Sujet Editorial du 26 mars 2011 : commentaires

Los Teignos,

Tu es un grand malade.

Comme Jules César, Napoléon, Léonardo Da Vinci Code, Blaise Pascal, Bernard Menez ou Albert Einstein.

Un grand génie de l'Humanité contemporaine... peut-être un peu moins reconnu que les personnalités sus-nommées, mais ne désespère pas: "qui vient à point pour de qui sait ta tendre", comme dit le célèbre proverbe. Et ça veut dire que tu seras un jour reconnu pour ton génie créateur: plume légère et virtuose, teintée d'une profondeur abyssale cachée entre les lignes pour aborder les sujets de sociétés et, sans que le lecteur hypnotisé s'en rende compte, le rendre meilleur - car conscient des problématiques intermondialistes, le pop-corn en est un exemple flagrant.

Tu es mon idole.

Captain Pop, un fan de province

Bon les commentaires sont tristounets..(Pffuuu). chacun y va de son  "article cliqueti" digne de celui d'un barillet évoluant avec une balle cachée dans une de ses chambres..

C'est vrai que la surinformation nous épouvante, mais l'histoire est un cercle, la musique en est un des emissaires.

Depuis l'aube de l'humanité, le monde n'est pas tendre, mais aujoud'hui, le vide du futur sorte de puit fuyard et sans fond nous est visible...ce vide génére les angoisses les plus sombres, même des milliardaires sont angoissés, depressifs, sous anxiolitiques etc...Alcooliques, des fois.. Se connaitre, et réaliser la beauté de l'existence, est un coup de rein afin de se dégager des sables mouvants de nos sociétés, dans laquelle en France en 2011 on porte par des aides des millions de personnes en difficultés à bout de bras, c'est un exploit historique..de fraternité solidaire. Dire le contraire, c'est avoir peur en avion, alors que l'on va bosser tous les jours en deux roues en se croyant "safe", c'est aussi le principe de la glace au p'tit matin, je connais personne qui sorte de cet  auto-jugement en se disant, "je suis de mieux en mieux!!!" les années n'ont pas de prises sur moi... alors que les gens grandissent de l'interieur comme un grain de blé qui germe, et effectivement le grain de blé, c'est plus savoureux gonflé et plein de miel.. avec un lait tiéde entier...au p'tit matin. Le pop corn est sec, gras, et plein de poudre de sucre.. sommes nous  un peu ce que l'on mange?

J'adore tes éditoriaux! parce qu'on peut aimer la musique sans voter idiot, parce que la musique décontextualisée du monde, ça n'existe pas, parce que le monde sans la musique serait invivable...

Si le coeur t'en dit, tu peux aller visiter notre site (non musical) et lui faire un peu de pub, ce serait sympa...

http://lahune.over-blog.fr/

bonne continuation

eh beh, heureusement que je suis pas dépressif parce que sinon je serais partis me suicider...

rassurez-moi, c'était de l'humour fait pour rigoler et se foutre de la gueule de la politique économique actuelle?
faut pas croire que l'humanité arrêtera de manger du pop corn juste pour ses calories, elle n'arrêtera pas non plus d'aller au cinéma juste pour du pop corn etc...

m'enfin bref... si effectivement c'était de l'humour, alors c'était bien fait :p

SLT Los Teignos

Ce que tu viens d'écrire me fout les boules. Je n'ai plus fois en ce monde de fou... La fin de notre société on en voit les premiers signes. Eclaire nous encore de ta plume bienfaitrice!

Citation :

eh beh, heureusement que je suis pas dépressif parce que sinon je serais parti me suicider...

Ah ben non alors ! Que personne ne se suicide ! Je vous rassure : il y a bien de l'humour dans l'idée de raconter la fin d'un (et non pas du, j'insiste.) monde à partir des kilocalories contenues dans le popcorn. Mais comme aimait à le remarquer Cioran :  l'humour, c'est la politesse du désespoir. Du coup, il y a forcément un peu de mon sentiment au fond du texte et sur les bords, un peu de gravité aussi, due probablement au contenu de ma revue de presse hebdomadaire pour trouver une idée d'édito. En gros, j'avais le Japon, la Libye, le FN, Berlusconi, Elizabeth Taylor, une fille qui a mis sa virginité en vente sur Internet et mon histoire de popcorn...

J'ai choisi le maïs. Et il était dur, à 2 h du mat', de ne pas mélanger tout ça à la sauce millénariste, à l'heure où tout le monde lève les bras en parlant du nuage japonais.

Je tiens toutefois à rassurer : je ne pense pas que le popcorn menace réellement, du moins à court terme,  le cinéma ou les moissonneuses-batteuses, ou alors il menace seulement les esquimaux glacés qu'on vend avant le film. Or, plus d'esquimau, plus de congélo. Plus de congélo, plus de frigidaire. Plus de frigidaire, plus de.... OK, j'arrête...

A l'heure où l'homme est le combustible du système qu'il a engendré, il y a de toutes façons pour l'humanité des prédateurs bien plus redoutables que le maïs soufflé : ce n'est pas Hobbes qui dira le contraire, ni Denis Robert, entre autres.

Citation :

Tu es mon idole.

Maman, c'est encore toi ?

Merci en tout cas à tous pour vos chaleureuses réactions. Le genre de truc que j'imprime et que je relirai à la lueur d'un briquet pour me tenir chaud lors d'un prochain hiver nucléaire. Meuuuh non, je déconne !

tres lucide cet editot

te fais pas de bile Los Teignos. Sur mon paquet de clopes y'a écrit les pires choses qu'on peut souhaiter au fringant jeune homme que je suis. Ca m'empêche pas d'en acheter par cartouches entières et de me les griller avec un plaisir toujours renouvelé, entre deux bouchées de pop corn.

T'inquiètes, tout va bien, très très bien. Les pères noël patrouillent autour de nous en grattant "Mox on the Water" (excellente, elle est pas de moi), en attendant que la noël tombe un 14 juillet, jour de bal aux champs-elysées.

Ti-pup-pi-pu-pou-pi-dou (mélodie de "Pop-corn", elctro-tube du siècle dernier)