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Filinthe
Publié le 25/01/08 à 08:10
Célèbre microphone de prise de son reportage, film documentaire et fiction.
Perche, suspension élastique et cage anti-vent habituellement indispensables.
Essentiellement utilisé pour la voix humaine (entretiens), mais il est très polyvalent et surprenant !
Microphone "semi-canon" electrostatique, monophonique, directivité "hypercardioïde", tube à interférences.
Alimentation 48 Volts indispensable.
AVIS GLOBAL
Un bijou légendaire. Donc, à utiliser avec la délicatesse requise.
Je l'utilise depuis 5ans, professionnellement, en tournage de films documentaires.
J'aime beaucoup le son de ce micro, et sa capacité à respecter les timbres.
Il est à la fois très "doux" et précis, suffisamment directionnel pour assurer l'intelligibilité en milieu "hostile" (bruyant),
quoique le 416 de Sennheiser soit un peu meilleur dans ce domaine.
Evitez de l'approcher trop près d'un instrument de musique : le tube à interférences fait son travail de directivité, et risque de dénaturer la "musicalité" de l'instrument, en lui donnant d'une part une couleur un peu glaçante, un peu "chirurgicale" (harmoniques trop présentes) et d'autre part une "étroitesse" de champ inadaptée.
Il n'est pas fait pour ça, ce n'est pas un micro de studio.
Il faut donc chercher la bonne distance.
Il n'y a pas 36 microphones de reportage, on voit toujours les mêmes depuis les années 1980: Schoeps "Colette" toutes directivités, Sennheiser MKH 416, Neumann Kmr 81, question de goût; puis quelques entrées de gammes, plus recemment comme Beyer MCE 86, ou Sennheiser ME66+K6, Rode NTG 1...etc, beaucoup moins sensibles et moins "chauds",
mais vous en avez pour 300 Euros...
Le prix neuf reste élevé, (1200 à 1400 Euros TTC) mais souvenons-nous qu'il y a 10 ans, ils étaient encore plus chers!
J'en prendrais bien un deuxième, mais celui-là fait très bien son travail.
Sennheiser qui a racheté Neumann en 1999, assure très bien le diagnostic et la maintenance à Ivry sur Seine.
Perche, suspension élastique et cage anti-vent habituellement indispensables.
Essentiellement utilisé pour la voix humaine (entretiens), mais il est très polyvalent et surprenant !
Microphone "semi-canon" electrostatique, monophonique, directivité "hypercardioïde", tube à interférences.
Alimentation 48 Volts indispensable.
AVIS GLOBAL
Un bijou légendaire. Donc, à utiliser avec la délicatesse requise.
Je l'utilise depuis 5ans, professionnellement, en tournage de films documentaires.
J'aime beaucoup le son de ce micro, et sa capacité à respecter les timbres.
Il est à la fois très "doux" et précis, suffisamment directionnel pour assurer l'intelligibilité en milieu "hostile" (bruyant),
quoique le 416 de Sennheiser soit un peu meilleur dans ce domaine.
Evitez de l'approcher trop près d'un instrument de musique : le tube à interférences fait son travail de directivité, et risque de dénaturer la "musicalité" de l'instrument, en lui donnant d'une part une couleur un peu glaçante, un peu "chirurgicale" (harmoniques trop présentes) et d'autre part une "étroitesse" de champ inadaptée.
Il n'est pas fait pour ça, ce n'est pas un micro de studio.
Il faut donc chercher la bonne distance.
Il n'y a pas 36 microphones de reportage, on voit toujours les mêmes depuis les années 1980: Schoeps "Colette" toutes directivités, Sennheiser MKH 416, Neumann Kmr 81, question de goût; puis quelques entrées de gammes, plus recemment comme Beyer MCE 86, ou Sennheiser ME66+K6, Rode NTG 1...etc, beaucoup moins sensibles et moins "chauds",
mais vous en avez pour 300 Euros...
Le prix neuf reste élevé, (1200 à 1400 Euros TTC) mais souvenons-nous qu'il y a 10 ans, ils étaient encore plus chers!
J'en prendrais bien un deuxième, mais celui-là fait très bien son travail.
Sennheiser qui a racheté Neumann en 1999, assure très bien le diagnostic et la maintenance à Ivry sur Seine.