksan. Ca évitera à d'autres de se faire avoir.
Bien, mais peut faire mieux : 7
Malgré un certain amateurisme dans mes tests hifi, j'aime bien commencer par décrire l'engin. Il s'agit d'un petit rectangle d'aluminium aux bords taillés pour casser la monotonie d'un tel design. Cela le rend visuellement plaisant. Si je me rappelle la bête noire du design, les séries classic de Exposure, cet effort est bienvenu et contribue au côté "bel objet" de cet engin. La paroi d'aluminium à l'avant est épaisse et l'entourage que je crois être en tôle respire aussi la stabilité. Le jeux des tonalités entre l'entourage et la face avant est bien vu.
Je fait un rapide détour pour parler de la connectique. Pas franchement riche si vous êtes fan de XLR, vous aurez plus qu'assez d'entrée si vous souhaitez rentrer en Cinch. Elle perd toutefois un gros point sur l'absence de convertisseur ou de pré-ampli phono intégré. Ce sont des éléments quasi vitaux en hifi actuellement.
Si j'en viens à parler de la résistance pure du case, j'ai vu plus solide, mais c'est loin d'être un mauvais case. Ca commence donc plutôt bien pour le petit intégré à 2300 euros. Les 2 ans de garantie sont toutefois peu importants. Pour de tels budgets, une garantie d'au moins 5 ans devrait être un minimum. Au regard de concurrents proposant 5,10 , voir 25 ans pour leur marchandise, roksan peut/doit faire mieux. Comme toujours, je renonce à essayer de décrire le son d'un ampli intégré "tout seul". C'est comme si on essayait de décrire le comportement d'un avion après le changement d'un élément de carénage. Un amateur tel que moi sera forcément à côté de la plaque. De toute façon, c'est bien un son d'ensemble que je teste ici.
Pour ce test, j'ai procédé en deux phases (niveau d'équipements)
Première phase :
- Intégré Roksan Caspian
- Lecteur CD Roksan Caspian
- Enceintes Monitor Audio GX200
- Câblage HP et connection inconnu
- Câblage électrique, prise de série
- Pas de préparation de courant en amont
J'en profite avant d'attaquer la partie sonore pour dire que la prise en main est plutôt simple. J'ai beaucoup aimé la télécommande avec une partie écran tactile qui regroupe les commandes de base et qui est pluôt lisible, simple et bien faite.
Parlons aussi des réserves en puissance de l'engin. 2x85w sous 8ohms, qui passe à 125w sous 4ohms. C'est plutôt classique et ne mérite pas spécialement de s'y attarder plus. Je ne sais pas si l'engin supporte le 2ohms.
Le son
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En ouverture, j'ai choisi mon morceau fétiche "sigh no more" de Mumpford and sons. Ce morceau regroupe quasiment tout ce qu'un ampli hifi doit pouvoir redonner. Le plafond sonore de ce morceau est perché haut, la scène est vaste, les instruments utilisés sont naturels, dont certains qui mettent un ampli à rude épreuve (orgues, contrebasses), il y a du microdétail qui peut traîner (grip sur le manche de la guitare ou sur le manche de la contrebasse), des sauts de dynamique et d'intensité important, des voix expressives avec du grain. BREF ! Si un ampli est à la hauteur de toutes ses missions, ce morceau le révèle d'entrée.
Ma première impression ici est que le son me paraît sensiblement moins grandement dimensionné qu'avec mon écoute de référence vécue avec la combi exosure classic/pmc fact8. Le son tourne plus autour d'un point central, la scène est moins profonde, on a vraiment l'impression que les instruments sont plus proche de nous. La contrebasse sur ce morceau avait une certaine autorité, mais était loin de ce qu'on est en mesure d'attendre de ce qu'on appelle une contrebasse. Tant qu'on est dans le registre grave, je dénote un orgue qui n'est pas en place, son spectre grave semble amputé. Le travail global est peu spectaculaire. C'est un peu plat globalement. Seul l'aigu semble s'en tirer mieux, car il semble complètement transparent. On n'entend même pas qu'il travaille. Il n'y a aucun parasite, aucun essorage dans cette fréquence. L'aigu est LA, simplement LA. Ici, le travail du tweeter à ruban de la Monitor audio offre une efficacité maximale. Je dirais que le son dans l'aigu n'a absolument aucune once d'agressivité. Ce qui me trouble, c'est que les tambourins utilisés dans la partie percussion de ce morceau sont sensés en avoir, de l'agressivité.
A faible volume, l'autorité tombe, le son s'adoucit. En revanche, ce gain en douceur favorise l'émergence de la voix qui passe alors en avant, rendant les écoutes à bas volume possible. Mais ce n'est, clairement, pas le steak de cet amplard. Un essai, rapide, de Hells bells (acdc) soulignera que, effectivement, le comportement global a tendance à s'adoucir et à se fermer un peu quand on descend le volume, pas cool pour une écoute de rock à niveau intimiste.
Nada Surf, "the way you wear your head" :
Un autre morceau test, avec beaucoup d'air, de dimension et une bonne frappe. Je remarque immédiatement qu'il y a moins de micro-détails qu'avec la PMC. Les guitares ont un grain plus plat. Tous les protagonistes semblent plus proches. Le morceau a, en revanche, une belle verve. Aucune difficulté de la combi à suivre le rythme endiablé. Mais, en revanche, un manque de poids dans la batterie.
De nouveau ici, maîtrise de l'aigu remarquable, la voix du chanteur manque juste encore un peu de grain, mais, globalement, l'émotion est transportée.
Nada Surf, "killians red"
Basse extrêmement naturelle, mais il manque le grip sur la corde, déterminant pour le dernier petit peu de réalisme. La guitare est très régulière là où l'exposure m'a montré une certaine irrégularité, transportant d'autant plus l'émotion. Dommage, ici ce message s'est perdu.
Led Zeppelin, Album how the west was won, "Immigrant Song" :
Haha ! Intéressant. Là aussi, la batterie manque d'autorité ce qui la prive partiellement de son réalisme. En revanche, les petites imperfections dans le son sont comme "repassées". On entend les micro-détails, mais la combi ne met pas le doigt dessus. Du coup, l'écoute est plus reposante, moins usante. Sur ce morceau, très agressif dans l'aigu, le son présent ici est juste bien. Il ne vrille pas les tympans, ne défonce pas la tête. On pourrait s'en gaver pendant un bon moment.
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Deuxième série d'essais avec la même combi, mais changement des HP, désormais, la machinerie est flanquée de B&W 804 Diamond
Et c'est reparti avec le premier morceau de mumpford and sons.
Globalement, il s'est détaché de cette écoute une meilleur émotion. La guitare était moins synthétique, on en sentait le bois. La voix a une bonne dimentionnalité, sans pour autant atteindre la toute légèreté du couple pmc/expo. La guitare est plus sympa avec un touche plus douce sur les attaques qui ne griffent plus du tout. On s'éloigne de ce côté Piezzo qui casse souvent les couilles.
J'enchaine directement avec le deuxième morceau de l'album, "the cave"
Le banjo est superbe de réalisme. J'ai pu entendre cette petite intensification de la batterie, à un moment, qui passe complètement inaperçu avec certaines enceintes, je suis également heureux de moins avoir ce "slam tout puissant" de la fact 8, qui pouvait énerver parfois. Bonne maîtrise de l'aigu, sans qu'il ait une caractéristique particulière notable. Orgue a plus d'autorité dans le grave que sur l'écoute précédente, mais moins que sur l'écoute avec la pmc.
ACDC, "Hells Bells"
Sec la basse ne s'épanche pas. Très belle maîtrise de tout le plan sonore. Ca ne manque pas de dimension et la scène se créé devant nous sans trop de problèmes. Les petites émotions et intonations transportées par Angus Young s'entendent bien sans que l'enceinte ne pointe dessus. L'aigu pourrait être un poil plus ouvert et précis. Rien de grave, pourtant j'ai l'impression qu'il manque le dernier chouilla d'ouverture qui donnerait à ce morceau son dernier de superbe.
En fait
Globalement, que je passe en position assise ou en position debout engendre une disparition de la limite entre les aigus et les médiums qui s'emboitent alors un peu mieux. Mais le niveau d'aigu descend alors un peu. J'ai trouvé le son dans l'ensemble de la pièce meilleur avec la B&W qu'avec la monitor audio. On pouvait s'écarter du point central de diffusion et avoir un belle dimension.
Pour la monte B&W 804, un placement à 15 cm du mur n'est pas problématique. Evitez simplement d'être trop près du coin de la pièce et prenez de la distance avec la source, car c'est là leur plus gros problème. Une écoute à 1/2 mètre était clairement trop proche, on perd trop en dimension. Comptez plutôt 3-4 mètres pour faire bien. Pas de mur dans votre dos. C'est alors que leurs performances sont les meilleures. J'ai trouvé les performances de ces enceintes bonnes, mais leur prix de 7000 euros exagéré. La finition totalement non spectaculaire ne pouvait pas non plus aider à faire passer la pilule. J'ai vu mieux.
Etrangement, cette écoute m'a emballée. Mais j'ai regretté un manque de jusqu'au boutisme de l'écoûte. Pour le budget à avancer, ce n'est clairement pas assez. J'ai toutefois été heureux de voir que les Monitor Audio, souvent recouvertes d'or et d'encens sur le net, n'étaient pas du tout de bonnes partenaires pour la combi roksan. Ca évitera à d'autres de se faire avoir.
Bien, mais peut faire mieux : 7