Qu'est ce qui vous agace automatiquement?

D'après les articles lus dans les magasines photos, cela ne sert à rien de mettre ses pellicules dans une enveloppement de protection, car les agents de sécurité augmentent alors la puissance des rayons pour voir le contenu de la pochette, ce qui abouti au même résultat.

Dans les aéroports, le truc recommandé est de mettre les pellicules dans un sac transparent à part et de demander gentiment aux agents de ne pas le passer aux rayons, mais ça ne marche pas toujours.
C'est notamment la raison pour laquelle le célèbre photographe Sebastian Salgado qui ne jurait que par l'argentique a finit par se résoudre à passer au numérique, parce qu'il en avait marre des galères aux aéroports. Maintenant, Salgado est un pro qui partait en expédition photo (il photographie essentiellement des peuples indigènes en voie de disparition) avec 200 pellicules au moins et avait généralement de multiples correspondances. C'est moins un problème pour un amateur qui trimbale une dizaine de pellicules.

Pour ma part, quand je voyage et que je fais de l'argentique, j'achète mes pellicules essentiellement sur place et je les fait développer sur place. C'est pas toujours simple d'ailleurs, mais ce sont les joies de l'argentique.