Les mauvaises herbes n'existent que dans l'esprit des mauvaises gens.
Il n'y a pas de mauvaises herbes. Une mauvaise herbe serait sciemment nuisible, ou te refilerait sciemment une maladie quelconque, ou te viendrait te voler des choses pendant la nuit quand tu dors.
Il n'y a pas de mauvaises herbes. Il n'y a que des herbes indésirables, qui ont tout-à-fait le droit de croitre et prospérer autant que tout autre être vivant. C'est seulement l'homme qui dans son infinie bêtise les traite de "mauvaises", comme le faisaient jadis les bons américains avec les noirs.
:hubert-reeves:
Techniquement ça m'est déjà arriver de choper de la mauvaise herbe.
Il n'y a pas de mauvaises herbes. Il n'y a que des herbes indésirables, qui ont tout-à-fait le droit de croitre et prospérer autant que tout autre être vivant. C'est seulement l'homme qui dans son infinie bêtise les traite de "mauvaises", comme le faisaient jadis les bons américains avec les noirs.
:hubert-reeves:
jsk> cette phrase, enfin cette réflexion (à part l'allusion aux Ricains et aux Noirs) je l'ai trouvée dans le bouquin d'Hubert Reeves, Chroniques du ciel et de la Terre. Je l'ai trouvée d'une telle simplicité, d'une telle évidence et en même temps d'une telle puissance, que je l'ai immédiatement adoptée.
En fait dans le film il y a une référence aux vertus érotiques de l'ail. Et quand une fille aborde le sujet de l'ail que soit dans la gastronomie ou la chasse aux vampires, je ne peux m'empêcher de me rappeler la scène ou Javier Bardem plonge sa tête entre les jambes de Pénélope.