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JEN SM2007 String machine
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JEN SM2007 String machine
keltic29 keltic29
Publié le 07/04/05 à 23:11
Clavier de quatre octaves ( 49 touches ), italien, non lesté, non sensitif ; à l'époque : 1977, çà n'existait pas encore. Cet instrument qui est en fait un orgue de par son type de construction : 12 oscillateurs, accordables séparément, sert à reproduire des ensembles de violons, sonorité très en vogue à cette époque-là, où le Solina d'Eminent règnait en maître. Ce Superstringer a en plus une section d'ensemble de cuivres.

UTILISATION

Je ne me souviens pas d'avoir eu un manuel entre les mains pour cet instrument acheté neuf 4400 F à l'époque. J'ai dû malgré tout en avoir un, mais il n'y a pas plus simple pour le prise en main : on connecte à un ampli, on appuie sur une des touches de mise en fonction des sons voulus et Hop, ça sonne.

SONORITÉS

En définitive, il s'agit d'appliquer à un type de son simple, une sorte de chorus pour obtenir un effet d'ensemble. Sur cet appareil, on peut déconnecter ce chorus pour obtenir ce qui est dénommé : Solo.
Peu de réglages sur cette machine mais efficaces :
en haut à gauche du tableau de commandes, du haut vers le bas :
- bouton rouge de mise en route du Vibrato avec trois slides : delay, speed, intensity
- Bouton noir : Solo : désactive l'effet d'ensemble.
- Boutons blancs : Bass et Cello avec leur slide de volume. Ces 2 sonorités basses ne sont utilisables en superposition avec les autres sons que sur la partie grave du clavier sur une étendue d'une octave et demie : jusqu'au Sol. Un petit trait blanc sur le capot supérieur délimite cet espace.
A droite du tableau de commandes, en haut : 1 curseur de Sustain qui fait se prolonger le son.
- 2 boutons verts pour les cordes : Violin et Viola avec un curseur de volume, et un autre dénommé Crescendo pour faire monter ce volume progressivement.
- 2 boutons rouges pour les cuivres : Horn et Trumpet avec leur slide de volume également.

AVIS GLOBAL

Acheté en 1977, je n'ai eu qu'un seul souci avec cet instrument : lors d'un démontage du capot supérieur pour effectuer un accordage de l'instru, en faisant glisser ce capot vers l'arrière, je suis parvenu à casser l'ergot qui tient le ressort qui permet à la première touche grave DO de rester en position repos. Cette touche n'étant plus retenue, elle restait alors continuellement enfoncée et donc la note correspondante sonnait sabns arrêt. Après avoir récupéré une autre touche, non sans difficultés, et son remontage, plus jamais de problèmes. La touche changée n'est pas de la même couleur que le clavier qui est de couleur crême et non blanche : c'est ce que l'on peut voir sur la photo du haut.
C'était et c'est toujours un excellent instrument même s'il est dépassé aujourd'hui et que l'on n'utilise plus ce genre de sonorités. C'était la version pas chère et avec le même son du Solina.