Flux :: Solera

Une des choses qui carac­té­rise l’en­vi­ron­ne­ment de travail de Pyra­mix est l’offre rela­ti­ve­ment restreinte de plug-ins. Peu de plug-ins, mais de haute qualité. Quand on écoute Solera, on comprend !

Solera est donc un plug in de trai­te­ment dyna­mique univer­sel. Dédié au départ au maste­ring et remas­te­ring, il peut tout aussi bien servir de trai­te­ment dyna­mique sur les pistes d’un projet.

La démarche des déve­lop­peurs de Flux:: a été de recher­cher les solu­tions de trai­te­ment dyna­mique permet­tant d’ob­te­nir un son plus présent sans nuire à la subti­lité de la dyna­mique, et en conser­vant la largeur des mix.

Solera comporte 4 modules diffé­rents qui inté­ra­gissent simul­ta­né­ment : compres­seur, décom­pres­seur, expan­deur et désex­pan­deur.

Solera comporte les fonc­tions clas­siques de trai­te­ment dyna­mique haut de gamme : delai permet­tant d’ob­te­nir un temps d’at­taque nul, side chain (égali­sa­tion sur la détec­tion du signal), mais aussi des algo­rythmes uniques permet­tant par exemple, un auto­re­lease évitant tout pompage, une section MS, un brick wall, des mémoires de compa­rai­son AB avec morphing possible des réglages entre A et B. Solera est égale­ment capable de récu­pé­rer les peak sur un signal hyper compressé !

Mais Solera dispose surtout que quelques atouts origi­naux et bluf­fant, notam­ment :

Fonc­tion « Angel Share » (la part des anges). Cette fonc­tion fait varier le taux de compres­sion en fonc­tion de la compres­sion ! En d’autres termes, plus on compresse, plus le taux de compres­sion dimi­nue. Le résul­tat est diffi­cile à décrire et il faudra l’écou­ter, mais ceci permet notam­ment de conser­ver beau­coup de basses.

« Hyste­ris » : la compres­sion agit indé­pen­dam­ment du niveau (threa­shold). Sur un compres­seur clas­sique, seuls les sons qui sont au-dessus du niveau (threa­shold) sont compres­sés. Sur Solera, avec l’Hys­te­ris enclen­ché, toute la plage dyna­mique peut être compres­sée, ce qui permet d’ob­te­nir un gain de pêche même sur les passages doux, bien en dessous du threa­shold et évite aussi de travailler avec un threa­shold très bas, ce qui écrase énor­mé­ment la dyna­mique.

A l’écoute, le résul­tat est bluf­fant. Même si celle-ci a été faite dans le cadre d’une démons­tra­tion de salon, donc on peut le suppo­ser avec des réglages extrêmes, Solera permet par rapport à une compres­sion clas­sique de gagner beau­coup de présence sur un morceau tout en conser­vant beau­coup de bas, une grande impres­sion de dyna­mique et un belle largeur de mix.
A l’heure où la course à la puis­sance au maste­ring amène des musiques « étouf­fantes », avec Solera, la musique respire.

Enfin, Solera pour Pyra­mix accepte en format jusqu’au DXD 864 K et 8 canaux.

Solera sera proposé en version VST septembre au prix de 440 € H.T., soit les 4 modules indé­pen­dam­ment (nommés Pure Dyna­mic) ou l’en­semble Solera.
Notez que dans le cadre des 4 modules sépa­rés, vous perdez les fonc­tions Angel Share et Hyste­ris.

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