Chris.angel
Publié le 09/08/02 à 14:01
Rapport qualité/prix :
Excellent
Ce synthétiseur légendaire est plutôt déroutant. Il faut reconnaître qu'en 1984, Yamaha innovait avec sa technologie à modulation de fréquence. Mais elle ne chercha pas, avec le DX7, à y ajouter quelque autre fonction. On se retrouve ainsi avec un pur synthétiseur FM POINT. Pas d'effets, pas de stéréo, rien d'autre qu'une quarantaine de touches sensitives (!!!) pour programmer des sons.
Les versions software et les nombreuses déclinaisons qui ont suivis ont, heureusement, comblés ces manquements (normaux à l'époque).
La première version propose 16 voies de polyphonie, 32 mémoires pour les patches, un slot pour des cassettes de patches ROM ou RAM et une une fréquence d'échantillonnage relativement faible (les sons, à fréquence élevée, perdent de leur clarté).
UTILISATION
L'édition de nouveaux sons relève de la patience, du calme et de la chance !
Avec ses 130 paramètres accessibles par touches sensitives, le DX7 est loin des synthés analogiques et pseudo-analogiques aux contrôles vraiment intuitifs. Seul un curseur permet de faire varier les valeurs d'un paramètre donné.
SONORITÉS
Les sons sont de tous les goûts. Leur qualité aussi.
Intrinsèquement, la qualité sonore du DX7 dépend de sa déclinaison. Les premiers DX7 sont de qualité moyenne, surtout lorsqu'on monte en fréquence (problème de fréquence d'échantillonnage faible).
AVIS GLOBAL
Les possibilités de sonorité sont quasi infinies. Heureusement que de nombreux musiciens se sont adonnés avec patience et dévouement à leur création. Des sons sont maintenant disponibles par milliers sur Internet. Merci à leur créateur !
Avec ceux-ci, on dispose alors d'une machine vraiment formidable pour un tout petit prix (maitenant, pas 18 ans auparavant --> plus de 2000 euros). La variété de sons disponibles est époustouflante. Et la machine, alliée à de bons processeur d'effet peut encore être à la hauteur de certains concurrents actuels.
Et, comme le montre les tendances actuelles et les nouvelles machines, la synthèse FM n'est pas morte, loin de là !
Les versions software et les nombreuses déclinaisons qui ont suivis ont, heureusement, comblés ces manquements (normaux à l'époque).
La première version propose 16 voies de polyphonie, 32 mémoires pour les patches, un slot pour des cassettes de patches ROM ou RAM et une une fréquence d'échantillonnage relativement faible (les sons, à fréquence élevée, perdent de leur clarté).
UTILISATION
L'édition de nouveaux sons relève de la patience, du calme et de la chance !
Avec ses 130 paramètres accessibles par touches sensitives, le DX7 est loin des synthés analogiques et pseudo-analogiques aux contrôles vraiment intuitifs. Seul un curseur permet de faire varier les valeurs d'un paramètre donné.
SONORITÉS
Les sons sont de tous les goûts. Leur qualité aussi.
Intrinsèquement, la qualité sonore du DX7 dépend de sa déclinaison. Les premiers DX7 sont de qualité moyenne, surtout lorsqu'on monte en fréquence (problème de fréquence d'échantillonnage faible).
AVIS GLOBAL
Les possibilités de sonorité sont quasi infinies. Heureusement que de nombreux musiciens se sont adonnés avec patience et dévouement à leur création. Des sons sont maintenant disponibles par milliers sur Internet. Merci à leur créateur !
Avec ceux-ci, on dispose alors d'une machine vraiment formidable pour un tout petit prix (maitenant, pas 18 ans auparavant --> plus de 2000 euros). La variété de sons disponibles est époustouflante. Et la machine, alliée à de bons processeur d'effet peut encore être à la hauteur de certains concurrents actuels.
Et, comme le montre les tendances actuelles et les nouvelles machines, la synthèse FM n'est pas morte, loin de là !