babouche369
« Le synthé des mes amours »
Publié le 15/11/18 à 23:31
Rapport qualité/prix :
Excellent
Cible :
Tout public
J'économisais pour me payer un Juno60 ou Poly6 quand le DX7 est sorti; on en parlait partout. J'ai craqué! Probablement le meilleur investissement de ma vie. Je le vénère, j’ai même gardé tout l’emballage.
Solide comme un tank, je l’ai trimballé souvent (3 étages, le DX7 sous un bras, un Roland Cube 60 sous l’autre et le stand sur l’épaule, on était jeune…), il est toujours impeccable. Le clavier est merveilleux, sensible à la vélocité et la pression, avec une légère petite résistance, juste ce qu’il faut.
Bon, évidemment, au niveau sonorités, on a entendu les sons d’usine jusqu’à l’écœurement. Mais cette basse funky, ces cuivres, ces pianos numériques, si souvent samplés depuis. Si vous voulez autre chose, il existe des milliers de sysex sur le net. Et puis, il est toujours possible d’aller à l’exploration sonore : pas facile à aborder au début, certes, mais ça se fait bien avec un peu de rigueur et de patience.
Je l’ai utilisé dans différents style, de la variet’ au hard, classique, techno ou exploration sonore (avec mon Atari), il peut tout faire.
Dans les défauts, évidemment, il y a de l’aliasing, mais c’est gérable et même exploitable. Le bruit, si souvent décrié, ne m’a jamais vraiment dérangé. Bon faut dire que je jouais dans un groupe de hard…. Je noterai également l’absence d’un PitchEG par oscillateur (qui permettrait de désaccorder les oscillateurs); et d’un filtre évidemment, mais en 1983, les filtres numériques étaient aux balbutiements.
La seule panne que j’ai eue en 33 ans était un bug à l’allumage; il y a 2 condensateurs au tantale qui servent de timing lors de la mise sous tension. Il suffit de les remplacer. Même la pile est encore d'origine!
Solide comme un tank, je l’ai trimballé souvent (3 étages, le DX7 sous un bras, un Roland Cube 60 sous l’autre et le stand sur l’épaule, on était jeune…), il est toujours impeccable. Le clavier est merveilleux, sensible à la vélocité et la pression, avec une légère petite résistance, juste ce qu’il faut.
Bon, évidemment, au niveau sonorités, on a entendu les sons d’usine jusqu’à l’écœurement. Mais cette basse funky, ces cuivres, ces pianos numériques, si souvent samplés depuis. Si vous voulez autre chose, il existe des milliers de sysex sur le net. Et puis, il est toujours possible d’aller à l’exploration sonore : pas facile à aborder au début, certes, mais ça se fait bien avec un peu de rigueur et de patience.
Je l’ai utilisé dans différents style, de la variet’ au hard, classique, techno ou exploration sonore (avec mon Atari), il peut tout faire.
Dans les défauts, évidemment, il y a de l’aliasing, mais c’est gérable et même exploitable. Le bruit, si souvent décrié, ne m’a jamais vraiment dérangé. Bon faut dire que je jouais dans un groupe de hard…. Je noterai également l’absence d’un PitchEG par oscillateur (qui permettrait de désaccorder les oscillateurs); et d’un filtre évidemment, mais en 1983, les filtres numériques étaient aux balbutiements.
La seule panne que j’ai eue en 33 ans était un bug à l’allumage; il y a 2 condensateurs au tantale qui servent de timing lors de la mise sous tension. Il suffit de les remplacer. Même la pile est encore d'origine!