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Brakbarh Akenatoï « Maudit BOUTON ROUGE !!! »
Publié le 17/07/11 à 16:39Enregistreur Audio-Numérique Portable Zoom H-2
Je possède cet appareil depuis plusieurs années.
Je l'utilise surtout pour enregistrer des :
° Sessions de Création/Recherche musicale, individuelles ou collectives
° Répètes musicales
° Concerts
Dans cette utilisation, mes/nos buts sont les suivants :
° Avoir un APERÇU global de "comment sonne ce que je fais/on fait".
° ET/OU Garder une TRACE de mes/nos idées
d'improvisation, de composition et d'arrangement.
° ET/OU Faire des DÉMOS, pour MySpace et compagnie.
(Dans ce dernier cas, en retravaillant le son, bien sûr :
Normalisation surtout, et un peu de Compression parfois.
Cela avec un soft sur ordi, car les Compresseurs du H-2 sont nazes,
contrairement à par exemple celui des enregistreurs MiniDisc de Sony,
maintenant archaïques, mais que j'ai jadis utilisés.)
Dans ces utilisations, le Zoom H-2 est presque parfait.
Mais... (car il y a toujours un "MAIS")
pour d'autres utilisations, le Zoom H-2 est loin d'être aussi parfait.
Pour moi,
les 3 gros POINTS NOIRS de cet appareil sont les suivants :
• Cet appareil ne possède pas de véritable bouton REC !
Cela peut paraître un détail,
mais en pratique, c'est très pénible.
En effet, sur le Zoom H-2, pour lancer un enregistrement,
il faut appuyer DEUX FOIS sur le BOUTON ROUGE.
Si l'on appuie qu'UNE FOIS, l'appareil se met seulement en
mode "Réglage du Niveau d'Enregistrement".
Pour que l'enregistrement commence véritablement,
il faut appuyer UNE SECONDE FOIS sur le BOUTON ROUGE.
Or, le réflexe habituel (du moins pour tout humain normalement constitué),
quand on rencontre un BOUTON ROUGE,
et qu'on a envie de déclencher l'action correspondante à ce BOUTON ROUGE,
c'est d'appuyer UNE FOIS sur ce bouton, et non pas DEUX FOIS.
Et de plus : pour arrêter le bourzingue,
il faut de nouveau appuyer sur ce même BOUTON ROUGE.
Ce bouton fait donc aussi office de bouton STOP
(mais seulement pour l'enregistrement...)
Problème :
dans l'excitation de l'enregistrement
d'idées artistiques, d'improvisation, ou de concerts,
il n'est pas rare d'appuyer une fois de trop sur ce BOUTON ROUGE,
et ainsi d'involontairement relancer un nouvel enregistrement.
Ou, plus exactement, de repasser en mode "Réglage du Niveau d'Enregistrement".
Pour sortir de ce pétrin,
on est alors censé appuyer sur PLAY (Logique... Non ? Ah, bon !).
Mais comme on est un humain de base,
on fait plutôt comme fait tout humain de base quand il veut arrêter un appareil :
on appuie sur le bouton STOP,
bouton qui en fait (comme on vient de le voir) n'existe pas,
mais qui (si, en fait) existe quand même, parce que (oui, vous l'avez deviné)
il s'agit encore et toujours du même et éternel BOUTON ROUGE.
On appuie donc encore un fois sur le sacré BOUTON ROUGE.
Et là : paf ! C'est justement ce qu'il ne fallait pas faire !
Car cela déclenche vraiment l'enregistrement, cette fois...
Or je vous rappelle que ce qu'on voulait,
ça n'était pas ça, mais c'était juste ARRÊTER l'enregistrement
(celui d'avant, vous vous souvenez...).
Cependant tout n'est pas perdu,
car il suffit d'appliquer le principe Watzlawickien n°1 :
"Face à la catastrophe,
continue encore et toujours dans la même direction (catastrophique)".
Du moins, c'est bien comme ça que marche le monde actuel, non ?
Et comme il paraît qu'il faut vivre avec son époque...
Mais alors, alors, direz-vous alors, que devons nous faire ?
Et bien justement, je vous le donne en mille...
mais vous l'aviez déjà deviné, bien sûr :
il nous faut encore une fois appuyer sur le sempiternel BOUTON ROUGE !
Ouf ! Génial ! On a enfin réussi à arrêter l'enregistrement...
Comme on le voit (si et seulement si on est bon en maths),
on constate qu'il aura suffit de SEULEMENT 4 appuis sur le BOUTON ROUGE
pour réussir à arrêter l'enregistrement...
Mais ne nous plaignons pas : tout bien pesé,
c'est bien moins compliqué que de suivre la
procédure qui, dans les films-catastrophe,
empêche le déclenchement des hostilités atomiques...
Mais trêve de plaisanteries, redevenons plus sérieux :
Le résultat de ce défaut majeur de conception, c'est surtout que
très souvent, surtout lorsqu'on est pris dans le feu de l'action,
quand on veut VRAIMENT enregistrer du son,
on appuie seulement UNE FOIS sur le fameux BOUTON ROUGE,
et on n'oublie purement et simplement d'appuyer une DEUXIÈME FOIS dessus.
Ce qui fait que le Zoom H-2 reste en mode "Réglage du Niveau d'Enregistrement".
Et évidemment, comme on est pris dans le feu de l'action,
on ne s'aperçoit qu'à la fin que RIEN DU TOUT n'a été enregistré.
Je ne compte plus le nombre de sessions mythiques
disparues corps et bien et à tout jamais à cause de cela,
et retournées dans l'océan infini des potentialités,
d'où elles venaient évidemment, et où elles sont toujours bien sûr ;
mais quand même ça fait chier de
perdre l'inspiration du moment juste à cause d'un BOUTON ROUGE à la con.
Ce défaut met en évidence une problématique de
fonctionnement Cerveau Gauche/Cerveau Droit, bien connu des artistes :
il est très difficile d'être à la fois
vraiment créatif ET vraiment attentif aux (petits) détails (à la con).
C'est pourquoi il est ESSENTIEL que
les outils qui servent à la créativité humaine
soient conçus de manière que leur mode d'utilisation
coïncide avec la logique naturelle humaine.
Visiblement, ça n'est pas le cas ici :
le fonctionnement du BOUTON ROUGE du Zoom H-2 est CONTRE-INTUITIF,
et comme ce bouton est une, est LA fonctionnalité primordiale de cet appareil,
le Zoom H-2 met des bâtons dans les roues de la créativité humaine.
(Du moins la mienne ;
mais je suis bien sûr de ne pas être le seul humain dans mon cas.
C'est juste que les autres humains n'osent pas le dire,
parce qu'ils ont honte d'avoir l'impression de ne pas savoir se servir correctement de cet engin.
Osez ! Osez dire ce qui ne va pas dans les machines.
Il n'y a aucune honte à être humain,
et en conséquence à ne pas avoir une logique de machine !)
• Autre problème
(qui abouti d'ailleurs au même résultat que le défaut précédent) :
Le Zoom H-2 est très (trop) long à l'allumage : quand il est éteint,
il lui faut bien 10 secondes pour démarrer et être près à enregistrer ...ENFIN !
Là encore, cela peut paraître un détail, mais en pratique, c'est juste horripilant.
Car ce délai peut suffire à vous faire perdre l'inspiration du moment,
cela donne tout simplement envie de passer à autre chose,
ou de laisser tomber l'idée d'enregistrer quoi que ce soit.
• Autre problème : l'autonomie du Zoom H-2 :
Quand il fonctionne sur piles ou pire sur batteries rechargeables
son autonomie est bien trop faible.
(Par souci écologique,
et malgré leur plus faible capacité que les piles non-rechargeables,
j'utilise exclusivement des accumulateurs rechargeables,
mais n'allez pas croire que la différence soit si flagrante.
(Bien sûr, certains diront qu'il n'y a qu'à
se trimbaler avec un bon stock de batteries,
oui mais voilà, lorsqu'on est en baroude à pied avec sac-à-dos,
le poids qu'on transporte est un facteur important.)
Et là encore, je préfère ne pas compter les
enregistrements de voyage (qui auraient pu être) uniques et mythiques
(mais) que j'ai perdus du fait que
le Zoom H-2 s'est tout simplement éteint sans enregistrer quoi que ce soit.
À quoi ça sert d'avoir des cartes-mémoires de 32 Go
et une capacité d'enregistrement de 20h (en MP3)
si les batteries lâchent au bout de 3 heures ???
Il ne pourrait pas au moins sauvegarder ce qu'il a déjà enregistré ?
C'est un gag ou quoi !?
Conclusion :
le Zoom H-2 est un outil d'enregistrement Audio-Numérique censé être pratique ;
dans les faits, il se trouve être relativement pratique la plupart du temps,
mais il peut aussi se révéler parfois très peu pratique et très pénible à utiliser,
à tel point qu'il peut même vous faire perdre vos meilleures idées,
ou vous faire manquer vos meilleures opportunités de capture sonore.
Je vais certainement très prochainement investir dans un autre appareil,
que je m'efforcerai de choisir mieux conçu.
Je garderais quand même le Zoom H-2, par bête attachement sentimental,
mais seulement pour les cas qui comportent des risques élevés de détérioration :
Pluie, Sable, Vol, Casse, Gaz Lacrymogène des CRS lors de Manifestations,
au choix : Anti-G8, Anti-FMI, Anti-OGM, Anti-Monsanto, Anti-Sarkozy, etc...
[je ne diffame pas, je constate juste l'existence de ces divers phénomènes naturels.]
Comme ça, si on me vole mon Zoom H-2,
ou si je le perds, l'abîme, le casse, ou l'explose contre un casque de gendarme mobile,
j'aurais au moins la satisfaction de ne plus avoir à supporter ce maudit BOUTON ROUGE !!!
Brakbarh Akenatoï - (2011-07-17)
Je possède cet appareil depuis plusieurs années.
Je l'utilise surtout pour enregistrer des :
° Sessions de Création/Recherche musicale, individuelles ou collectives
° Répètes musicales
° Concerts
Dans cette utilisation, mes/nos buts sont les suivants :
° Avoir un APERÇU global de "comment sonne ce que je fais/on fait".
° ET/OU Garder une TRACE de mes/nos idées
d'improvisation, de composition et d'arrangement.
° ET/OU Faire des DÉMOS, pour MySpace et compagnie.
(Dans ce dernier cas, en retravaillant le son, bien sûr :
Normalisation surtout, et un peu de Compression parfois.
Cela avec un soft sur ordi, car les Compresseurs du H-2 sont nazes,
contrairement à par exemple celui des enregistreurs MiniDisc de Sony,
maintenant archaïques, mais que j'ai jadis utilisés.)
Dans ces utilisations, le Zoom H-2 est presque parfait.
Mais... (car il y a toujours un "MAIS")
pour d'autres utilisations, le Zoom H-2 est loin d'être aussi parfait.
Pour moi,
les 3 gros POINTS NOIRS de cet appareil sont les suivants :
• Cet appareil ne possède pas de véritable bouton REC !
Cela peut paraître un détail,
mais en pratique, c'est très pénible.
En effet, sur le Zoom H-2, pour lancer un enregistrement,
il faut appuyer DEUX FOIS sur le BOUTON ROUGE.
Si l'on appuie qu'UNE FOIS, l'appareil se met seulement en
mode "Réglage du Niveau d'Enregistrement".
Pour que l'enregistrement commence véritablement,
il faut appuyer UNE SECONDE FOIS sur le BOUTON ROUGE.
Or, le réflexe habituel (du moins pour tout humain normalement constitué),
quand on rencontre un BOUTON ROUGE,
et qu'on a envie de déclencher l'action correspondante à ce BOUTON ROUGE,
c'est d'appuyer UNE FOIS sur ce bouton, et non pas DEUX FOIS.
Et de plus : pour arrêter le bourzingue,
il faut de nouveau appuyer sur ce même BOUTON ROUGE.
Ce bouton fait donc aussi office de bouton STOP
(mais seulement pour l'enregistrement...)
Problème :
dans l'excitation de l'enregistrement
d'idées artistiques, d'improvisation, ou de concerts,
il n'est pas rare d'appuyer une fois de trop sur ce BOUTON ROUGE,
et ainsi d'involontairement relancer un nouvel enregistrement.
Ou, plus exactement, de repasser en mode "Réglage du Niveau d'Enregistrement".
Pour sortir de ce pétrin,
on est alors censé appuyer sur PLAY (Logique... Non ? Ah, bon !).
Mais comme on est un humain de base,
on fait plutôt comme fait tout humain de base quand il veut arrêter un appareil :
on appuie sur le bouton STOP,
bouton qui en fait (comme on vient de le voir) n'existe pas,
mais qui (si, en fait) existe quand même, parce que (oui, vous l'avez deviné)
il s'agit encore et toujours du même et éternel BOUTON ROUGE.
On appuie donc encore un fois sur le sacré BOUTON ROUGE.
Et là : paf ! C'est justement ce qu'il ne fallait pas faire !
Car cela déclenche vraiment l'enregistrement, cette fois...
Or je vous rappelle que ce qu'on voulait,
ça n'était pas ça, mais c'était juste ARRÊTER l'enregistrement
(celui d'avant, vous vous souvenez...).
Cependant tout n'est pas perdu,
car il suffit d'appliquer le principe Watzlawickien n°1 :
"Face à la catastrophe,
continue encore et toujours dans la même direction (catastrophique)".
Du moins, c'est bien comme ça que marche le monde actuel, non ?
Et comme il paraît qu'il faut vivre avec son époque...
Mais alors, alors, direz-vous alors, que devons nous faire ?
Et bien justement, je vous le donne en mille...
mais vous l'aviez déjà deviné, bien sûr :
il nous faut encore une fois appuyer sur le sempiternel BOUTON ROUGE !
Ouf ! Génial ! On a enfin réussi à arrêter l'enregistrement...
Comme on le voit (si et seulement si on est bon en maths),
on constate qu'il aura suffit de SEULEMENT 4 appuis sur le BOUTON ROUGE
pour réussir à arrêter l'enregistrement...
Mais ne nous plaignons pas : tout bien pesé,
c'est bien moins compliqué que de suivre la
procédure qui, dans les films-catastrophe,
empêche le déclenchement des hostilités atomiques...
Mais trêve de plaisanteries, redevenons plus sérieux :
Le résultat de ce défaut majeur de conception, c'est surtout que
très souvent, surtout lorsqu'on est pris dans le feu de l'action,
quand on veut VRAIMENT enregistrer du son,
on appuie seulement UNE FOIS sur le fameux BOUTON ROUGE,
et on n'oublie purement et simplement d'appuyer une DEUXIÈME FOIS dessus.
Ce qui fait que le Zoom H-2 reste en mode "Réglage du Niveau d'Enregistrement".
Et évidemment, comme on est pris dans le feu de l'action,
on ne s'aperçoit qu'à la fin que RIEN DU TOUT n'a été enregistré.
Je ne compte plus le nombre de sessions mythiques
disparues corps et bien et à tout jamais à cause de cela,
et retournées dans l'océan infini des potentialités,
d'où elles venaient évidemment, et où elles sont toujours bien sûr ;
mais quand même ça fait chier de
perdre l'inspiration du moment juste à cause d'un BOUTON ROUGE à la con.
Ce défaut met en évidence une problématique de
fonctionnement Cerveau Gauche/Cerveau Droit, bien connu des artistes :
il est très difficile d'être à la fois
vraiment créatif ET vraiment attentif aux (petits) détails (à la con).
C'est pourquoi il est ESSENTIEL que
les outils qui servent à la créativité humaine
soient conçus de manière que leur mode d'utilisation
coïncide avec la logique naturelle humaine.
Visiblement, ça n'est pas le cas ici :
le fonctionnement du BOUTON ROUGE du Zoom H-2 est CONTRE-INTUITIF,
et comme ce bouton est une, est LA fonctionnalité primordiale de cet appareil,
le Zoom H-2 met des bâtons dans les roues de la créativité humaine.
(Du moins la mienne ;
mais je suis bien sûr de ne pas être le seul humain dans mon cas.
C'est juste que les autres humains n'osent pas le dire,
parce qu'ils ont honte d'avoir l'impression de ne pas savoir se servir correctement de cet engin.
Osez ! Osez dire ce qui ne va pas dans les machines.
Il n'y a aucune honte à être humain,
et en conséquence à ne pas avoir une logique de machine !)
• Autre problème
(qui abouti d'ailleurs au même résultat que le défaut précédent) :
Le Zoom H-2 est très (trop) long à l'allumage : quand il est éteint,
il lui faut bien 10 secondes pour démarrer et être près à enregistrer ...ENFIN !
Là encore, cela peut paraître un détail, mais en pratique, c'est juste horripilant.
Car ce délai peut suffire à vous faire perdre l'inspiration du moment,
cela donne tout simplement envie de passer à autre chose,
ou de laisser tomber l'idée d'enregistrer quoi que ce soit.
• Autre problème : l'autonomie du Zoom H-2 :
Quand il fonctionne sur piles ou pire sur batteries rechargeables
son autonomie est bien trop faible.
(Par souci écologique,
et malgré leur plus faible capacité que les piles non-rechargeables,
j'utilise exclusivement des accumulateurs rechargeables,
mais n'allez pas croire que la différence soit si flagrante.
(Bien sûr, certains diront qu'il n'y a qu'à
se trimbaler avec un bon stock de batteries,
oui mais voilà, lorsqu'on est en baroude à pied avec sac-à-dos,
le poids qu'on transporte est un facteur important.)
Et là encore, je préfère ne pas compter les
enregistrements de voyage (qui auraient pu être) uniques et mythiques
(mais) que j'ai perdus du fait que
le Zoom H-2 s'est tout simplement éteint sans enregistrer quoi que ce soit.
À quoi ça sert d'avoir des cartes-mémoires de 32 Go
et une capacité d'enregistrement de 20h (en MP3)
si les batteries lâchent au bout de 3 heures ???
Il ne pourrait pas au moins sauvegarder ce qu'il a déjà enregistré ?
C'est un gag ou quoi !?
Conclusion :
le Zoom H-2 est un outil d'enregistrement Audio-Numérique censé être pratique ;
dans les faits, il se trouve être relativement pratique la plupart du temps,
mais il peut aussi se révéler parfois très peu pratique et très pénible à utiliser,
à tel point qu'il peut même vous faire perdre vos meilleures idées,
ou vous faire manquer vos meilleures opportunités de capture sonore.
Je vais certainement très prochainement investir dans un autre appareil,
que je m'efforcerai de choisir mieux conçu.
Je garderais quand même le Zoom H-2, par bête attachement sentimental,
mais seulement pour les cas qui comportent des risques élevés de détérioration :
Pluie, Sable, Vol, Casse, Gaz Lacrymogène des CRS lors de Manifestations,
au choix : Anti-G8, Anti-FMI, Anti-OGM, Anti-Monsanto, Anti-Sarkozy, etc...
[je ne diffame pas, je constate juste l'existence de ces divers phénomènes naturels.]
Comme ça, si on me vole mon Zoom H-2,
ou si je le perds, l'abîme, le casse, ou l'explose contre un casque de gendarme mobile,
j'aurais au moins la satisfaction de ne plus avoir à supporter ce maudit BOUTON ROUGE !!!
Brakbarh Akenatoï - (2011-07-17)