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gudulezzz
Publié le 20/10/07 à 22:53
Je ne reviens pas sur la config, tout le monde la connait. C'est du monophonique à deux oscillateurs, deux VCF et des trucs sympas comme le Sample & Hold ou le Ring Modulator. Combien de sons ? Plein, j'ai pas compté, c'est infini. C'est pas midi, le clavier trois octaves est basique et non dynamique. Son plus, le panneau de patchage qui permet de recabler tout à volonté. Bien entendu, les sonorités ne sont pas mémorisables, mais avec un bon appareil photo numérique...
UTILISATION
Pour quelqu'un qui n'a pas de notions de base en synthèse, les premiers abords ne sont pas évidents. Heureusement, le manuel d'origine est très clair et des exemples de patches intéressants sont donnés. Au bout d'une heure, on comprend les concepts de base et au bout de quelques jours, on arrive à "penser MS20", à créer le son que l'on a dans la tête... Le grand plaisir reste la recherche de sons au point de rester parfois dessus pendant des heures sans avoir produit la moindre musique mais sans s'être ennuyé une seconde.
SONORITÉS
Les sons: énormes pour ceux qui aiment les Emerson, Szajner, Shulze des années 75-80. Ne cherchez pas à faire des sons réalistes avec le MS20, il ne sert pas à ça. Au contraire. Il est idéal pour les basses technos (avec un sq10 c'est parfait) ou les sons planants et autres effets spéciaux. Les entrées permettent un traitement d'autres instruments que sont loin de donner des boites d'effets. Le point faible reste le clavier vraiment trop plastique. Si Korg venait à sortir le MS20 avec un clavier dynamique et aftertouch, ils feraient un malheur...
AVIS GLOBAL
J'ai acheté mon premier MS20 en 1981, et un autre l'année suivante. Pour piloter ça, j'avais deux SQ10. J'avais complété le tout par un VC10. Tout dans le même look, quoi!
C'est le synthé par excellence. On part de rien et on a ce qu'on veut, à condition de maitriser la bête. Pour l'initiation à la synthèse, il n'y a pas mieux et à ce prix là, on est pas loin des sonorités des modulaires. A l'époque où je m'en suis séparé (faute de place et de temps), ça ne valait plus rien et maintenant, on les retrouve au prix du neuf...
Je me console avec la Korg Legacy Collection à qui il manque les défauts du hard (instabilité, sensibilité des réglages, encombrement) mais qui lui ajoute la polyphonie.
UTILISATION
Pour quelqu'un qui n'a pas de notions de base en synthèse, les premiers abords ne sont pas évidents. Heureusement, le manuel d'origine est très clair et des exemples de patches intéressants sont donnés. Au bout d'une heure, on comprend les concepts de base et au bout de quelques jours, on arrive à "penser MS20", à créer le son que l'on a dans la tête... Le grand plaisir reste la recherche de sons au point de rester parfois dessus pendant des heures sans avoir produit la moindre musique mais sans s'être ennuyé une seconde.
SONORITÉS
Les sons: énormes pour ceux qui aiment les Emerson, Szajner, Shulze des années 75-80. Ne cherchez pas à faire des sons réalistes avec le MS20, il ne sert pas à ça. Au contraire. Il est idéal pour les basses technos (avec un sq10 c'est parfait) ou les sons planants et autres effets spéciaux. Les entrées permettent un traitement d'autres instruments que sont loin de donner des boites d'effets. Le point faible reste le clavier vraiment trop plastique. Si Korg venait à sortir le MS20 avec un clavier dynamique et aftertouch, ils feraient un malheur...
AVIS GLOBAL
J'ai acheté mon premier MS20 en 1981, et un autre l'année suivante. Pour piloter ça, j'avais deux SQ10. J'avais complété le tout par un VC10. Tout dans le même look, quoi!
C'est le synthé par excellence. On part de rien et on a ce qu'on veut, à condition de maitriser la bête. Pour l'initiation à la synthèse, il n'y a pas mieux et à ce prix là, on est pas loin des sonorités des modulaires. A l'époque où je m'en suis séparé (faute de place et de temps), ça ne valait plus rien et maintenant, on les retrouve au prix du neuf...
Je me console avec la Korg Legacy Collection à qui il manque les défauts du hard (instabilité, sensibilité des réglages, encombrement) mais qui lui ajoute la polyphonie.