Hors sujet : Lardée d'un coup de couteau par son agresseur au fond de la cave de sa villa, Ghislaine Marchal, pendant son agonie qui a duré près de vingt minutes, aurait commencé par écrire « Omar m’a tuer » (avec la faute de grammaire ; selon la défense, Ghislaine Marchal n'aurait jamais fait une telle faute de grammaire (d'ou le suspens de l'affaire)) sans prendre assez de sang sur son doigt. Puis elle aurait recommencé une nouvelle fois un peu plus loin sur une autre porte de la cave, jusqu’à tracer la deuxième phrase « Omar m’a t », inachevée parce qu’elle n’avait plus assez de force, désignant ainsi le coupable.