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clayton d.
« Tout sous la main ! »
Publié le 17/10/11 à 01:04Séquenceur hardware avec ROM et effets.
• 1x stéréo main out + SPDIF
• 2x sub (possibilité d'inserts, par testé)
• MIDI in/out A/Out B
• 2x footswitches
• 1x USB (pour échange de fichiers MIDI, possible aussi par dump classique)
UTILISATION
Utilisation simple et claire. On sélectionne un son, on appuie sur REC, ça enregistre. On a le choix entre enregistrement temps réel, grille (façon BAR Roland) et step (pour travailler au poil près, à la molette).
Tout est sous la main, les menus sont très rarement utilisés pendant la phase de composition. Et quand on y plonge, c'est rarement au-delà d'un niveau de profondeur, car l'architecture de la machine permet de se passer des "sous-sous-sous-menu".
Les 16 knobs sont multifonctions : suivant la page sélectionnée, ils contrôlent le volume des 16 pistes, le pan, la synthèse de la piste active, et... le matériel externe.
Si, si, vraiment. La MP7 peut devenir (comme son nom l'indique) une station de commande pour le studio grace à la page de potentiomètres "program" qui est une mini-BCR2000...
Le seul point noir : pas d'UNDO après enregistrement (même en OS 2.0). Vraiment dommage.
SONORITÉS
Je n'ai que la ROM d'origine (Pure Phatt) et pour l'instant je m'en contente. Pour ceux qui trouvent les sons limités, grattez un peu, ça vaut le coup.
La MP7 permet de programmer ses propres sons... Et ça, c'est unique (pour une machine vieille de 10 ans... Pensez à ce que faisait Roland à l'époque !)
Chaque son est constitué de 4 timbres, eux-mêmes alimentés par des formes d'ondes simples, des percus ou du PCM. Donc on peut programmer (avec un peu de boulot, c'est bien la seule partie un peu tordue) des sons allant de la basse Moog aux pads éthérés à burne de reverb.
Ou bien on peut faire un son genre "caisse claire doublée d'une basse TB-303 entourée d'un slide de guitare en arpège qui fait pouic avec un LFO". Ca sonnerait vraiment mal, mais on peut le faire. D'ailleurs les sons d'usine vont parfois chercher loin dans ce style de mauvais goût façon WTF. Soit.
La seule limite niveau programmation se trouve dans la fabrication de kits de batterie, pas vraiment libre... Mais ça se contourne assez facilement.
Pour ma part, j'ai effacé quelques sons d'usine pourris pour me faire une base de quatre presets : un saw, un square, un sine et un triangle. Avec ça, on peut aller très loin !
[MàJ janvier 2013] Bon, j'en suis toujours content, elle ne vieillit pas ! Et puis j'ai investi dans une nouvelle interface audio, donc je peux profiter de la sortie SPDIF, qui est exempte de parasites... Le tout couplé à un bon plugin compresseur, ça frappe !
AVIS GLOBAL
Je l'utilise sporadiquement, quand j'ai le temps. L'apprentissage est un peu long pour qui a envie d'aller plus loin qu'un "boum-tchak" sur 4 temps, mais c'est passionnant.
En général, je couple la MP7 à Ableton Live, qui me sert de piano roll. Je compose sur Live en MIDI, et la MP7 enregistre le MIDI sortant. Ca simplifie bien le boulot au niveau édition Il me reste à acquérir un sampler, et je pourrai presque me passer de PC !
Pas d'avis concernant le prix, etc, c'est du vintage. J'aime beaucoup cette machine, compacte, solide (boitier 100% acier, pas de plastique)
• 1x stéréo main out + SPDIF
• 2x sub (possibilité d'inserts, par testé)
• MIDI in/out A/Out B
• 2x footswitches
• 1x USB (pour échange de fichiers MIDI, possible aussi par dump classique)
UTILISATION
Utilisation simple et claire. On sélectionne un son, on appuie sur REC, ça enregistre. On a le choix entre enregistrement temps réel, grille (façon BAR Roland) et step (pour travailler au poil près, à la molette).
Tout est sous la main, les menus sont très rarement utilisés pendant la phase de composition. Et quand on y plonge, c'est rarement au-delà d'un niveau de profondeur, car l'architecture de la machine permet de se passer des "sous-sous-sous-menu".
Les 16 knobs sont multifonctions : suivant la page sélectionnée, ils contrôlent le volume des 16 pistes, le pan, la synthèse de la piste active, et... le matériel externe.
Si, si, vraiment. La MP7 peut devenir (comme son nom l'indique) une station de commande pour le studio grace à la page de potentiomètres "program" qui est une mini-BCR2000...
Le seul point noir : pas d'UNDO après enregistrement (même en OS 2.0). Vraiment dommage.
SONORITÉS
Je n'ai que la ROM d'origine (Pure Phatt) et pour l'instant je m'en contente. Pour ceux qui trouvent les sons limités, grattez un peu, ça vaut le coup.
La MP7 permet de programmer ses propres sons... Et ça, c'est unique (pour une machine vieille de 10 ans... Pensez à ce que faisait Roland à l'époque !)
Chaque son est constitué de 4 timbres, eux-mêmes alimentés par des formes d'ondes simples, des percus ou du PCM. Donc on peut programmer (avec un peu de boulot, c'est bien la seule partie un peu tordue) des sons allant de la basse Moog aux pads éthérés à burne de reverb.
Ou bien on peut faire un son genre "caisse claire doublée d'une basse TB-303 entourée d'un slide de guitare en arpège qui fait pouic avec un LFO". Ca sonnerait vraiment mal, mais on peut le faire. D'ailleurs les sons d'usine vont parfois chercher loin dans ce style de mauvais goût façon WTF. Soit.
La seule limite niveau programmation se trouve dans la fabrication de kits de batterie, pas vraiment libre... Mais ça se contourne assez facilement.
Pour ma part, j'ai effacé quelques sons d'usine pourris pour me faire une base de quatre presets : un saw, un square, un sine et un triangle. Avec ça, on peut aller très loin !
[MàJ janvier 2013] Bon, j'en suis toujours content, elle ne vieillit pas ! Et puis j'ai investi dans une nouvelle interface audio, donc je peux profiter de la sortie SPDIF, qui est exempte de parasites... Le tout couplé à un bon plugin compresseur, ça frappe !
AVIS GLOBAL
Je l'utilise sporadiquement, quand j'ai le temps. L'apprentissage est un peu long pour qui a envie d'aller plus loin qu'un "boum-tchak" sur 4 temps, mais c'est passionnant.
En général, je couple la MP7 à Ableton Live, qui me sert de piano roll. Je compose sur Live en MIDI, et la MP7 enregistre le MIDI sortant. Ca simplifie bien le boulot au niveau édition Il me reste à acquérir un sampler, et je pourrai presque me passer de PC !
Pas d'avis concernant le prix, etc, c'est du vintage. J'aime beaucoup cette machine, compacte, solide (boitier 100% acier, pas de plastique)