Si je lis bien l'article, en aucun cas la justice n'a dit que faire preuve de familiarité envers quelqu'un autorisait celui-ci à n'importe quoi, même un bisou.
Si on lit bien, il s'agit du cas d'une société qui a voulu licencier un gars au prétexte de harcèlement sexuel envers une subordonnée. Apparemment, la société n'a apporté aucune preuve ni témoignage du dit harcèlement et le tribunal a considéré que les mails envoyés par la subordonnées à son chef et se terminant par des formules affectueuses avaient tendance à infirmer l'idée qu'il y aurait eu harcèlement. That's all.
A force de vouloir faire du sensationnel dans les titres, ceux-ci visent de plus en plus la désinformation. C'est pas un cas isolé. La plupart des sites d'infos en ligne en sont là.