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Blague la plus pourrite 2 le retour de la vengeance :lol:

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Sujet de la discussion Blague la plus pourrite 2 le retour de la vengeance :lol:
Beh vouala ... moua je me choquerai pas tant que ça reste des blagues ;)

Citation : on peut rire de tout mais pas avec tout le monde



d'ailleurs ... une bien pourrite

quelle est la différence entre un spaghetti et un myopathe ????




















beh si tu suces le spaghetti il bouge lui :mrg:

allez à vous

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C'est un type qui rentre dans un bar et il fait "hé si vous trouvez la solution à mon équation, je vous paie une bière !" Alors sonicsnap il fait "Si c'est du second degré j'y arriverai jamais "
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Je vais m'arrêter avec celle ci !
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C'est Truc qui demande à Machin "C'est quoi ce bidule ?" Et machin répond "Tu confonds, c'est une chose".

C'est pas drôle, mais au moins, je n'ai catégorisé personne. Ah si, zut. Mes deux protagonistes sont masculins. Je vais me faire engueuler.
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Citation :
J'ai un gros recueil de blagues juives, y en a pas une qui fasse antisémite parce qu'elles sont drôles (ou fines).

Le principe d'une blague pourrite ça peut aussi être de faire rire parce que bête et pas drôle.. :clin:
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Il me semble que l'idée est même de tomber le plus bas possible.
Puis de creuser quand on touche le fond.
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une bonne blague c'est celle qui trouve son auditoire (en "négatif" de ce que dit Desproges : "On ne peut pas rire de tout avec tout le monde", finalement).
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Le tout, c'est de convenir que dans ce topic, on n'est pas dans les traits d'esprit de salon.. :clin:
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Certes. Enfin, je n'ai pas traité RothWeiler de raciste, j'ai juste donné mon avis sur cette, euh, blague. C'est aussi le principe d'un forum. :clin:

Citation de Nick Zefish :
Il me semble que l'idée est même de tomber le plus bas possible. Puis de creuser quand on touche le fond.

En effet.

« La vie sans musique est tout simplement une erreur, une fatigue, un exil. », Friedrich Nietzsche. ♫

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Concernant la fameuse phrase de Desproges, maître du cynisme, il faut la remettre dans son contexte et réfléchir un peu pour la comprendre, parce qu'elle est souvent utilisée par des gens d'horizons bien opposés et à contre-sens :

Citation :
Même s'il l'assumera ensuite, Pierre Desproges n'a pas écrit cette phrase dans le texte dont elle serait issue. Revenons au 29 septembre 1982 (il y a donc 33 ans, 5 mois etc.). Pierre Desproges est alors le procureur du Tribunal des flagrants délires sur France Inter, émission dont l'invité du jour est Jean-Marie Le Pen, homme politique d'extrême droite qui commence, à cette époque, à acquérir une certaine notoriété médiatique – et qui, 33 ans etc. plus tard, est toujours vivant alors que Desproges, lui, est décédé.

«La présence de Monsieur Le Pen en ces lieux voués plus souvent à la gaudriole parajudiciaire pose problème», dit Desproges. D'où cette interrogation : «Les questions qui me hantent […] sont les suivantes. Premièrement, peut-on rire de tout ? Deuxièmement, peut-on rire avec tout le monde ?» A la première question, Pierre Desproges répondra «oui sans hésiter […]». A la deuxième en revanche :

«C'est dur… Personnellement, il m'arrive de renâcler à l'idée d'inciter mes zygomatiques à la tétanisation crispée. C'est quelquefois au-dessus de mes forces, dans certains environnements humains : la compagnie d'un stalinien pratiquant me met rarement en joie. Près d'un terroriste hystérique, je pouffe à peine, et la présence à mes côtés d'un militant d'extrême droite assombrit couramment la jovialité monacale de cette mine réjouie dont je déplore en passant, mesdames et messieurs les jurés, de…» etc., etc., (après c'est du Desproges qui fait des phrases trop longues, et on s'en fiche un peu pour cet article).

Près d'un an plus tard, en novembre 1983, Desproges recyclera ce réquisitoire dans son livre Vivons heureux en attendant la mort, au «Chapitre pitre», en l'adaptant pour qu'y disparaisse toute référence à son premier contexte d'énonciation, et en l'agrémentant d'une nouvelle chute plutôt limpide :

«Il vaut mieux rire d'Auschwitz avec un Juif que de jouer au Scrabble avec Klaus Barbie.»

Bref, a priori c'est clair : par souci de décence, mais aussi parce que ce n'est humainement pas très facile, on ne s'esclaffera pas en compagnie d'un raciste, nous dit Pierre Desproges.

[...]

Mais se revendiquer de Desproges en pareil cas [blagues sur les noirs, les homos, les arabes, les handicapés…] c'est en réalité faire un «contresens», analyse Florence Leca, maître de conférences à la Sorbonne, spécialiste de la grammaire, co-autrice avec Anne-Marie Paillet, linguiste, maître de conférences à l'ENS, d'un livre sur le style de Desproges, Je suis un artiste dégagé, autant d'informations qui rendent cette phrase un poil trop longue, mais qu'il faut bien donner. « Le bon goût et le mauvais goût ne sont pas subjectifs, ce sont des choses que l'on peut analyser, renchérit Anne-Marie Paillet. Une blague qui ne fait que réciter un point de vue raciste, c'est juste vulgaire».


https://www.liberation.fr/debats/2016/02/24/on-peut-rire-de-tout-mais-on-peut-aussi-arreter-de-citer-desproges-n-importe-comment_1435056/

« La vie sans musique est tout simplement une erreur, une fatigue, un exil. », Friedrich Nietzsche. ♫

[ Dernière édition du message le 11/05/2024 à 16:33:55 ]

25335
"On peut rire de tout,
mais pas en mangeant de la semoule"

L'esprit c'est comme un parachute: Il marche mieux quand il est ouvert.

J'ai enregistré un peu de tout et n'importe quoi

25336
Après, démarrer au 1/4 de tour pour si peu…

On the internets, nobody knows you are a dog

I try

[ Dernière édition du message le 11/05/2024 à 17:14:07 ]

25337
Ah ben, vi, ben, on a sa sensibilité, hein. Je ne viens pas critiquer toutes les lourdeurs sur ce forum – quelques blagues sont d'ailleurs vraiment drôles – et c'est venu dans le fil de la conversation, je m'étais contenté d'une remarque sibylline au départ.

« La vie sans musique est tout simplement une erreur, une fatigue, un exil. », Friedrich Nietzsche. ♫

[ Dernière édition du message le 11/05/2024 à 17:29:47 ]

25338
Non, mais quand même, ça pose problème. Si on ne peut plus dire qu'un gorille est un singe d'Afrique ou qu'on a été en Afrique et qu'on a vu des gorilles sans être soupçonné de faire des sous-entendus, on est quand même mal.. Je ne peux pas voir le mal partout à ce point.
25339
point-virgule -> tant mieux!
J’ai juste relayé un truc de chez Tom Wolfe, que j’ai trouvé tellement pourri que ça m’a fait sourire

On the internets, nobody knows you are a dog

I try

[ Dernière édition du message le 11/05/2024 à 18:02:47 ]

25340
Citation de sonicsnap :
Non, mais quand même, ça pose problème. Si on ne peut plus dire qu'un gorille est un singe d'Afrique ou qu'on a été en Afrique et qu'on a vu des gorilles sans être soupçonné de faire des sous-entendus, on est quand même mal.. Je ne peux pas voir le mal partout à ce point.

Ok, bon, ben si après m'en être expliqué, avoir proposé de passer à autre chose mais que « c'est un problème », je déflague. Amusez-vous bien.

« La vie sans musique est tout simplement une erreur, une fatigue, un exil. », Friedrich Nietzsche. ♫

25341
Mais bien sûr :bave:

On the internets, nobody knows you are a dog

I try

25342
Aller: deux bimbos au Buddha bar, l’une dit à l’autre: c quand qu’on sfait fourrer? - bah vu la faune

On the internets, nobody knows you are a dog

I try

25343
Point virgule : compliqué d'invoquer l'objectivité du bon goût d'une blague après avoir affirmé que celle de roth weiler est raciste alors que bon.

Argh jai pas compris ta dernière roth weiler !
25344
C'est Bouddha qui rentre dans un bar et qui beugle "ah sa mère la pute bordel de merde ça fait chier " alors le patron lui fait "Ben kekispass ? " alors Bouddha il répond : "C'est mon ongle incarné"
25345
C'est Jean Marie Le Pen qui meurt et sa fille trouve marrant de le faire incinérer
25346
Citation de sublime gate :

Argh jai pas compris ta dernière roth weiler !

Pareil :mrg:

On the internets, nobody knows you are a dog

I try

[ Dernière édition du message le 11/05/2024 à 19:27:52 ]

25347
Fin XIXe, une ancienne gloire de l'ouest est dans son rocking-chair avec un de ses petits enfants sur les genoux.
"Dis, Granpa, comment tu as fait pour vivre aussi longtemps.
- C'est simple. Tous les matins, je verse la poudre d'une de mes cartouches dans mon bol de céréales avant de les manger."
Le petit-fils suivi cet exemple. Il mourut en 2004, à 113 ans en laissant une jeune veuve éplorée (en troisième noce), 7 enfants, 35 petits enfants, 73 arrière-petits-enfants et un trou de 3.5 m dans le plafond du crématorium.
25348
J'ai un corps de Dieu.

Manque de pot,
il s'agit de Bouddha.

L'esprit c'est comme un parachute: Il marche mieux quand il est ouvert.

J'ai enregistré un peu de tout et n'importe quoi

25349
C vrai qu’il est moche

On the internets, nobody knows you are a dog

I try

25350
ben moi je la trouve drôle celle de roth weiler (la dernière)
sur les blagues je peux faire trash et pousser le bouchon assez loin.
sur les blagues racistes je suis plus mesuré, ou alors il faut qu'elles aient au autre sens que l'aspect "racial" (déjà rien qu'à l'écrire ça me dérange : il n'y a qu'une race humaine).
personnellement ça m'a passé quand j'étais ado. on tous entendu des blagues concernant un belge, un juif (liste des victimes non exhaustive) à qui on file un sac à dos à la place d'un parachute.
le jour où des skins ont balancé un "arabe" d'un train lancé à pleine vitesse, ça a fini de me faire rire.
il n'y a peut être pas de lien direct de l'un à l'autre, mais ça peut aussi commencer comme ça.
si vous voulez comprendre le processus je vous recommande de lire "la destruction des juifs d'Europe" de Raul Hilberg. il explique très bien comment on passe de l'acceptation d'une description physique moqueuse et dégradante à une extermination massive par des paliers successifs.
personnellement je n'ai même pas envie d'accepter un début de déconnade avec tout le monde sur certains sujets.

par contre pour détendre j'en ai une ou l'aspect politique est plus important que l'aspect nationaliste (elle date d'avant la chute du mur de Berlin) :
3 chien se rencontrent un Français, bien dodu, un Polonais et un Russe tous les deux faméliques.
le chien Français : je comprends pas, moi quand j'ai faim j'aboie pour avoir de la viande !
le chien Polonais : c'est quoi de la viande ?
le chien Russe : c'est quoi aboyer ?

ajout personnel aux adhérents de la SPA : depuis le chien Polonais va mieux, mais pour le chien Russe rien n'a changé (ou en pire, voire empire).

et une du très regretté Pierre Desproges : "ce matin j'ai appris que j'avais un cancer ; ce soir j'ai bouffé du crabe : ça fait un partout."