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Vos cadeaux de noël tout pourris

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Sujet de la discussion Vos cadeaux de noël tout pourris

ça devient une mode :beurk:
on nous a offert un kit sex avec pleins de trucs à la con qui ne serviront jamais.. ok c'est censé être pour rire mais quand même, c'est chiant

alors décrivez ici les merdes qu'on vous a offert en 2008 question de se consterner

ou pas

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la classe mrgreen
82
Citation :
T'es une meuf???

oui
83
Ouah la vanne ! LOL

One Breath III : WBBTMR - One Breath III

"Bunt Magnet strums the strings of nostalgia and sarcasm with equal flair.". Bah quoi ? Y a pas mort d'homme hein...

84
ptain la vache, tu fais vachement garçon manqué je trouve!
85
86
Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le !Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le ! Pendez-le !

L'appétit vient en mangeant ; la réforme, c'est pas sorcier ; le campement léger en plein air, non. Cupidon

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Tant qu'il y aura des couilles en or, il y aura des lames en acier

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Up?

Moi j'ai été plutôt bien servi!
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Pareil pour moi, rien à jeter cette année :bave:
90


Pareil, pas de folies, parfait...

 

Une petite gastro en petit bonus pas cool mais bon...icon_rolleyes.gif

Je suis Charlie