lol politique
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Will Zégal
75040
Will Zégal
Membre depuis 22 ans
Sujet de la discussion Posté le 24/02/2017 à 13:11:54lol politique
En cette période électorale française est entrée en vigueur la Charte du pub spéciale élections.
Rappel du principe : on se bouffe de la politique et des politiciens partout à longueur de journée. Pour éviter de casser les noix sur AF avec ceux qui s'en tapent ou qui saturent, tout ce qui est lié à la politique est prohibé en dehors des sujets dédiés.
Donc, voici un sujet pour rigoler sur la politique ou les politiques : images, citations, etc.
Par contre, on ne discute pas de politique ici. Pour ça, il y a le café du commerce.
P.S. : si quelqu'un a une idée de titre moins pourri pour ce sujet...
P.P.S : le "P.S." si dessus signifie évidemment "Post Scriptum"
Rappel du principe : on se bouffe de la politique et des politiciens partout à longueur de journée. Pour éviter de casser les noix sur AF avec ceux qui s'en tapent ou qui saturent, tout ce qui est lié à la politique est prohibé en dehors des sujets dédiés.
Donc, voici un sujet pour rigoler sur la politique ou les politiques : images, citations, etc.
Par contre, on ne discute pas de politique ici. Pour ça, il y a le café du commerce.
P.S. : si quelqu'un a une idée de titre moins pourri pour ce sujet...
P.P.S : le "P.S." si dessus signifie évidemment "Post Scriptum"
Anonyme
65640
4661 Posté le 12/03/2019 à 10:13:42
Citation :
Le Canada, c'est un pays de gentils, sauf quand il s'agit de droit des amérindiens il me semble.
Niveau écologie, ça a changé, ou pour chercher quoique ce soit ils creusent toujours des trous de la taille d'un département français ?
gloglo125
2459
AFicionado·a
Membre depuis 18 ans
4662 Posté le 12/03/2019 à 10:18:06
Citation de youtou :
Niveau écologie, ça a changé, ou pour chercher quoique ce soit ils creusent toujours des trous de la taille d'un département français ?
T'exagères, regarde quand ils ont construit un petit escalier tout mignon dans le jardin
'voyez la dune là-bas ?... Ben derrière, y'a les plus belles roses des sables de tout le Niger... Eh ben elle a voulu aller voir !
Anonyme
65640
4663 Posté le 12/03/2019 à 10:29:59
Et là c'est un chien québécois qui a creusé pour enterrer un os :
Nan mais en vrai je pense pas qu'un seul pays au monde délire à ce point là avec l'environnement. Bon c'est sûr que c'est le plus grand pays au monde le moins peuplé, mais nature et animaux passent par pertes et profits.
Nan mais en vrai je pense pas qu'un seul pays au monde délire à ce point là avec l'environnement. Bon c'est sûr que c'est le plus grand pays au monde le moins peuplé, mais nature et animaux passent par pertes et profits.
gojats
10280
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 17 ans
4665 Posté le 15/03/2019 à 10:11:46
Un esprit sein dans un... cornichon ?
Le tout venant a été piraté par les mômes, on se risque sur le bizarre : https://soundcloud.com/gojats
Djardin
19834
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 19 ans
4666 Posté le 16/03/2019 à 18:15:37
Référence en matière de bon gout capillaire et vestimentaire.
homme à tête de zizi.
Will Zégal
75040
Will Zégal
Membre depuis 22 ans
4667 Posté le 16/03/2019 à 20:38:02
Will Zégal
75040
Will Zégal
Membre depuis 22 ans
4668 Posté le 16/03/2019 à 20:40:26
Le texte :
Il y avait une fois en royaume de France
Évoluant aux côtés de ses contemporains
Un banquier jouvenceau oui mais plein d'élégance
Qui de son beau pays se rêvait souverain
Son air benjamin, informel, bien élevé
Plaisait aux citoyens, par la vieillesse lassée
Sa rhétorique désuète et puis tantôt farceuse
Ravissait fort les nobles, et flattait bien la gueuse
Et si jeune notre homme ne l'était qu'à moitié,
Il faut savoir qu'usée, certes, était sa moitié
Car se voulant moderne ne prenant point maîtresse
Il épousa la sienne malgré sa vieillesse
Mais même si la valeur n'attend point les années
Et bien qu' le jeune banquier ait la gouaille bien aisée
On ne s'improvise point chef d'un grand État
Et bientôt cet enfant, cet angelot remarqua
Que d'un noble ignorant c'est la robe qu'on salue
On n' l'admira bientôt que d'un étron pas plus
Après l'avoir léché ils le lâchent puis le lynchent
Comme font les hommes souvent gâtés comme des enfants
Jupiter bientôt n'eût pas plus à leurs yeux
que l'aspect fatigué d'une simple corde à nœuds
Mais le jeune banquier, sûr de lui, plein de frime
Pour continuer de plaire à ses chers richissimes
Pressa la populace tant et tant comme citrons
Qu'elle en prit la couleur aussi celle des mignons
Le jeune freluquet tout à ses réjouissances
Ne remarquât même pas la moindre différence
Heureux dans son palais, il est loin du tracas
Sa mégère dépensant son or à tour de bras
Rien n'est pour elle trop beau : vaisselle, tissus, bibelots
Le peuple avait bien faim, elle leur tournait le dos
Ils s'offrirent mieux encore, les rois des animaux
Des daims, ils les appellent ho seigneur qu'ils sont beaux
Et pendant que le peuple assemblé dans les rues
vers son précieux palais plein de rage se rue
Notre jeune banquier à l'égo invincible
Qui de la bourse des pauvres s'était fait une cible
Refuse encore d'entendre le grondement sonore
Comme celui d'une rivière quand de son lit elle sort
Aucun barrage n'y fait si elle est bien dehors
Et les poussins alors se mettent à crier
Empêchant les puissants dans leur couche de ronfler
Mon roi faites les taire, par pitié muselez-les
Ils meurent de faim, ils crient, et nos nuits sont gâchées
Ho sir ! regardez les, leur piètre éducation
Ne leur sert même pas à crever sans un son
Mourrez chichement, dites et mettez la sourdine
Leur râle lorsqu'ils trépassent est une porte qui couine
Ils sont las, ils se tordent, comme ils sont ridicules
Ces illettrés ignobles dans la boue gesticulent
Mes amis n'ayez crainte leur répond le rusé
ils leur arrivent parfois un peu fort d'aboyer
Mais ils sont mes moutons, mes agneaux mon troupeau
Ils finiront d'eux mêmes par rentrer bien au chaud
Mais voici maintenant qu'il retournent les carrosses
Et détruisent nos maisons, deviendraient-ils féroces ?
Alors le grand seigneur dans une allocution
Le dos droit bien tendu comme une institution
Les deux mains pleines de doigts bien à plat sur la table
Leur jeta quelques miettes avec un air aimable
Croyant en faisant taire leur petit estomac
Calmer aussi la rage dans leur cœur scélérat
Je ne vous ai pas compris, je ne vous écoutais point
Récita-t-il au peuple qui serrait les poings
A renard endormi rien ne tombe dans la gueule
Retournez au labeur je vous trouve bien veules
Ha vous aimez la rose ? Supportez en l'épine
Mais ne troublez donc point la quiétude citadine
Dans notre ordre social chacun reste à sa place
Vous voulez en changer ? Je vous ris à la face
Cassez, cassez, cassez et nous reconstruirons
Et je vous répondrais d' la bouche de mes canons
Vous voulez un discours ? Je peux en écrire cent
Je peux même faire en sorte que vous m'aimiez quand j' ments
Je vous endormirai à grand coup d'entourloupes
Car c'est toute une armée que je garde sous ma coupe
Vous vous fatiguerez et rentrerez aux champs
Bien avant que je tremble pauvres petites gens
Il est vrai que le paon peut oser faire l'autruche
Se pavaner gaîment tout en gâtant sa cruche
Mais si un jour lassée comme le peuple citron
Son armée de poulets abandonne le patron
Alors le jeune souverain saura, bien entendu,
qu'même sur un trône en or, on est bien qu'sur son cul
L'injustice est une graine que plantent les puissants
Et qui pousse sans peine dans les yeux d' leurs enfants
Elle leur apprend la haine et à serrer les dents
Elle leur fournit le bois, le manche et même la lame
Elle fait durcir leurs muscles et dévore leurs âmes
S'ils perdent des batailles
Ils reviennent à la charge
On les traite en racaille
On s'étonne qu'ils enragent ?
Donnez leur le bâton
Ils relèvent le menton
Opposez leur des chars
Ils reviennent plus tard
Ils se tairont dix ans, vingt ans, trente ans, peut être
Mais toujours la révolte finit par renaître
Regardez en arrière dans notre propre histoire
Car c'est là que se cachent les leçons et l'espoir
Il y avait une fois en royaume de France
Évoluant aux côtés de ses contemporains
Un banquier jouvenceau oui mais plein d'élégance
Qui de son beau pays se rêvait souverain
Son air benjamin, informel, bien élevé
Plaisait aux citoyens, par la vieillesse lassée
Sa rhétorique désuète et puis tantôt farceuse
Ravissait fort les nobles, et flattait bien la gueuse
Et si jeune notre homme ne l'était qu'à moitié,
Il faut savoir qu'usée, certes, était sa moitié
Car se voulant moderne ne prenant point maîtresse
Il épousa la sienne malgré sa vieillesse
Mais même si la valeur n'attend point les années
Et bien qu' le jeune banquier ait la gouaille bien aisée
On ne s'improvise point chef d'un grand État
Et bientôt cet enfant, cet angelot remarqua
Que d'un noble ignorant c'est la robe qu'on salue
On n' l'admira bientôt que d'un étron pas plus
Après l'avoir léché ils le lâchent puis le lynchent
Comme font les hommes souvent gâtés comme des enfants
Jupiter bientôt n'eût pas plus à leurs yeux
que l'aspect fatigué d'une simple corde à nœuds
Mais le jeune banquier, sûr de lui, plein de frime
Pour continuer de plaire à ses chers richissimes
Pressa la populace tant et tant comme citrons
Qu'elle en prit la couleur aussi celle des mignons
Le jeune freluquet tout à ses réjouissances
Ne remarquât même pas la moindre différence
Heureux dans son palais, il est loin du tracas
Sa mégère dépensant son or à tour de bras
Rien n'est pour elle trop beau : vaisselle, tissus, bibelots
Le peuple avait bien faim, elle leur tournait le dos
Ils s'offrirent mieux encore, les rois des animaux
Des daims, ils les appellent ho seigneur qu'ils sont beaux
Et pendant que le peuple assemblé dans les rues
vers son précieux palais plein de rage se rue
Notre jeune banquier à l'égo invincible
Qui de la bourse des pauvres s'était fait une cible
Refuse encore d'entendre le grondement sonore
Comme celui d'une rivière quand de son lit elle sort
Aucun barrage n'y fait si elle est bien dehors
Et les poussins alors se mettent à crier
Empêchant les puissants dans leur couche de ronfler
Mon roi faites les taire, par pitié muselez-les
Ils meurent de faim, ils crient, et nos nuits sont gâchées
Ho sir ! regardez les, leur piètre éducation
Ne leur sert même pas à crever sans un son
Mourrez chichement, dites et mettez la sourdine
Leur râle lorsqu'ils trépassent est une porte qui couine
Ils sont las, ils se tordent, comme ils sont ridicules
Ces illettrés ignobles dans la boue gesticulent
Mes amis n'ayez crainte leur répond le rusé
ils leur arrivent parfois un peu fort d'aboyer
Mais ils sont mes moutons, mes agneaux mon troupeau
Ils finiront d'eux mêmes par rentrer bien au chaud
Mais voici maintenant qu'il retournent les carrosses
Et détruisent nos maisons, deviendraient-ils féroces ?
Alors le grand seigneur dans une allocution
Le dos droit bien tendu comme une institution
Les deux mains pleines de doigts bien à plat sur la table
Leur jeta quelques miettes avec un air aimable
Croyant en faisant taire leur petit estomac
Calmer aussi la rage dans leur cœur scélérat
Je ne vous ai pas compris, je ne vous écoutais point
Récita-t-il au peuple qui serrait les poings
A renard endormi rien ne tombe dans la gueule
Retournez au labeur je vous trouve bien veules
Ha vous aimez la rose ? Supportez en l'épine
Mais ne troublez donc point la quiétude citadine
Dans notre ordre social chacun reste à sa place
Vous voulez en changer ? Je vous ris à la face
Cassez, cassez, cassez et nous reconstruirons
Et je vous répondrais d' la bouche de mes canons
Vous voulez un discours ? Je peux en écrire cent
Je peux même faire en sorte que vous m'aimiez quand j' ments
Je vous endormirai à grand coup d'entourloupes
Car c'est toute une armée que je garde sous ma coupe
Vous vous fatiguerez et rentrerez aux champs
Bien avant que je tremble pauvres petites gens
Il est vrai que le paon peut oser faire l'autruche
Se pavaner gaîment tout en gâtant sa cruche
Mais si un jour lassée comme le peuple citron
Son armée de poulets abandonne le patron
Alors le jeune souverain saura, bien entendu,
qu'même sur un trône en or, on est bien qu'sur son cul
L'injustice est une graine que plantent les puissants
Et qui pousse sans peine dans les yeux d' leurs enfants
Elle leur apprend la haine et à serrer les dents
Elle leur fournit le bois, le manche et même la lame
Elle fait durcir leurs muscles et dévore leurs âmes
S'ils perdent des batailles
Ils reviennent à la charge
On les traite en racaille
On s'étonne qu'ils enragent ?
Donnez leur le bâton
Ils relèvent le menton
Opposez leur des chars
Ils reviennent plus tard
Ils se tairont dix ans, vingt ans, trente ans, peut être
Mais toujours la révolte finit par renaître
Regardez en arrière dans notre propre histoire
Car c'est là que se cachent les leçons et l'espoir
*Seed*
11380
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 17 ans
4669 Posté le 16/03/2019 à 20:47:53
éééééééééééééééééééééééénorme merci je connaissais pas la demoiselle (dame?) vais me pencher sur le sujet............
Sysex and sun
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